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 he’s good and he’s bad and he’s all that I’ve got + rodolphus.

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MessageSujet: he’s good and he’s bad and he’s all that I’ve got + rodolphus.   he’s good and he’s bad and he’s all that I’ve got + rodolphus. EmptyMar 15 Avr - 21:03



he’s good and he’s bad and

he’s all that I’ve got

le couple lestrange.


Bellatrix rangea sa baguette dans une poche de sa robe de sorcière, rabattit sa capuche sur ses épaules, et ouvrit la porte de ce qui était aujourd'hui sa demeure. Elle y avait élu domicile avec son mari, même s'il lui arrivait de le regretter amèrement : devoir entendre ses jérémiades à propos d'un bébé commençait sérieusement à l'excéder. Bellatrix avait pourtant été suffisamment claire : Elle ne deviendrait pas grosse et énervante pour un gamin qui ne la remercierait jamais assez pour cela. L’ingratitude d'un enfant était pour elle un châtiment qu'elle se refusait, et se savoir faible n'était pas réellement dans ses plans. Mais elle savait aussi que son mari serait, à l'aide d'une quelconque technique, capable de la faire changer d'avis. Et c'est ce qui l'effrayait le plus : se retrouver en plein accouchement sans même savoir pourquoi. En plus de ça, sa soeur était déjà enceinte, ce qui en somme était déjà assez  pour la faire réfléchir : passer après sa soeur n'était réellement pas dans ses habitudes. Quoi qu'il en soit, le bébé attendrait minimum encore deux mois. Et personne ne lui ferait changer d'avis à ce sujet. Passant le pas de sa porte de sa démarche atypique, Bellatrix balaya la pièce des yeux et ni vit pas son époux, ce qui eut le don de la rassurer. Elle avait beau en être très amoureuse, l'affronter ce soir dépasser ses capacités, et elle ne donnait pas cher de sa peau si il l'énervait. Bellatrix n'était pas d'humeur pour un nouveau débat qu'ils savaient tout deux vain. D’un pas félin, comme à son habitude, la jeune femme posa sa cape sur le dos d’un fauteuil, et entreprit de vérifier sa solitude, comme elle le faisait chaque soir à son retour. Trouver un auror dans sa salle de bain n’était vraiment, mais vraiment pas dans ses plans. Bellatrix serpenta dans l’intégralité de la maison Lestrange, avant de remonter silencieusement les escaliers pour atteindre leur chambre commune. C’est alors qu’il apparut comme une fleur, au détour d’un escalier. Fuyant un peu celui qui était aujourd’hui son mari, Bellatrix redescendit les escaliers, et vint s’asseoir sur un fauteuil pour l’atteindre. Elle allait devoir faire preuve de toute la bonne foi imaginable pour qu’il cesse de lui demander un héritier, et ce soir n’était vraiment pas le soir parfait. Soit. Elle était une Black et une Lestrange, après tout ! Rien ne devrait lui résister.  « Je suis rentrée… » La voix de la jeune femme brune retentit en écho dans toute la maison, comme si sa voix avait volé en éclat, frappant les murs éternellement. Lestrange ne mit que quelques secondes à descendre jusqu’à elle, ce qui ne l’étonnait même plus. Quand monsieur désirait quelque chose, il ne m’était jamais bien longtemps avant de s’attaquer à sa proie. Et au fond, Bellatrix se sentait vexée de n’être aujourd’hui qu’une proie. Une sorte de mère porteuse. Peut-être était-elle seulement aveugle, mais cette histoire de bébé, qui revenait à chaque conversation, commençait réellement à la fatiguer : Non, elle ne voulait pas manger pour deux. Non, elle ne voulait pas grossir comme une baleine. Non, elle ne voulait pas craindre la vie de son bébé. Et non, elle ne voulait pas devenir une faible. Tout cela était aujourd’hui hors de son contrôle. Peut-être demain accepterait-elle, mais pas ce soir. Ce soir, elle comptait vivre sans se soucier de ses problèmes de couple. « Bellatrix nous avons à pa… » Trop tard. Bellatrix releva ses yeux vers son mari, qui arborait son éternel petit sourire. Décidément. La jeune femme balaya ses paroles d’un geste de la main, l’intimant à se taire, ce qu’il fit à son plus grand plaisir. Elle se hissa sur ses pieds et se planta devant Lestrange. Elle posa la paume de sa main contre son torse, relevant ses yeux clairs vers lui, avant de commencer doucement son récit.  « Aujourd’hui, j’ai assassiné trois gamins à peine plus âgés qu’Ambre. Je te demanderais donc trois heures de silence, pour eux. » Bellatrix était bien la dernière à avoir des remords après un meurtre, et c’est sans doute pour cela que les intonations de sa voix suite à cette demande étaient fausses. Elle souhaitait juste un peu de silence, et pourquoi pas en prime les bras de son amant. Parler n’était pas de mise, mais le faire taire serait assez compliqué. Elle siffla ces quelques mots comme un serpent l’aurait fait. Et elle savait que son époux n’accepterait pas l’insulte sans broncher. Certes, il resterait calme, car il n’en viendrait jamais aux mains, ou pire, aux insultes avec sa chère et tendre, mais Bellatrix n’était pas sans savoir qu’il était borné, et qu’il ne cesserait pas. Oui, définitivement, elle avait épousé un homme têtu.

