NOM : Elle est née Prewett, mais elle porte à présent le nom de son mari, Weasley. PRÉNOM(S) : Ses parents ont choisi de la prénommer Molly, et c'est ainsi que tout le monde la nomme. A part Arthur qui s'amuse à la surnommer Mollywobbles. Elle a pourtant un second prénom, mais il n’apparaît que sur de rares papiers officiels. Il s'agit de Ginerva. ASCENDANCE : Les Prewett sont une famille de sang-pur, mais leur parents leur ont toujours appris qu'il ne fallait pas juger un sorcier sur ses origines. Ils ont même toujours été des fervents défenseurs des nés-moldus. ÂGE : Elle a vu le jour le 30 octobre de l'année 1950. Elle va donc sur ses trente ans, et tient même à ses vingt-neuf ans. LIEU DE NAISSANCE : Twinckenham, ville anglaise située non loin de Londres, entre urbanisme et campagne. SITUATION SOCIALE : Elle est mariée depuis plus de dix ans à la première et seule personne dont elle est tombée amoureuse, un certain Arthur Weasley. Tous deux sont parents de cinq garçons : Bill (10 ans), Charlie (8 ans), Percy (4 ans) et les jumeaux Fred et George (2 ans), dont les cheveux sont aussi roux que ceux de leur mère. Un petit sixième est en route et devrait bientôt montrer le bout de son nez. Molly espère qu'il s'agira d'une fille pour rompre la série de garçons Weasley. ANCIENNE MAISON : Le Choixpeau l'avait répartie à Gryffondor. Décision qui lui convenait tout à fait puisque la seule maison qu'elle souhaitait éviter était Serpentard. PROFESSION : Molly a toujours été douée dans l'art des potions, et est donc assez naturellement devenue alchimiste. Elle travaille pour le ministère de la magie, qui l'a affectée à la Salle de Amours. Ne devant divulguer ce qu'il s'y passe, elle est aussi Langue-De-Plomb. BAGUETTE : Bois de cèdre; crin de licorne; 25,3 centimètres; plutôt souple. La première baguette qu'elle a eue en main était la bonne. Elle correspond tout à fait à la maman multi-fonctions qu'est Molly. PATRONUS : Elle avait seize ans lorsqu'elle a réussit à faire surgir son premier Patronus, un rebondissant kangourou. MIROIR DU RISED : Elle se voit bien plus âgée, entourée de son mari, de ses fils et d'une fille, ainsi que d'une petite fille. Tous les membres de sa grande famille sont souriants et en bonne santé. EPOUVANTARD : Dans ses pires cauchemars, elle voit son mari, ses deux frères cadets et ses enfants en train de périr dans un immense brasier. FACULTE SPÉCIALE : A moins que le fait d'être maman de bientôt six enfants soit une capacité spéciale, elle n'en a point.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ?
Même si elle fait partie d'une famille de sang purs classée dans le "vingt-huit sacrés" des années trente, ses parents et ses grands-parents n'ont jamais cherché à faire de cette ascendance un passe-droit. Ils ont toujours enseigné à leurs enfants de ne pas traiter différemment les sorciers nés dans des familles moldues, mais à plutôt juger une personne sur ses actes. Les parents de Molly ont toujours été justes et impartiaux, et s'entendent avec de nombreux défenseurs des moldus. Tout comme ses parents, la jeune rouquine ne fait pas de différence sur les origines de ses collègues, ou de ses camarades quand elle était encore étudiante. Sa meilleure amie est d'ailleurs une moldue qui avait de bien meilleurs résultats dans certaines des matières enseignées à Poudlard qu'elle.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ?
Molly appartient à une famille de sang-purs et est mariée à un sorcier. Elle sait qu’elle a bien moins de chances d’être attaquée qu’une famille comprenant des sorciers nés-moldus. Heureusement que très peu de personnes savent qu’elle appartient à l’Ordre et qu’elle se bat contre cette menace qui reste encore bien trop floue pour le moment. Pour autant, elle reste très méfiante et fait son possible pour protéger son mari et ses enfants. Elle a entouré leur maison de nombreux sorts de protection, et elle ne cesse de guetter son horloge spéciale, celle qui l’informe sur l’endroit où se trouve chacun des membres de sa famille.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ?
Etant employée par le Ministère de la Magie, elle respecte en façade les dires du Ministre et fera mine de le soutenir si la question lui est posée. Mais en réalité, elle a des doutes sur l’efficacité du gouvernement. Il y a certes de belles paroles, mais peu d’actes. Les meurtres de sorciers continuent sans que rien ne semble bouger. Ce n’est pas pour rien qu’Albus Dumbledore a décidé de créer un ordre secret pour protéger ceux qui ne peuvent le faire eux-mêmes. Si les actes du Ministère changeaient les choses, elle serait heureuse de recroire en lui. Mais tant que rien ne se passe, sa confiance décroit de jour en jour et elle s’investit de plus en plus dans l’Ordre du Phoenix.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
Image est un grand mot puisque personne ne sait qui se cache derrière la cagoule noire des Mangemorts, encore moins derrière le nom de Voldemort. Pour elle, ils sont une ombre maléfique prête à surgir à n’importe quel moment. L’image de serpent qui leur colle à la peau leur convient bien. Molly serait sotte de ne pas les craindre. Parfois, elle se méfie de chaque ombre qui la suit, et parfois, elle essaie de se convaincre qu’elle se fait trop d’idées. Mais il y a toujours cette peur sourde en elle, qui devient de bien en plus forte au fur et à mesure que sa famille s’agrandit. Elle a surtout peur pour ses enfants.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ?
Molly a fait bien plus qu'entendre parler de l'Ordre du Phoenix, elle en est l'un des membres, tout comme son mari. Si elle en a rejoint les rangs, c'est qu'elle en partageait les valeurs : protéger le monde, et surtout les sangs mêlés et les nés moldus de la magie des mangemorts et de leur menace. Se battre en duel n'est pas vraiment indiqué pour une maman de famille nombreuse, encore moins pour une femme enceinte, mais ses acolytes savent bien à quel point elle est têtue et qu'elle ne changera pas d'avis. Elle veut se battre pour l'égalité des sorciers, pour mettre en prison tous ces sorciers qui se sentent supérieurs aux autres, pour faire revenir la paix et que ses enfants puissent grandir sans avoir à se battre.

