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 VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.

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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 12:53



virgile gainsborough

We don't need no thought control. No dark sarcasm in the classroom


NOM : Gainsborough. Oui, comme le peintre. Mais non, rien à voir. PRÉNOM(S) : Comme une abnégation à la connerie, l'on m'attribua le prénom de Virgile. Quand d'aucuns étaient affublés de Ryan, John, ou autres Franck, autant d'appellations encensant l'esprit étriqué des gens de ma banlieue, ma mère voulut s'ériger comme la détentrice du savoir de ce monde frelaté jusqu'à la lie. Elle trouvait ça beau, Virgile. Cette femme à la beauté banale, à l'intelligence émoussée mais à la volonté de paraître plus puissante encore que ses inepties d'ouvrière de bas étage. Et la génitrice de ne m'attribuer qu'un seul prénom ; sans doute trouva-t-elle la force d'ébrécher son cerveau à trop se triturer les méninges. Ca l'a usée, cette salope. Mais comme pour pallier à son incompétence, mes collègues de travail me trouvèrent un surnom : Jarvey. Parce que, paraît-il, je jure comme un charretier. ASCENDANCE : Je suis de la race des parias ; né moldu ou sang-de-bourbe, ne vous en déplaise. ÂGE : vingt-sept ans. LIEU DE NAISSANCE : Dans l'une des banlieues londoniennes où suintent la misère et la connerie humaine, mais rien qui ne soit rédhibitoire pour moi ; j'aime l'atmosphère cosmopolite dans laquelle baigne East End. SITUATION SOCIALE : Célibataire. Je fuis la gente féminine comme la peste doublée du choléra. ANCIENNE MAISON : Ma témérité patentée ainsi que mon caractère frondeur m'ont mené à la noble maison de Gryffondor. PROFESSION : Mon mental d'acier a toujours eu raison de ma verve injurieuse ; je suis ainsi Auror. BAGUETTE : Bois d'aubépine, crin de sombral, 28,2 cm. Idéale pour les maléfices et les soins de guérison, mais difficile à prendre en mains car connectée avec trop de zèle aux émotions de son possesseur. PATRONUS : J'ai pour patronus un fossa ; animal décrit comme avide et agressif et en cela j'ignore encore pourquoi ce dernier me caractérise (un peu d'ironie, c'est un excellent tonique sanguin) Il est aussi le symbole de l'indépendance et de l'ingéniosité. MIROIR DU RISED :  Ma jeune soeur dans les bras et un sourire épanoui sur nos visages. J'aspire seulement à m'extirper de ce marasme poisseux que fut ma vie, et à me reconstruire enfin. EPOUVANTARD : Ma génitrice. Pas très viril comme hantise, mais elle incarne tout le dégoût que j'éprouve pour le monde. Je l'exècre, je la crains, je la vomis. Qu'elle pourrisse sous terre et sous la crasse. FACULTE SPECIALE : aucune.



☞ Only the dead have seen the end of the war

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ?
Je n'en accorde aucune ; la valeur d'une personne s'évalue à ses actes et ses idéaux et non à l'hémoglobine coulant en ses veines. Je ne peux nier cependant que j'aborde les sangs-purs avec une certaine appréhension voire un mépris dans quelques cas ; réflexe auto-défensif, prêt à mordre si le quidam se disant élitiste vient à me chercher des noises. Ces sales histoires de classification de sang, racé ou souillé, me foutent la gerbe.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ?
Je ne saurais qu'être stupide si la situation d'aujourd'hui n'éveillait en aucun cas ma méfiance. Je demeure aux aguets, anticipe avec crainte le futur sombre qui se profile... mais curieusement je reste volontiers optimisme. La rage de vaincre, sans doute. La témérité exacerbée, probablement. Mon caractère vindicatif et ma combativité intarissable me somment en outre de ne jamais abandonner la bataille, quand bien même l'ascendance de Lord Voldemort est un peu plus puissante chaque jour.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ?
Bien sûr que mon employeur m'inspire confiance... Mais j'ose l'avouer véritablement ; je ne me pose guère de questions quant à la politique active de Millicent Bagnold. La main de fer avec laquelle gouverne le Ministère ne me fait guère tiquer, du moins pas pour le moment. J'estime que le Gouvernement se doit d'être inflexible afin de ne pas laisser ces idéologies frelatées investir les locaux et la nation sorcière. Du moins c'est là ce que j'affirme lorsque l'on me pose la question, mais je me cantonne à mes missions et mes convictions propres. Pour le reste je manque cruellement d'empathie, visiblement.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
Des nazis à mon sens, ni plus ni moins. Tout me révulse et m'inquiète chez ces individus à l'esprit aussi étriqué que leurs neurones. Mais hélas leur prise de pouvoir grandissante appuie un peu plus chaque jour leur mainmise sur le monde sorcier. Lord Voldemort est un leader fédérateur et redoutable ; autant dans sa manière de faire que dans ses idéaux. Tant qu'ils fouleront le sol, nos libertés d'action et de penser seront compromises.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ?
J'ai eu vent de quelques échos, rumeurs farfelues ou fantasmes de pauvres abattus priant pour que quelques élus sorciers ne se fassent salvateurs. Et si cet Ordre existe alors j'admire le sens du sacrifice de ses membres belliqueux. J'espère pour eux qu'ils ont signé une assurance vie, et que leur pugnacité n'a d'égal que leur talent au combat.