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Rodolphus Lestrange

Rodolphus Lestrange
DEATH EATERS

PSEUDO : /
LETTRES SECRÈTES : 299
AVATAR : Ian Somerhalder
ÂGE : 31 ans
PROFESSION : Mangemort à temps plein.

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MessageSujet: Re: he’s good and he’s bad and he’s all that I’ve got + rodolphus.   he’s good and he’s bad and he’s all that I’ve got + rodolphus. EmptyMer 16 Avr - 20:53

Des mots, un peu effacés, l’encre légèrement décalquée sur la page adjacente, avaient décrit un jour le monde comme étant un tout, tournant autour du sexe. Sauf le sexe. Le sexe lui, ne tournait qu’autour du pouvoir. Comme si notre société toute entière se voyait attirée par des besoins aussi triviaux, alors même qu’elle se voulait de plus en plus civilisée. Le mariage, institution sacrée, était part contre pervertit par la simple ambition de ses deux protagonistes, sinistre mise en scène n’ayant pour but que d’atteindre le sommet. De un, nous sommes deux, un duo, une paire qui ne se trahit pas. Deux individus qui ensemble, choisissent de se salir les mains, pour le meilleur ou pour le pire. Aimer et chérir, jusqu’à ce que la mort les sépare, dans un éclat de rire.

Le lavabo se teintait peu à peu de rouge. Les jurons de l’homme se mêlaient au bruit de l’eau qu’il faisait couler à forte pression. Enlevant du mieux qu’il le pouvait le sang qui s’était accumulé dans sa peau, croûtes d’un marron écœurant, ou encore ces fins traits rouges glissés sous ses ongles, Rodolphus retrouvait peu à peu son calme. Coupant l’eau, il inspecta avec précaution sa main droite, intacte. Pourtant, c’était son propre sang qui tâchait encore le lavabo. Plus de coupure, plus de saignements. En coin, il regarda sa baguette, d’un bois blanc tâché de pourpre, posée sur la porcelaine blanche. Incident stupide. Rage momentanée. Alors qu’il s’emparait d’une serviette, son souffle avait déjà repris son court normal – et lorsqu’il entendit des bruits de pas dans son propre manoir, tout signe d’énervement avait quitté son visage.

Stupide baguette. Stupide fureur. La colère lui avait dit son père, revenait à se punir pour la stupidité d’un autre. Ou d’une autre. Le Lestrange avait passé son après-midi à ne rien faire, si ce n’est lire de vieux livres, ou se perdre dans la contemplation des flammes de la cheminée. Voir Rabastan passer, échanger quelques mots, et le voir disparaitre. Oh, il s’était sentit inutile, tellement inutile. C’est fou à quel point l’absence de meurtre peut laisser un trou dans votre esprit. Certains auraient assisté à un match de Quidditch, d’autres seraient probablement au travail. Mais pas lui. Pas le Mangemort, qui aujourd’hui, n’avait aucun ordre à suivre. Rodolphus s’était sentit comme un chien sans maître, et cette réalisation ne lui avait pas vraiment plus. Mais il se contenta d’oublier cette pensée, comme d’habitude. Il n’était pas pressé. Un jour viendrait son heure. Non, le Lestrange savait être patient pour de multiples choses, mais dans son ennui de ce jour, il avait eu bien trop de temps pour penser à une chose en particulier : sa femme. Sa femme qui admirait le Lord, sa femme qui était en mission. Sa femme, si belle et si envoutante. Sa femme, sa putain de promise qui semblait décidée à le laisser sans enfant. Pas d’héritier pour Rodolphus, alors que c’était pourtant son devoir. Son frère n’avait encore personne en vue, mais s’il s’avérait qu’il ai un enfant et pas lui, son orgueil en prendrait un coup. Elle était une Black, lui un Lestrange, normalement, cela devait se passer comme dans ces nombreux arbres généalogiques. Abracadabra. Un héritier.
Alors il ne savait pas vraiment ce qu’il avait fait. Peut-être était-ce un simple sort d’accio, ou peut-être était-ce pour s’amuser à maltraiter son elfe de maison. Peu importait au final, de la nature du sort. Le fait était que sa baguette avait perçu ses bouffées de ressentiment, et avait refusé d’exécuter ce qu’il lui avait ordonné de faire. Le cheveu de vélane au coeur de sa baguette aurait tout aussi bien pu être une mèche de Bellatrix, tant elle était capable de se montrer agaçante. A exploiter la moindre faille de Rodolphus, et le Lord sait qu’il n’en a que peu, il se retrouvait toujours à s’en mordre les doigts. Bella qui profite de l’attachement qu’il lui porte pour retarder sa grossesse. Sa baguette qui profite de sa colère pour lui entailler de manière profonde la paume de sa main. Et le voilà, à se lancer un sort de soin qui cette fois ne cherche pas à le tuer ; et le voilà, dans la salle de bain, comme un cancre en sort offensif, à s’enlever le sang qu’il a lui-même fait couler.

