ANA + ❝ i'm friend with the monster that's under my bed ❞

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anastasia karkaroff

it's dark inside

NOM : Elle porte le plus fièrement du monde le patronyme Karkaroff, et ce, même si certains préfèreraient que cela ne soit pas le cas. Si sa famille n'a plus sa grandeur d’antan, le monde sorcier ne l'a jamais vraiment oubliée et elle possède encore une certaine influence jusqu'en Angleterre. PRÉNOM(S) : Comme la princesse russe, la jeune femme s'est vue affublée du prénom Anastasia, elle a toujours apprécié ce dernier et ne laisse la possibilité qu'à peu de ses proches de lui donner un surnom. Mais, si jamais cela arrive, ces derniers l'appellent Ana, ou Stasia. ASCENDANCE : Si jadis la famille Karkaroff était tout ce qu'il y a de plus pur, ce n'est pas le cas d'Ana, elle est donc de sang-mêlé et s'en accommode plutôt bien. Bien sûr, elle sait que cela aurait été plus facile pour elle si elle avait été de sang pur, mais ce n'est pas bien grave, elle réussira sans. ÂGE : Elle a fêté ses 20 ans en plein milieu de l'hiver, précisément le 21 janvier, mais pour elle, sa véritable naissance a eut lieu le jour de sa transformation... Ce qui la ramène le 8 juin il y a de ça neuf ans. LIEU DE NAISSANCE : Son pays natal est la Russie et elle est née dans le manoir familial, entourée de toute sa famille, c'était une période heureuse, avant le déchirement. Parfois, mais cela n'arrive que peu souvent, elle regrette ces moments là, mais elle chasse vite cette nostalgie.SITUATION SOCIALE : Si elle est actuellement célibataire, il semblerait que son père daigne enfin faire attention à elle et ai décidé de la fiancer avec un jeune homme de bonne famille, elle n'en a que faire, elle ne suivra pas les ordres de cet homme qui la fait passer pour morte depuis une dizaine d'années. ANCIENNE MAISON : Ayant grandi en Russie, dans un endroit très reculé pour éviter que l'on fasse le lien entre elle et sa famille, elle n'a pas proprement dit été à l'école, ce sont les personnes qui prenaient soin d'elle au manoir qui lui ont tout appris, et il faut avouer qu'elle est plutôt douée malgré tout et surtout en métamorphoses et potions. PROFESSION :Un peu touche à tout, Ana ne sait pas encore réellement quoi faire de sa vie, du moins, elle ne sait pas vers quel département du ministère se tourner. Alors elle est pour le moment stagiaire au ministère de la magie. Elle espère arriver à gravir les échelons. BAGUETTE : Elle se souvient encore du jour où elle a acheté sa baguette, cette dernière est en bois de prunelier et mesure 28 centimètres, composée d'un crin de sombral elle est plutôt rigide et parfaitement adaptée aux métamorphoses.PATRONUS : Anastasia n'est jamais arrivée à créer un patronus corporel, dans son adolescence, il prenait la forme d'une brume informe... Mais, elle n'y arrive même plus désormais, surement son âme était elle trop noircie aujourd'hui. MIROIR DU RISED : Elle se verrait surement dans les plus hautes sphères du pouvoir, brandissant fièrement sa nature lycanthrope, et elle verrait son père les yeux brillants d'admiration dans une dernière lueur de vie. Elle en frissonne de plaisir rien que de l'imaginer... EPOUVANTARD : une cage, une cage dans laquelle elle est enfermée, qui l'empêche d'être qui elle veut être, qui lui arrache sa liberté. FACULTE SPECIALE : Anastasia est une lycanthrope et ce depuis presque dix ans désormais, loin de l'horreur que cela représente aux yeux des autres sorciers, elle considère cela comme une chance et estime que sa race est au moins l'égale des sorciers lambda, voire même supérieure, elle est prête à tout pour le montrer.