☞ A look in the mirror.

PSEUDO & PRÉNOM: black jack. ÂGE: ohlà, proche de la retraite '-'. RÉGION: breizh da viken. ACTIVITÉ SUR LE FORUM:  5/7 jours. PERSONNAGE: inventé. COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI ? on m'a amadouée ö. UN AVIS SUR LE FORUM ? j'aime le concept de privilégier les adultes dans un monde HP  :heart: . AVATAR: ed westwick. CREDITS: underc00ver. DERNIER MOT: *secoue ses poils pour Kasia*.
 



Dernière édition par Virgile Gainsborough le Sam 7 Juin - 21:52, édité 14 fois
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Virgile Gainsborough

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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 12:53



This is how it ends

I knew the moment had arrived for killing the past and coming back to life.



Acte I. Endure the present, and watch for better things.
13 Août 1970

« Merci... » Elle minauda d'une voix coulante, ses longs doigts osseux s'attardant sur les médicaments détenus par la main juvénile et salvatrice. Paupières lourdes et trop fardées, de longs cils parsemés de mascara filandreux, une large bouche, charnue et pleine, soulignée d'un trait carmin. Beauté fade et fanée, la gueule typique d'une pauvre hère n'ayant pas été épargnée par les coups de burin assénés par le temps et l'alcool. Virgile se redressa comme il toisa sa mère avec ce mépris au coin de l'oeil et ce dégoût en bord de lippe. Comme un goût aigre contre le palais, vomissure infâme, monceaux de faiblesse enfoncés loin dans la chair et l'âme. L'adolescent frissonna dès lors que leurs peaux se frôlèrent ; il ravala sa crainte, elle exulta. Pauvre conne. Persuadée de lire dans le regard du fiston tout cette velléité incestueuse quand il n'aspirait qu'à fuir. « Je ne peux pas faire grand chose sans mes anti-dépresseurs. » La génitrice étira sa grande bouche dans un sourire abject, appelant à tous les vices, se dandinant d'avantage dans son fauteuil telle une truie en chaleur. Le gamin se contenta d'acquiescer, prêt à tourner les talons. S'extirper de cet enfer, éviter de dégueulasser le tapis au passage s'il venait à régurgiter son déjeuner. La succube alarmée le retint par le bras puis plongea ses yeux implorants dans ceux de sa progéniture, élevant de concert une voix grasse qui se voulait délicate. « Ne te couche pas trop tard. » Un frémissement de nouveau lui parcourut l'échine tandis que l'étau de sa gorge se resserra d'avantage. Et il déglutit mollement, le pauvre quidam, de répugnance et d'horreur. Assailli par sa propre faiblesse, celle de ne savoir repousser la figure maternelle,  il s'en serait frappé la tête contre le mur. Cogner encore, jusqu'à ce que la boite crânienne n'éclate enfin, que ce cerveau mort sous les affres des humiliations ne le délivre de ces cauchemars dantesques. L'agonie comme seule issue, vomir ses tripes à défaut de sa bile, puis se détacher de ces lambeaux de chair. S'extirper de ce corps qui n'était plus le sien, le mutiler à outrance. Pour ne plus qu'elle mouille, cette salope. « Non. » parvint-il à souffler entre deux battements de cœur hargneux ; l'organe mis à mal scandait son désarroi mais se figeait, instantanément, lorsque la harpie venait réclamer son dû. Putain d'instinct de survie : ça préfère souiller la carne et l'esprit plutôt que de laisser crever la carcasse.

***

Sa pupille se figea au loin avant de mourir écrasée quelque part sur le mur fissuré. Cette bicoque insalubre suintait l'humidité, le whisky et le parfum adipeux de l'autre rombière. Puis, dès lors que l'on passait le seuil de sa chambre, des effluves de stupre dégueulasse encensées aux particules poussiéreuses venaient se loger dans les narines. Pot pourri pestilentiel de tout ce que la vie peut cracher de malsain. Ci-gît les reclus de la société, ceux que l'on moque, que l'on oublie, ceux dont on déleste toute dignité pour délit de sale gueule et de portefeuille dégarni. Et comme par un obscur truchement, tout ce qu'il y avait de délétère dans cette baraque se répercutait sur ses habitants : une mère incestueuse sous psychotropes, un fils acoquiné avec la vermine du coin, puis la petite dernière, Lindsay, physique ingrat mais esprit relativement affûté. « Putain Lindsay, baisse le son ! » Virgile lança quelques coups rudes contre le mur de sa chambre, espérant vainement que le bruit sourd couvrirait la grande gueule du chanteur à nymphettes s'égosillant dans la radio, avant de se laisser tomber sur son lit de fortune. Fourrageant ses cheveux de manière abrupte, réflexe auto-agressif lorsqu'il put s'agir de mater a minima l'avilissement qu'il sentait monter en lui, le garçon retint en sa gorge sèche quelques glapissements tacites mais puissants. Crise de nerf et d'identité oblige, lui qui se sentait désincarné face à la souillure du corps. Ne pas être réellement là lorsque l'autre matrone se glissera dans ses draps. « FUCK OFF ! » Et l'adolescent de se relever soudain, fatigué d'écouter sa bête noire rugir tout contre son flanc et lui griffer la cage thoracique, ses pas prompts l'amenant vers la chambre de sa jeune sœur qu'il ouvrit à la volée.