Le visage passablement décontracté, du moins en apparence, Rodolphus descendit donc les escaliers, sa baguette encore tâchée à la main. Pas de bruit, pas d’annonce de la personne qui venait de s’introduire. La dernière chose dont il avait envie était de retrouver un auror en plein milieu de son hall d’entrée. « Je suis rentrée… » Oh. Parfait. S’arrêtant à un étage devant un miroir afin de vérifier qu’il avait son apparence la plus naturelle, il continua de descendre. Avec un sourire, le sang-pur se surpris à penser qu’il ne fallait *Pas effrayer sa proie*. Paraître l’homme qu’il était d’habitude, comme si rien ne l’avait suffisamment énervé pour que sa baguette le ressente. En un sens, le seul fait d’entendre la voix de Bella l’apaisa, mais pas assez pour qu’il perde son objectif de tête. Ce soir, Rodolphus était déterminé à convaincre une fois pour toute sa femme qui, de toute manière, n’a jamais eu de réel argument face à lui. Descendant presque en trombe, son habituel sourire aux coins des lèvres, il la rejoignit dans le salon ou elle s’était confortablement installée dans un fauteuil de velour. « Bellatrix nous avons à pa… » Non. Décidément, au vu du geste de la main qu’elle lui fit, il avait bel et bien réussit à ‘effrayer sa proie’. Acceptant ce silence forcé qu’elle venait de lui intimer, Rodolphus observa sa belle se relever. Toute en élégance, son mari était toujours autant absorbé par le moindre de ses gestes, comme s’il la redécouvrait encore et encore pour la première fois, là, dans ce sordide cours de potions. *Encore une seule pensée guimauve de ce genre et tu peux militer pour les droits des elfes Rodolphus..*
Mais le fait était que lorsqu’elle pose sa main contre son torse, il avait à moitié oublié ce pourquoi il avait pourtant tant ragé un quart d’heure auparavant. « Aujourd’hui, j’ai assassiné trois gamins à peine plus âgés qu’Ambre. Je te demanderais donc trois heures de silence, pour eux. » Mais cette simple phrase le lui rappela de plein fouet. Cynisme acerbe dit sur un ton doucereux. Son regard se planta dans le sien, dans ses grand yeux d’un bleu un brin plus sombre que ceux de Rodolphus. Face à ce loup mal déguisé en agneau, son sourire s’agrandît un peu plus. « Trois heures pour trois moldus ? Voyons Bellatrix, je vaux mieux que ça non ? » Machinalement, il plaça ses bras derrière le dos de sa femme, la rapprochant de lui, et triturant d’une main la pointe de ses cheveux. Le regard dans le vide, observant sans les voir les tapisseries au mur, le sang-pur laissa un instant le silence planer entre eux deux. Ils s’aimaient comme dans les contes les plus ignobles que les boutonneuses se racontaient, et pourtant, Rodolphus savait pertinemment comment allait se dérouler le court de leur soirée. « Tu sais de quoi je vais te parler Bella, ne rend pas les choses plus compliquées qu’elles ne le sont déjà. » Entre ses doigts glissaient ces mèches d’ébène dont il connaissait l’odeur par cœur.  « Bien qu’au fond rien de soit compliqué. Là, maintenant, nous pouvons simplement aller dans notre chambre, dans notre lit, puis attendre neuf mois. » C’était classe, c’était net. Mais après tant d’années passées marié, le Lestrange ne sentait plus le besoin de prendre des gants. Baissant finalement sa tête vers elle, il capta de nouveau son regard et ajouta : « Je ne suis pas d’humeur à entendre ton discours sans queue ni tête quant au fait que tu ne veuilles pas de cet enfant, alors autant passer cette étape veux-tu ? »
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