« Percy, arrête de mettre tes doigts dans ton nez, il va sinon devenir tellement énorme qu’on ne verra plus ton visage derrière. Charlie, arrête de courir et aide moi plutôt à mettre la table. Bill, tu veux bien être un amour et trouver dans quel trou s’est à nouveau caché Fred ? Merci mon chaton. »

Je suis Molly Weasley, une maman comblée grâce ses cinq garçons même si les surveiller n’est pas toujours de tout repas, mais aussi une femme comblée grâce à mon merveilleux mari, ainsi qu’une alchimiste respectée au sein du Ministère de la Magie. Mais avant tout ça, j’étais Molly Prewett, la petite rouquine qui ne tenait pas en place, et qui aimait jouer à la maman avec ses petits frères. Comme si mon gène maternel s’exprimait déjà alors que je n’avais même pas encore dix ans. Je pourrai vous parler de mon enfance à Twinckenham, dans cette petite ville coincée entre la campagne et la grande ville qui m’a vue grandir, mais pour moi comme pour beaucoup de sorciers, la vraie vie a commencé le jour où j’ai reçu ma lettre d’acceptation pour l’école de Poudlard.

« Prewett, Molly » Mon tour était arrivé, enfin. Pour une fois, j’aurai préféré m’appeler Abbot pour pouvoir passer dans les premières et être répartie plus rapidement. J’enviais ceux qui était déjà fiés et qui avaient rejoint la table de leur maison. En attendant, je m’étais mise à me ronger les ongles. Il n’y en avait plus que deux encore intacts quand la voix du directeur appela mon nom. Sans regarder autour de moi, je fonçais vers le tabouret, et soulevait délicatement le Choixpeau pour m’y asseoir avant de le poser sur ma tête. Sans vraiment savoir pourquoi, je fermais les yeux et essayait de faire le vide dans ma tête comme ma mère me l’avait conseillé. N’importe quelle maison me conviendrait, sauf Serpentard. Je savais que ma façon de voir le monde n’y serait pas appréciée et je ne voulais pas passer sept ans à me dissimuler. Après une attente qui me parut interminable, le vieux bout de tissu rompit enfin le silence. « Gryffondor ! » Un tonnerre d’applaudissement m’accueilli lorsque j’ouvris les yeux. Heureuse de mon sort puisque je rejoignais la maison qui avait vu grandir mes deux parents, je gambadais vers la table décorée d’or et de rouge, et à mon tour, regardait sereinement les autres nouveaux se faire appeler.