Ses prunelles accrochèrent derechef la gamine de quatorze ans se trémoussant sur le plancher vétuste, pose sensuelle, déhanché aussi lascive que les péripatéticiennes du coin, l'élégance crade en moins. « Coupe le son, c'est de la merde ton truc. » Virgile fronça les sourcils d'irritation, écrivant des traits assurés et autoritaires qu'il perdait d'emblée face à leur génitrice. « C'est pas d'la merde, c'est Nick Lowe ! » qu'elle dégoisa, trop fière, comme elle poussa un peu plus le volume. Alors dépité, son aîné mit fin à la scène inhumaine en tirant sur la prise électrique. Le silence soudain vint planer sur leurs têtes, seulement rompu par les feulements d'une télévision mal réglée venant du salon. « C'est bien ce que j'dis. » « C'est toujours mieux que tes Rolling Stones ou tes Pink Machin. » « Pink Floyd. T'es naze. » « Et toi t'es qu'un gros con. » « Viens on sort manger. » Lindsay se stoppa net, non pas qu'elle fut impressionnée par cette véhémence soudain tue (après tout le frère et la sœur avaient beau se lancer à corps perdus dans des joutes verbales quotidiennes, il subsistait entre eux une tendresse ineffable et puissante) mais elle considéra la mine blême de son frère. « Ca va pas ? » « J'ai la dalle. » « Et t'as pas de thunes. » « Mais si. Ramène ton cul, on s'casse. » Un dernier sifflement comme injonction, et Virgile tourna les talons afin de se diriger vers le salon à pas feutrés.

La marâtre endormie dans son fauteuil rapiécé attira l'oeil retors de l'adolescent, lequel remarqua la bougie anti-tabac (ironie, quand tu nous tiens. Car le sol jonché de mégots trahissait une addiction à la nicotine bien prononcée). Il tiqua un instant, tiraillé entre sa lucidité et cette hargne patentée vociférant contre sa boite crânienne, puis convaincu que cette dernière voix dut être celle à entendre, se dirigea vers la cuisine étroite. Et d'allumer d'une main semi hésitante la bonbonne de gaz, sous les jérémiades de Lindsay : « Je suis prêêêêête ! Bon ! On s'bouge ou tu te touches ? » « Raaah. Mais quelle conne, elle va tout faire foirer. » siffla le concerné avant de rejoindre sa cadette vers l'entrée, s'assurant d'un seul coup d'oeil que la génitrice dormait encore et ne fut pas réveillée par braillements. Shootée à sa drogue médicamenteuse, elle bougonnait quelques palabres incompréhensibles entre deux inspirations profondes. « Ca sent bizarre non ? » La jeune fille huma l'air goulûment, rejetant en arrière sa tête ronde, quand son frère plissa le front d'agacement. « Quand j'te dis que tu dois te laver tous les jours. » « Pfff. T'es con. » Il ne releva pas, attrapa le blouson de cuir suspendu à un patère suranné et invita sa sœur à quitter la bicoque, refermant derrière eux une porte qui scellerait ses regrets.

***

« Tu te jettes pas sur la bouffe, pour quelqu'un qui crevait la dalle. » La voix de Lindsay s'éleva parmi celles des badauds. L'air un peu débonnaire, un peu inquiet, elle planta sa fourchette dans sa plâtrée de frites. Avide de malbouffe, comme pour panser les plaies de son mal être. Virgile néanmoins ne l'écoutait que d'une oreille, car plongé dans les affres de l'angoisse il ne sut déloger sa pupille de la vitre opaque de la brasserie populaire, ses yeux hagards se perdant sur les silhouettes des passants fuyant la pluie londonienne à pas de course. Ne laissant aucun répit à ses poumons quémandeurs de nicotine, le garçon tirait sur sa clope comme s'il voulut tirer la Faucheuse vers lui. Inquiet non pas de la possible mort de la daronne, mais de ce qui adviendrait pour la suite. Taule ou pas taule ? Maison de redressement ou famille d'accueil ? Putain qu'il se sentait con, soudain. C'est qu'il n'avait pas même songé à la suite. « Ouais ben, j'ai changé d'avis. » se sentit-il obligé de répondre comme il devinait le regard appuyé de Lindsay lui brûler la clavicule. « T'as la jambe qui te démange ? » glissa la gamine d'un air suspect, avisant le pied de son aîné tapoter nerveusement le sol. Ce dernier souffla son dépit dans une volute de fumée. « Ouais. Bon tu bouffes ou tu veux que je t'écrase la gueule dans l'assiette ? » La concernée haussa les épaules, lueur pensive dans le regard. Scrupuleusement affalée au-dessus de son plat, mèche de cheveux frôlant le steak spongieux, elle vint pelleter le contenu de son assiette en trois mouvements. Puis sur un ton de connivence, se leva soudain. « J'vais aux chiottes. » Pour faire comme les dames. Semblant d'élégance qu'elle n'avait pas, quand ronde et engoncée dans un sweat trois fois trop grand, elle laissa Virgile seul avec son anxiété.