☞ Only the dead have seen the end of the war

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? Bien sur, ce n'est pas pour rien que les nés-moldus sont considérés comme des moins que rien pour la plus part des sorciers, cela a une grande importance dans le monde magique actuel et ce même si, dans son cas, ce n'est pas le plus important. En même temps, la lycanthropie lui a arraché un statut de sang pur, ce n'est pas très grave, la nature de loup-garou est la plus importante à ses yeux et même si personne n'y croit, c'est un don, et non une malédiction. Ainsi, un lycanthrope, qu'il soit né moldu ou bien sang pur aura bien plus d'importance pour elle que n'importe lequel de ces sorciers, et ce même s'il apparait être le plus puissant du pays. Mais, par les temps qui courent, elle ne dédaignera jamais ces personnes, le pouvoir est à portée de main, elle s'en servira avant de les écraser.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? C'est un peu inquiétant en effet, mais en temps que sang-mêlé, plus proche du sang pur que du reste, elle n'est pas bien inquiète. Sinon, elle serait sans doute restée en Russie plutôt que de se jeter entre les griffes du mage noir. Elle n'a pas peur et sait très bien que si jamais le pays doit être mal en point à l'issue de la guerre, il faudra bien des personnes présentes pour le reconstruire, et ainsi prendre le pouvoir. Ce n'est pas pour rien qu'elle a choisi cette destination et ce même si le quotidien et extrêmement pesant avec tous ces meurtres et la puanteur de la peur à chaque coin de rue.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTÈRE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? Ils ont autant peur que la population et n'ont pas assez de poids pour arriver à protéger leurs citoyens, ils sont peut être pleins de bonne volonté mais ils n'arrivent pas à enrayer la série de meurtres... Quelle tristesse. Elle sait très bien qu'ils font tout ce qu'ils peuvent mais à partir du moment où cela n'est pas suffisant, c'est comme s'ils ne faisaient rien. Elle ne compte pas les aider plus que nécessaire, après tout, qui se souvient des héros de l'ombre une fois que tout est fini? Personne. Et elle ne veut pas finir dans l'ignorance la plus totale.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Tout le monde craint Lord Voldemort, même ses plus fidèles serviteurs, ce n'est pas pour rien qu'il est le chef, et les autres de simples larves à son service. Le pouvoir, c'est la crainte, il inspire la crainte, et même la terreur, et peut faire ce qu'il veut. Un grand homme même si elle ne partage pas ses idéaux, elle préfère se ranger de son côté plutôt que du côté des faibles. Rien d'officiel, mais si jamais elle en venait à devoir choisir cela serait plutôt rapide.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? L'ordre de quoi? Non, jamais entendu parlé, et ce n'est pas faute de s'intéresser à la vie magique actuelle. Mais elle se doute bien que cela doit avoir un rapport avec une sorte de groupe de rébellion, qui essaye d'agir comme il le peut contre les agissements des mangemorts. Sombres fous si c'est le cas, utopistes et suicidaires... Voilà ce qu'elle en pense.

☞ A look in the mirror.

PSEUDO & PRÉNOM: auré' ÂGE: dix sept ans RÉGION: midi-pyrénées ACTIVITÉ SUR LE FORUM: 5/7 jours. PERSONNAGE: inventé COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI ? par bazzart UN AVIS SUR LE FORUM ? magnifique :bril:

AVATAR: kristina bazan CREDITS: tumblr DERNIER MOT: :myass:

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This is how it ends

petite citation sur une ligne

Elle ne sentait plus rien, si ce n’est une douleur intense au flanc. C’était insoutenable, elle avait l’impression que tout tournait autour de cette douleur, comme si elle n’était plus rien à part cette plaie sanguinolente « Ma princesse… » Murmura une voix, transperçant l’épais brouillard qui l’entourait tandis qu’elle flottait au milieu des méandres d’un sommeil trop lourd. Elle la reconnaissait, c’était la voix de sa mère, et elle était paniquée. Elle ne comprenait pas, elle ne se souvenait pas, il n’y avait que cette douleur, et les cris, des cris d’horreur, des cris de peur, elle criait sans même savoir si ce n’était que des souvenirs… « Ma belle petite princesse… » La voix s’infiltra encore dans son esprit essayant de trouver une prise, de la maintenir à la réalité, mais la douleur emportait tout sur son passage et peu à peu, les murmures étaient ensevelis derrière les pleurs. Elle avait l’impression que cela durait une éternité, que cela n’en finissait pas comme un poison qui s’infiltrait dans ses veines, mais elle n’avait aucun point de comparaison, à dix ans on ne peut pas comparer cette douleur, personne ne le peut à moins de l’avoir connu mais elle s’imaginait le poison comme ça. Une douleur intense, qui prend un peu plus de place à chaque instant, qui prend la place de toute sensation de bien-être, qui avale toutes les cellules de son corps pour y déposer la douleur. Elle a mal, elle a envie de le hurler mais elle ne s’entend même plus. « Anastasia, ma chérie… » Elle gémit doucement, épuisée par la lutte, c’était comme si tout son corps lui hurlait de se laisser tomber mais elle refusait d’abandonner. De toutes ses forces de petites fille elle essayer de rejoindre sa mère, dont la voix paraissait tellement lointaine… « Laisse-la, écarte toi Ella. » Une voix cassante se joint aux doux sanglots de sa mère et Anastasia sent la glace s’installer dans la pièce, jamais son père n’avait parlé ainsi en sa présence, jamais elle ne l’avait entendu être aussi brutal envers sa femme. Mais surement la douleur jouait des tours à son esprit, détournant la réalité en un cauchemar sordide et inimaginable. Sans même savoir si c’était un effet de son imagination ou si c’était la réalité, elle sentit ses yeux s’ouvrir, et malgré le voile qui obscurcissait sa vision elle grava à jamais la scène qui se jouait face à elle. « Igor… Par tous les dieux que fais-tu ? » S’exclama sa mère, découvrant avec stupéfaction comme elle l’homme qui brandissait sa baguette, menaçant. « Ecarte toi je te dis ! Notre fille n’existe plus… Tu as vu la morsure ! » Sifflait-il tandis qu’il essayer de s’interposer entre la mère et la fille. Mais ce n’était pas si facile, Ella comprenait bien ce que son mari avait en tête, et elle ne pouvait pas le cautionner. Anastasia commence à comprendre, ou du moins, elle en a l’impression et ça lui fait peur. Peu à peu, elle sent la douleur et la peur se mêler, elle a l’impression de recommencer à crier et puis elle sombre à nouveau… Peut-être était-elle morte, elle ne le savait même pas, toutes les voix c’étaient tuent, même la douleur avait disparue. C’était reposant, elle flottait encore, mais elle ne criait plus, elle n’avait plus mal.

Chère mère,
Comme le temps me semble long depuis votre départ, je ne peux m’empêcher de vous en vouloir un peu de m’abandonner le temps de l’hiver. Il est tellement long ici, cet endroit est tellement froid, je m’en veux de vous avouer mon mal-être vous qui faites tant pour moi. Je dois être bien égoïste pour vouloir vous avoir avec moi tout au long de l’année, je sais très bien que père a aussi besoin de vous, là-bas, a Durmstrang. Lui arrive-t-il de parler de moi ? J’en doute, vous savez, je me souviens encore de cette fameuse nuit, je me languis de sa présence à mes côtés, il me semblait être invincible lorsqu’il me serrait entre ses bras. Et désormais c’est la barrière qui nous sépare qui me semble infranchissable… Pensez-vous un jour qu’il me pardonnera d’être telle que je suis ?
La maison me manque tellement, est ce que l’on voit toujours les berges du lac depuis le balcon ? Ou bien les arbres ont-ils trop grandis pour cela ? J’aimais tellement sentir le pain chaud en me réveillant… Ici, Vladimir et Irina prennent bien soin de moi mais ce n’est pas pareil… Malgré tout je les apprécie beaucoup, mais ils ne sont pas vous… Oh mère, vous me manquez tellement…