Mes années Poudlard ont fait partie des meilleures années de ma vie, en partie parce que faisant partie d'une famille de sorciers, j'ai toujours rêvé de cette lettre d'acceptation et de faire mes preuves au sein du monde sorcier. Mais j'ai vécu bien plus de choses dans les murs de ce château que je ne l'aurai espéré. Alors que je doutais sur mes capacités à être une bonne sorcière pendant mes premières semaines sur place, car nombre de mes sorts échouaient ou avaient l'effet inverse que celui escompté, je me suis finalement révélée être une bonne matière. Certes, l'histoire de la magie était aussi soporifique pour moi que pour mes camarades, et la divination restait parfois un art obscur, mais j'ai rapidement pris goût aux sortilèges et la métamorphose. Encore mieux, j'ai rapidement découvert que j'excellais en cours de potion, ce qui ravit le maître de potions qui enseignait dans les années 60 car peu d'élèves arrivaient réellement à tirer leur épingle du jeu. Il m'arrivait de discrètement rectifier le contenu des chaudrons de mes amies pendant que le professeur avait le dos tourné, particulièrement celles d'Arthur, de Kingsley et d'Alice, il faut bien l'avouer. En parlant d'Arthur, c'est la première personne que j'ai croisée dans le Poudlard Express et il m'a immédiatement demandée si j'étais née moldue ou dans une famille de sorciers. Il avait l'air déçu de ma réponse, mais heureusement pour lui, les deux autres occupants de nos compartiments l'étaient. . Il leur a posé une multitude de questions sur leur quotidien, je n’avais jamais vu quelqu’un aussi intéressé par leurs habitudes. Plus tard, il est devenu un ami, puis mon meilleur ami. On était toujours assis côte à côte aux cours qu’on avait en commun, on étudiait ensemble le soir, on dégringolait bras dessus bras dessous la pente juste avant Près-Au-Lard et je rirais à chaque fois que je le voyais engloutir autant de bièraubeurre d’un coup. Apparemment, nos amis ont cru que nous étions en couple dès notre quatrième année d’étude, mais à l’époque, on niait avec des sentiments l’un pour l’autre et on répliquait que l’amitié pouvait prendre tout plein de forme. Ce n’est qu’au début de la sixième année que le déclic se fit et qu’il posa pour la première fois ses lèvres sur les miennes, d’abord tout doucement, puis de façon beaucoup plus appuyée. On ne s’est plus quittés depuis. Ce n’est pas un conte de fée, il nous arrive de nous disputer, assez violemment d’ailleurs, mais on finissait toujours par faire la paix, car on ne pouvait être très longtemps éloignés l’un de l’autre.

A la fin de la septième année, à peine nos diplômes respectifs en poche, on s’est mariés dans la foulée. Des rumeurs ont circulé comme quoi j’étais enceinte et que je ne voulais pas que le bébé naisse dans une famille moins unie. Il n’en était rien, on s’aimait, c’est tout, et on voulait que le maximum de personnes le sache. Et pour abriter notre famille nouvellement formée, on a trouvé une maison un peu biscornue dans un petit village en pleine campagne anglaise, Loutry Ste Chapoule, loin du bruit de Londres. Elle n’était pas très grande ou très belle, mais elle était le petit nid d’amour parfait à nos yeux de jeunes mariés. Le Ministère de la Magie nous a tous les deux accueilli dans ses rangs, lui dans le département des détournements de l’artisanat moldu, et moi comme alchimiste au département des mystères. Transplaner main dans la main le matin pour rejoindre Londres était un vrai plaisir pour nous. Mais nous ne restâmes pas très longtemps juste à deux, l’envie d’agrandir notre famille arriva rapidement, et à même pas tout à fait vingt ans, j’accouchais de mon premier petit garçon, William Arthur, qu’on surnomma rapidement Bill pour plus de facilité. Deux ans plus tard, un autre petit garçon pointa le bout de son nez plein de tâches de rousseurs, Charlie. L’envie d’avoir une petite fille commença à se faire ressentir chez moi, et je réussi à convaincre Arthur de faire un autre enfant. Percy nous rejoignit pendant l’été 1976. D’autres femmes se seraient arrêtées à trois enfants, malheureusement pour moi, j’étais bien trop têtue pour abandonner.  Ma nouvelle tentative nous ramena deux jumeaux, Fred et George, deux têtes rousses de plus, encore plus turbulentes que leurs aînés. Mes amies me félicitaient de réussir à tenir ma maison avec une aussi grande tribut. Elles ne savaient pas qu’au fond de moi l’envie d’avoir une Molly junior n’avait toujours pas disparue. Je lui avais déjà même trouvé un nom, je voulais une petite Ginevra, une petite Ginny, pour la nommer d’après ma grand-mère. Je tombais enceinte une fois de plus au milieu de l’année 1979, même si le climat au sein du monde de la magie n’était plus vraiment le même. Le monde était moins sûr, de mauvais sorciers faisaient leur apparition.

« Allez Molly, encore un petit effort, vous y êtes presque … »
« J’en peux plus … »
« Tu peux le faire Mollywobbles, tu y es presque … »
« Aaaaaaahhhhhhh »
« Félicitations Mr et Mme Weasley, vous venez de devenir parents d’un charmant petit garçon ! »
« Arthur, je te préviens … je n’arrêterais pas tant que je n’ai pas une fille … je veux une petite fille aux boucles rousses … »

Ta fiche est super ! Je pense que tu as bien saisie le personnage de Molly, qui d'ailleurs est tellement bon... En tout cas bienvenue

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.