Cet instant esseulé, Emma le remarqua. Jolie blonde, fraîche et pimpante, l'âge de Virgile : dix-sept ans à peine. Serveuse de cette masure pour brasser un peu d'argent et se casser à Hollywood. Le rêve d'une gosse qui finira probablement prostituée, à l'instar de ces aspirantes actrices. « Hey, Virgile. » Sa voix lascive marqua tout l'intérêt qu'elle avait pour son ami d'enfance, lequel leva ses yeux d'ambre vers la nouvelle arrivante. Cette dernière se pencha au-dessus de la table, offrant à sa vue un décolleté plongeant qu'elle exhibait fièrement. « Emma, tu me sauves. J'ai pas une thune pour payer la bouffe de ma frangine, tu peux m'avancer ? » La jeune fille plissa le nez dans une fausse réflexion, puis arborant son plus beau sourire vint convenir d'un deal : « Offert par la maison. Mais ça te coûtera un rencard. » « J'vais voir Mike demain, si tu veux on... » « Non je voulais dire... juste toi et moi. » Le silence devança la stupeur ; pris d'une légère panique qu'il dissimula derrière une mine blême, le jeune homme entrouvrit les lèvres sans pour autant laisser s'échapper un seul son viable. Ce dégoût de ce corps maternel contre le sien lui collant à la peau, perspectives d'une autre nuit qui aurait du s'avérer incestueuse, le somma de repousser le sexe féminin dans un ultime réflexe de défense. Lui qui pourtant ne s'avérait guère timide sinon au moins audacieux avec les demoiselles, se braquait systématiquement lorsque la proximité des corps entrait  en jeu. Et Emma, aussi belle put-elle être, se drapait d'un peu trop de lascivité malgré le désir qu'elle suscitait chez le jeune homme. Une envie sitôt muée en une répulsion involontaire. Avait-il le choix, cependant. « Ouais je... Un rendez-vous. Parfait. » « Super. Et mes parents ne sont pas là du week-end. » A la main tendue qui caressa délicatement sa joue râpeuse, Virgile sursauta soudain et balaya d'un geste abrupte ces longs doigts fins et quémandeurs. Le regard stupéfait de sa jeune amie l'acheva de devoir s'expliquer, quand bien même il tissait ses excuses dans un mensonge. « Je ne suis pas... ce genre de mec. » La belle se redressa, sourire intéressé en coin de lippe. Le trouvant d'avantage charmant à le voir jouer les pseudos galants se refusant de forcer l'intimité d'une demoiselle lors d'un premier rencard. Du moins expliqua-t-elle son refus de la sorte. « Mais moi je suis ce genre de fille. Demain vingt heures, chez moi. » Il ne pipa mot, se contenta d'accrocher sa pupille glacée à la silhouette qui déjà s'éloignait. Vint se maudire de ne pas annihiler la peur nichée dans ses entrailles, celle tissée d'un peu de chair et d'orgasmes.

« Hé, merde alors ! » La voix graisseuse de Lindsay éclata sa bulle léthargique, étayant avec elle toute l'appréhension de Virgile. Car il vrilla de concert son regard vers la fenêtre derrière laquelle passait tonitruant un cortège de voitures agitées, meuglant leurs sirènes sous l'air hagard des badauds. « Ils se dirigent vers chez nous. » Timbre aussi inquiet que ses yeux humides, la gamine se tourna vers son frère au geste nerveux ; blouson endossé, cigarette au bord des lèvres, il se leva d'un bond avant de se diriger vers la porte. « On s'tire. » « Mais j'ai pas fini... » « Lindsay. » Un regard dur se miroitant dans le sien et la fausse ingénue cessa enfin de feindre son ignorance. La nervosité de son frère, cette odeur de gaz embaumant le salon, et cette brasserie un peu crade mais bien située. Elle opina enfin du chef, prête à le suivre n'importe où. Pourvu que ce soit loin de leurs tourments.



Acte II. Fate will find a way.