Presque brutalement elle ferme le livre, un vieil ouvrage dans lequel sont enfermées toutes les lettres qu’elle n’a pas envoyées. Cela fait bien longtemps qu’elle n’a pas écrit de telles lettres, cela fait bien longtemps qu’elle n’a pas langui la présence de son père, bien longtemps que sa mère n’est pas venue la visiter dans sa prison de pierres. Cela fait bien longtemps que personne n’est venu la visiter tout court, mais elle n’en a que faire, elle a retrouvé une famille grâce aux habitants du manoir. Venus de tous horizons, plus ou moins jeunes, plus ou moins riches, plus ou moins purs, certains ne sont là que pour quelques semaines alors que d’autres évoluent depuis des années entre ces murs. Anastasia en fait partie, elle est comme une ombre qui plane au-dessus de la tête de chacun des habitants, peu loquace, pas plus accueillante, elle inspire malgré tout confiance, avec ses longs cheveux blonds et son visage angélique, beaucoup lui donneraient le bon dieu sans concession. S’ils savaient, s’ils savaient qu’elle est responsable à elle seule de la plus part des légendes qui entourent cet endroit. Les hurlements de loup lors de la pleine lune, une pièce où des chaines sont accrochées aux murs, les marques de griffes sur les troncs des arbres et quelques disparitions mystérieuses… Le tout enrobé de nombreux commérages de vieilles dames, personne ne pourrait se douter qu’elle est la bête dont les contes pour enfants parlent… Pourtant, elle ne se cache pas, elle ne s’est jamais cachée comme elle ne s’est jamais laissé enfermer dans cette pièce construite pour enrayer ses pulsions animales la pleine lune venue. Elle est fière Anastasia, fière de ce qu’elle est, de la race à laquelle elle appartient, et elle se fout d’avoir perdu sa famille à cause de cela. Ils ne la comprennent pas, tant pis, ils la rejettent, tant pis, désormais, elle n’est plus des leurs. Se relevant, elle prend l’ouvrage entre ses mains et se rapproche de la cheminée, au feu aussi ardent que la rancœur qui l’habite et elle fait tomber une à une les lettres comme tant d’offenses à son passé. Personne ne saurait jamais qu’elle avait souffert, personne. Un léger sourire au coin des lèvres elle observe le papier se consumer au rythme de la danse des flammes. « Tu n’aurais pas dû faire ça princesse… » S’exclama la voix douce mais pleine de conviction d’Irina, une seconde mère pour elle. La belle bulgare aux yeux bleus aciers la fixait depuis l’embrasure de la porte, elle sentait le poids de son regard sur ses épaules mais elle ne faiblit pas, le regard toujours absorbé par la disparition de ses faiblesses. « Ils m’ont oubliée, je compte faire de même, rien ne sert de ressasser le passé, il n’a plus d’importance. » Murmura-t-elle simplement refermant le livre pour le déposer à sa place, dans la bibliothèque. Laissant échapper un soupir, la femme secoua la tête avant d’ajouter simplement : « J’espère que tu n’auras pas à le regretter, il n’y a rien de plus important que la famille tu sais… » Se retenant de rire pour ne pas vexer sa nourrice, Anastasia se retourna vers elle, amère : « Je n’ai pas de famille, ou du moins, ces gens n’en font pas partie. » Pas besoin de faire un long discours, Irina pouvait bien lire tout le dégout dans les yeux sa protégée pour sa famille biologique. Elle n’insista pas lorsque cette dernière déposa un baiser sur sa joue et quitta la pièce. Anastasia n’avait jamais été très friande des marques d’affections alors elle savait qu’elle n’aurait pas plus que cela…