20 juin 1971

« Je me sentais cradingue putain, cradingue et acculé... » Virgile cracha son dégoût avec la fébrilité qu'il ne sut retenir. Derniers frissons lui mordant l'échine, un regard qui divague et s'attarde sur une main tremblante. Ultimes réminiscences de souvenirs dégueulasses qu'il désirait enterrer en se confiant au vieux sorcier assis là à ses côtés, conduisant un bolide aussi fastueux que son costume. La quarantaine peut-être, le cheveu grisonnant, un air froid se lézardant à peine de sourires malgré toute l'affection qu'il éprouvait pour le môme. Son môme, à présent. Celui qu'il avait recueilli avec sa sœur depuis le décès de Maria. Parce que les liens familiaux ne lui avaient guère laissé le choix, en dépit de son mépris pour son cadet pourrissant en taule, Wolfgang Gainsborough coula un regard en biais vers Virgile. Rictus en coin de lippe, comme une fierté de voir ce bonhomme aux cheveux hirsutes mais à la dégaine assurée reprendre du poil de la bête malgré son âme défoncée. Plus encore, l'oncle et le neveu étaient parvenus à tisser un dialogue et un lien puissants : si Virgile avait mis du temps à s'ouvrir, il avait fini par vomir ses états d'âme comme on parle du temps qu'il fait dehors. La pluie battante pressant contre la vitre de ses appréhensions, sans jamais parvenir à laver ces putains de carreaux opaques. « Cradingue. » qu'il répéta écoeuré, prêt à dégueuler ses tripes. « C'est terminé à présent, vous êtes en sécurité. » Et ce timbre violemment tendre, son inusité à l'oreille du gamin, de le secouer un peu. Ce dernier se détendit alors, un peu trop peut-être. Car il s'enfonça sur son siège, pieds posés sur le tableau de bord comme il retira de son blouson de cuir un spliff préalablement roulé.

Craquement d'allumette éveillant la concentration de Wolfgang au volant. L'oncle coula un nouveau regard vers Virgile avant de s'égosiller : « Non mais CA VA PAS ? » « Relax, j'allais t'en proposer. » dégoisa le jeune homme, l'air débonnaire, main tendue vers son nouveau tuteur. L'interlocuteur à la fois dépité et courroucé attrapa alors brutalement le joint et le jeta par la fenêtre sous les yeux hagards de l'apprenti toxicomane : « Merde, Wolfy, merde ! Ca m'a coûté une blinde putain ! » Un sifflement s'épanchant sur ses lèvres agitées alors que Virgile se redressa d'une traite, regard pointé sur la route derrière eux. Comme si sa stupeur pouvait faire revenir le précieux butin écrasé quelque part sur le bitume et que son insolence brute couvrait les dégâts. L'oncle inflexible lui asséna un regard glacé, de ceux qui matent avant même que la fronde ne s'expose. Message reçu. Gêné et penaud, le jeune homme détourna les yeux dans un signe de rémission ; là où il vivait à présent, il n'y avait plus de place pour les rebuffades et le langage cru. Et que ça dit « merci », « s'il-te-plaît », « pardon », quand lui n'avait de politesse qu'un bref signe de tête en salutation. Dichotomie de deux mondes entrant souvent en collision, provoquant moins de ras-de-marées que quelques tremblements de terre : Virgile vacillait un peu, certes, mais se ressaisissait vite. « Désolé. » « Je préfère. Tu souhaites vraiment finir comme ton père ? » Rire moqueur au bord des lèvres. Le jeune homme toisa la route défiler sans vraiment s'attarder sur les détails. Dans cette partie friquée de Londres, les prestigieux bâtiments côtoyaient le beau monde, les touristes dépensiers et les prostituées de luxe. C'était mirifique et désolant à la fois. « Pas franchement. Il doit être en train de se faire enculer quelque part dans sa cellule de prison à l'heure qu'il est. » « T'as une drôle de façon de voir les choses. Tellement cru... » « La faute à qui. » qu'il souffla, résigné et las, sa pupille ne se délogeant pas des trottoirs impeccables défilant à toute allure. Wolfgang ne releva pas malgré la peine insufflée en son myocarde. Ce gamin le frappait par sa force et sa faiblesse, imbroglio de tourments exaltés comme position souveraine.

Et l'infini demeure, encrassé dans un silence sépulcral. Le gamin repense à sa mère, vite fait. Son cadavre surtout. Les autorités ont affirmé que l'autre salope est décédée des suites d'intoxication de fumée. Pas même un corps mutilé suite à l'explosion. Ca l'a un peu vexé, le môme, qu'il n'ait pas réussi à souiller le macchabée jusque dans sa dernière œuvre. Puis un sourire ourle sa lippe sèche qui craquelle sous les fissures de l'ironie lorsqu'il se remémore les derniers mots de ce putain de flic : simple accident domestique, cela arrive souvent et il en est désolé. Enfin c'est ce qu'il dégoise, mais en vrai il s'en carre. Tout le monde s'en cogne de ces prolétaires relégués dans les taudis ; ça fait toujours une bouche à nourrir en moins pour l'Etat. Tous des assistés.

« Nous sommes arrivés. » Les deux hommes sortirent du véhicule puis d'un coup d'un seul s'affaissèrent dignement sous le soleil de plomb. Virgile feignit une indifférence superbe, que rien ne l'atteigne ni ne le froisse en extérieur. Pas même un celsius de trop, celui qui vous colle à la peau et mouille votre chemise. Son regard neuf se posa sur les environs avec scepticisme, s'attardant sur une vieille cabine téléphonique dissimulée dans un coin crasseux de bâtiment délabré. Il soupira alors, truc d'adolescent pas bien fichu de partager l'enthousiasme passager des adultes. Wolfgang ferma sa précieuse voiture à clé, se toisa un instant dans le rétroviseur – il était vrai que le vieux sorcier irradiait d'un charme brut, typiquement anglais, chapeau panama couvrant sa tignasse grise – et vrilla ses yeux de jade sur le môme. « Tu n'avais vraiment pas de veste sympa à te mettre ? » « Mon blouson de cuir est sympa. » rétorqua-t-il d'un ton faussement débonnaire, purement provocateur. « Et tu crèves pas de chaud ? » « Nan. » Mensonge éhonté. « C'est tout de même pas terrible de se présenter au Ministère avec un manteau aussi élimé. » « C'est vintage, tu piges rien. Attends, le Ministère ? » L'oncle mutin esquissa un bref sourire, ravi d'avoir capté l'attention de l'adolescent. « J'ai quelqu'un à te présenter, mais on doit passer par l'entrée des invités. »

***

Le hall de l'atrium prenait des dimensions de fourmilière sous l'air désorienté de Virgile ; talons claquant le sol vite et bien, dos aussi raidis que les ports de têtes, cadences infernales sous prétexte de travail imminent. A ses côtés, Wolfgang ne cessait de braire des inepties, jouant les oncles intéressés se penchant sur sa scolarité : « Et t'étais doué en sortilèges à Poudlard, non ? » « T'as quand même eu des mentions à tes ASPICs, pas vrai ? » « Ca n'a jamais attristé Lyndsay, le fait qu'elle ne puisse aller à Poudlard ? » Autant de questions ne trouvant que des réponses molles et évasives ; le jeune homme s'attardait d'avantage sur les détails de ce monde inconnu plutôt que sur l'intérêt que lui portait son tuteur. Balafré jusque dans l'âme, il ne pouvait concevoir qu'on put se soucier de lui de telle manière. Un concept encore flou, décalqué de la réalité. Puis il subsistait ce sentiment d'injustice, typique rebuffade d'adolescent ; le désir involontaire de faire payer au monde ses déboires, fut-il immature dans sa démarche. Que ça lui coûte lui aussi, que sa fausse indifférence l'égare, qu'il se heurte à un mur de parpaing et réitère ses questions demeurées presque sans réponses. Virgile s'érigeait en paradoxe total, se confondant dans un processus de guérison pas encore achevé : s'il se confiait à son oncle sur le sordide inceste dont il fut victime, le pauvre hère se refermait parfois abruptement. Sans préavis aucun, et démerde-toi avec ce que t'as. Toi l'adulte. Toi qui pense tout savoir. « Ah. Nous y sommes. » souffla alors Wolfgang dans un élan enthousiaste, visiblement peu ébranlé par le flegme insolent du garçon. Passant le seuil d'un bureau relégué quelque part au niveau deux, le pas prompt et fier. Ersatz d'orgueil perlant à ses lèvres comme Wolfgang s'avança encore, main posée sur l'épaule de son nouveau fiston. Et le regard de Virgile de se perdre sur l'unique occupant des lieux : un vieux quidam aux traits secs et sévèrement ravagés par le temps, transpirant la suffisance et l'expérience. Sorte de loup de mer, des airs de pirate invétéré suintant l'honneur par tous les pores de sa peau. « Virgile, je te présente Ezechiel McMillan. Un grand ponte dans le domaine. » Le gamin avança la main sans poser d'avantage de questions, comprenant bien sûr qu'il faisait face à un Auror reconnu. Mais au même titre que Virgile ne fut pas plus secoué par tant de prestige torpillant son propre effacement, le concerné se contenta de répondre par un bref grognement, refusant la poignée de main d'une oeillade coulante et brève.

Etrange individu sitôt passé au crible par la pupille du jeune homme, et parce qu'il n'y décela ni mépris ni arrogance, décida de garder les lèvres closes. Virgile se contenta de vriller son regard vers son oncle, lequel haussa les épaules avec nonchalance. Peu troublé, un air de rien, sérénité passive affichée. Comme si la marginalité de son collègue ne l'attaquait que peu. « Ezechiel est mon binôme sur le terrain. Il a accepté que je te prenne sous ma coupe comme stagiaire. » De longues secondes silencieuses, le temps que l'information n'assaillisse son cerveau : Virgile toisa les deux hommes avec l'incompréhension en étendard, puis soudain laissa s'échapper un rire de ses lèvres carmin. D'abord discret, il se mua en une véritable hilarité lui secouant le ventre et les épaules, guerre des nerfs oblige. Implosion soudaine de tout ce qu'il put retenir pour lui en ses tripes et son cerveau jusque là, monceaux de doutes, de douleur et de malaise s'écorchant sur sa lippe en un éclat de rire nerveux. Le garçon ne sut taire son allégresse exagérée que par un souffle allant en s'émoussant, croisant alors le regard désappointé des pauvres quidams qui eux, ne semblaient guère trouver la situation fort cocasse. Alors Virgile s'arrêta enfin, abdominaux contractés par l'assaut, et d'une moue soudain sérieuse voire déconfite susurra quelques mots : « C'était pas... pour déconner. » Wolfgang resserra une main paternelle sur son épaule tandis qu'Ezechiel prit un air pincé. « Non mon garçon. Ce n'était pas pour... » Il grimaça, plissa le nez en signe de désapprobation quant à l'utilisation de palabres si grossières. « ...Déconner. Nous sommes sur le qui-vive, cela fait déjà un an que ce... Vous-savez-qui... gagne en puissance et en fidèles. Les missions ne seront pas de tout repos, nous avons besoin de sang jeune, même si l'inexpérience pourrait vous être funeste. » L'oncle de Virgile fronça les sourcils face à la réplique sentencieuse mais se trouva déstabilisé lorsqu'il vit son neveu s'intéresser avec sérieux à l'offre : « Je commence quand ? » Timbre déterminé et volontaire. Comme un peu de mort effilé dans son timbre, dernier pied de nez à sa drôle de vie.