« La pleine lune approche Stasia… » Murmura l’homme d’une voix sombre alors qu’il jetait un œil à travers la fenêtre. « Peut-être que tu devrais… » « Que je devrais quoi ? M’enfermer ? M’accrocher à des chaines pour me protéger de moi-même ? Je t’en prie tu sais très bien que je ne le ferai pas. » Lâcha une jeune femme jusqu’à lors restée dans l’ombre, sa voix était sifflante et froide, presque inquiétante mais on pouvait apercevoir un léger sourire poindre sur ses lèvres alors qu’elle se redressa pour glisser silencieusement jusqu’à l’homme qui l’observait d’un air à la foi déçu et attristé. Laissant échapper un soupir elle plonge ses yeux dans les siens avant de reprendre, le plus chaleureusement possible : « Tu n’as pas à t’inquiéter pour moi. Je te le promets. » Ses longs cheveux blonds et son visage enfantin dénotent avec le ton mature et posé de sa voix, elle savait très bien ce qu’elle faisait et ce, surtout lorsque cela concernait la pleine lune. « Tu ne m’empêchera pas de m’inquiéter pour toi, cette bête… » Reprit-il en essayant d’éviter le regard perçant de sa cadette. Laissant échapper un léger grognement, cette dernière commence à faire les cents pas dans la pièce, elle refuse de perdre son calme, surtout pas face à lui, surtout pas avec la pleine lune qui est plus que proche, qui sait ce qu’elle pourrait faire dans un élan de colère. « Cette bête, c’est moi et il va falloir que tu t’y fasses, et que je sache, il me sera difficile de me faire du mal toute seule. » Lâche-t-elle, bien trop enjouée, bien trop légère à l’idée de rejoindre les siens dans quelques jours au gout de son interlocuteur qui attrape son bras avec force pour bloquer ses mouvements. Tenant son menton de sa main libre il l’oblige à le regarder avant de reprendre, plus dur, plus froid qu’il ne l’avait été jusqu’à présent. « Redescend sur terre Ana, je vois bien que tu ne comprends pas, être loup-garou, ce n’est pas bien ! Ce n’est pas pour rien que ton père t’enferme ici… On dirait que ça te plait d’être… » A nouveau, elle le coupe, ne cherchant même pas à se dégager de sa poigne préférant le regarder dans les yeux, un lueur de défi mauvaise dans le regard : « Un monstre ? Eh bien, vas-y, dis-le, je sais que tu en meurs d’envie. » Ce n’est pas la première fois qu’ils ont cette discussion, à chaque pleine lune, c’est la même chose. Il ne comprend pas à quel point elle se sent libre lorsqu’elle est loup, à quel point cela peut être jouissif, et ce, même si elle ne se souvient que de quelques bribes, quelques sensations. Mais elle adore ça. Et elle se fout de savoir si c’est un don ou une malédiction aux yeux des autres, ils ne sont pas dans sa tête, ils ne sont pas là quand elle traverse la forêt, quand elle sent l’animal prendre possession de son corps, ils ne peuvent pas comprendre. Sinon, ils comprendraient qu’il n’y a aucune raison pour laquelle les loups sont ainsi discriminés. Elle leur montrera, un jour ou l’autre, qu’ils avaient tort. Lorsqu’elle aura obtenu le pouvoir, la puissance, ils verraient… Il verrait surtout… Ce père qui l’avait envoyé dans cet endroit reculé, qui avait tout fait pour faire oublier sa fille, parce qu’elle avait eu la malchance de tomber entre les griffes d’un loup-garou. Il serait le premier à payer de cet affront qu’il lui avait fait. Une lueur inquiétante passa dans son regard, et, le remarquant surement, l’homme la lâcha avant de s’écarter prudemment. Il connaissait bien ce regard, il avait l’habitude de voir sa protégée perdre le contrôle, et ce, même si elle faisait tout pour paraitre aussi froide, aussi détachée que la glace, il la connaissait par cœur. « Tu devrais vraiment faire quelque chose… Tu me fais peur parfois Ana, tu sais ? » Murmura-t-il, plus protecteur, plus doux en tentant de la faire réagir en caressant doucement sa joue. Mais elle ne l’écoutait plus. Après presque dix ans passés à se cacher et à imaginer ce qu’aurait pu être sa vie sans ce douloureux moment qu’avait été la morsure, elle devait désormais vivre, et tant pis si elle devait quitter les siens pour cela. S’il le fallait, elle rejoindrait l’Europe, l’Angleterre, pour montrer au monde à quel point elle était importante, à quel point elle pouvait faire de grande choses. Et tout ça, en portant haut et fort les couleurs de sa lycanthropie, elle ne renierait pas qui elle était, pour rien au monde elle ne le ferait.

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T'as de belles chaussures tu sais ?

Bienvenue !

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Bienvenue sur le forum, :heart:

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je ne connaissais pas ton avatar, mais j'adore ces cheveux
bienvenue et bonne chance pour ta fiche le choix de famille est classe

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KRISTINA BAZAN oh mon dieu c'est si rare de la voir et elle est magnifique pourtant
bienvenue sur le forum, et bon courage pour ta fiche bgette

une Karkaroff, quel choix intéressant! :hé:

J'ai bien hâte de voir ce que tu comptes en faire ! :bril:

Bon courage pour la suite ! :heart:

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Je ne connais pas cet avatar mai si CW créate sur elle, c'est que c'est une bombe ^^

Bienvenue parmi nous.

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Merci à tous :bril:

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Oh Kristina, elle me rappelle un perso que j'ai adoré sur un autre forum x) (rien à voir je sais mais j'aime bien voir les avatars de perso que j'ai aimé xD).
Bienvenue parmi nous !

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Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche. :heart:

CHOUPETTE

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oh, une karkaroff et puis anastasia, ça me rappelle juste trop le dessin animé c'est horrible
bienvenue

félicitations!

tu es désormais validé(e)

Ah tu as finalement eu l'inspiration ! Je l'aime déjà moi, cette petite Anastasia et puis le personne promet d'être intéressant, j'ai hâte de voir son évolution au fil des rp ! En tout cas je te valide enfin, bon jeu ma belle ! (:

Congratulations, petit sorcier ! :smile:

Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité :face:

), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. :gaa:C'est ta vie, mon coco. :siffle:Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. :kya:Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. :amimorve:

On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide :red:

Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom :mdr:

:arrow:Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end. :tongue:

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