Acte III. Fear is proof of a degenerate mind.

3 novembre 1979

« Alice. » La voix suave de l'homme en costume titilla la demoiselle sur le palier ; elle se cambra un peu plus, s'assura que sa poitrine ronde se dessinait bien sous le coton, et pour contrer l'image trop vulgaire de la femme fatale esquissa un sourire pétillant. « Ca, c'est pour la prise de tête. » La rouquine agita un dossier lourd de paperasse, feignant la grise mine. « Et ça, c'est pour la détente. » Bouteille de bon whisky tendue vers Virgile, ce dernier accueillit le présent d'un regard gourmand – autant sur la nouvelle arrivante que sur l'alcool ambré – puis amorça un pas sur le côté afin de la laisser entrer. Alice s'avança vers le salon dans une démarche chaloupée, feignant d'ignorer le regard masculin glissant par inadvertance sur le fessier rebondi. Car le jeu de la sensualité et du flirt entre les deux aurors perdurait depuis assez longtemps pour qu'ils ne tombent dans l'indifférence calculée, semblants d'oeillades appuyées et de sous-entendus perdus entre deux phrases bâclées. « T'es bien sapée ce soir. » « Seulement ce soir ? » Alice s'esclaffa, amusée, face à la maladresse de Virgile... à moins qu'il ne s'agissait là de sa sincérité patentée, sorte d'expression libre qui passait la barrière de ses lèvres de façon tranchée et directe. Gainsborough avait pris du galon depuis ses huit années de travail au service du Ministère ; de l'expérience sous le coude, beaucoup d'assurance et un charme brut intarissable. Mais le concerné vacillait également sur un terrain précaire ; considéré comme trop kamikaze, trop fougueux, trop injurieux alors que nombre de ses collègues référaient le langage policé. Un certain penchant pour la fumette voire l'alcool aux dires des mauvaises langues, mais on lui passait volontiers ces faiblesses sous prétexte de son remarquable travail abattu.

Les yeux vissés sur la bouteille grand cru qu'il posa sur la table basse, Virgile vint ainsi rejoindre son invitée dans le canapé. Elle, transpirait la langueur féline. Pincement de lippe, bretelle de robe tombant nonchalamment sur l'épaule diaphane. Lui, tressaillait entre le désir et le dégoût. Jamais véritablement guéri de son traumatisme d'adolescent, l'homme aux allures de dandy peinait encore à dompter cet écoeurement ronronnant tout contre son flanc et qui l'avilissait en permanence. L'envie pour la belle Alice n'était pourtant pas faussée, irradiait même à travers ses palabres, son attitude et ses regards appuyés. La concernée coula vers son hôte un regard entendu, de connivence. Ce sixième sens qu'elles ont parfois, à percevoir la lubricité comme un dû ou un fait établi. Elle se pencha alors vers lui, lèvres offertes et plainte semi gémissante, scella son avance d'un baiser tendre qui bien vite s'émoussa en chasteté. De la passion et de l'envie en bord de lippe, et les deux amants bientôt recueillirent sous leurs paumes la chair désirée de l'autre par le biais de caresses volontaires.

Le bruit caractéristique de la boucle de ceinture qui saute sous les doigts agiles de la désirable. Virgile se braqua soudain, sans qu'il ne se l'impose cependant. Gorge sèche et resserrée, cœur défunt stoppant soudain sa course frénétique ; l'auror se redressa fébrile mais asséna des paroles tranchées : « Je ne peux pas. » Malgré lui, malgré tout. Malgré l'envie qui le tannait depuis des mois déjà, lorsque flirtant avec Alice il s'imaginait déjà humer son parfum sur ses draps. La demoiselle intriguée le toisa d'abord avec anxiété ; qu'avait-elle fait, et si quelque chose n'allait pas ? Puis, quand elle comprit que l'amant potentiel se refusait véritablement à elle, se leva du canapé d'un bond furieux qui dissimula à peine sa vexation. Elle arborait pourtant un sourire poli et une mine gênée, fulminant pourtant de frustration. « Je ne comptais pas rester de toutes façons. » Mensonge éhonté. Virgile releva dans un soupir, main posée sur son front moite, regard perdu ailleurs. « Qu'est-ce que tu racontes. Tu es venue pour le travail. » maronna-t-il, maladroit. Sa collègue se contenta d'acquiescer d'un signe de tête, perdue, avant de s'en rejoindre la porte d'entrée claquant férocement derrière elle.

De longues minutes silencieuses qui laissèrent place à cette ire vociférant contre son crâne. Se sentir à la fois troublé et condamné, sans pouvoir y faire grand chose. Alors il tendit la main vers la bouteille de whisky, se servit un verre qui serait le prémisse de nombreux autres, et noya sa déroute involontaire dans l'alcool. Seule issue qu'il eut encore trouvée.




Dernière édition par Virgile Gainsborough le Jeu 12 Juin - 14:47, édité 61 fois
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Lily Potter

Lily Potter
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : broadsword. (anna)
LETTRES SECRÈTES : 591
AVATAR : myself.
ÂGE : vingt ans.
PROFESSION : médicomage titulaire à l'hôpital ste-mangouste.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 13:37

EEEED :fire: :fire:
On ne le voit plus assez sur les forums... et puis le pseudo choisi quoi ! :bril:
En tout cas bienvenue sur le forum !
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Paige Bulstrode

Paige Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : Bad Wolf Bay / Aude
LETTRES SECRÈTES : 157
AVATAR : Shelley Hennig
ÂGE : 23 ans
PROFESSION : Vendeuse chez Fleury & Bott

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 14:11

Ed, agagaga  :bril: Ca fait toujours plaisir d'en voir un dans un forum, même si c'est un sale sang de bourbe né moldu  :drunk: 
Bienvenue et bon courage pour ta fiche  :nah: 
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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 14:15

Merci à vous  :bril: 
hey, mon sang est très propre eukay  :red: 
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Naomie Nott

Naomie Nott
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PSEUDO : trouble. (séphora)
LETTRES SECRÈTES : 68
AVATAR : Crystal Reed
ÂGE : VINGT-QUATRE ANS
PROFESSION : Auror

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 28 Mai - 14:49

Lily Potter a écrit:
EEEED :fire::fire:
On ne le voit plus assez sur les forums... et puis le pseudo choisi quoi ! :bril:
En tout cas bienvenue sur le forum !

Lily à tout dit  :kya: Bienvenue petit né moldu, et bon courage dans ce monde cruel  :mdr:
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Invité
Invité


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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 29 Mai - 19:42

un né moldu :fire: avec ed :fire: et le pseudo :fire: ok tu m'as achevé :omfg:
bienvenue sur le forum :smile:
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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 29 Mai - 21:36

merci à vous  :bril: je devrais avancer ma fiche ce week end  :heart: 
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Rodolphus Lestrange

Rodolphus Lestrange
DEATH EATERS

PSEUDO : /
LETTRES SECRÈTES : 299
AVATAR : Ian Somerhalder
ÂGE : 31 ans
PROFESSION : Mangemort à temps plein.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptySam 31 Mai - 17:56

Bienvenue dans la team des prénoms pourris, enchanté, moi c'est Rodolphus.

Bienvenue aussi sur le forum :face:ça fait plaisir de voir une fois de plus un petit duo qui s'inscrit ensemble sur le forum (entre Charles et Benedicte, les sœurs Bulstrode, toi et Kasia), je te souhaite bon courage pour ta fiche en tout cas !


Dernière édition par Rodolphus Lestrange le Sam 31 Mai - 18:25, édité 1 fois
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Virgile Gainsborough

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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptySam 31 Mai - 18:11

:mdr: n'est-ce pas. Partons en croisade contre nos parents et extorquons-les :face: (hélas le caractère sera aussi pourri que le prénom)
et merci bien !
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Invité
Invité


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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptySam 31 Mai - 18:54

bienvenue parmi nous :heart:
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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyDim 1 Juin - 10:57

Merci miss :heart:
(c'est que y a de la bombasse dans le coin)
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Sirius Black

Sirius Black
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : .sweet emotion aka justine, ju, la bretonne
LETTRES SECRÈTES : 151
AVATAR : ben barnes
ÂGE : vingt ans à peine, bien jeune sorcier engagé dans l'ordre, il a tendance à oublier sa jeunesse tant la situation est grave
PROFESSION : auror, brigade de tireur d'élite de la baguette magique

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyDim 1 Juin - 13:30

BREIZH  :heart: 
Bienvenue, ton personnage m'a l'air fort intéréssant.
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https://murderouswizards.forumgratuit.be/t352-sirius-b-foule-sent

Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyDim 1 Juin - 18:24

OH YEAH, BRETAGNE ET CRÊPES FTW  :king: 
et merci bien, j'espère qu'il le sera en effet  :hide: 
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Saskia Eljudnir

Saskia Eljudnir
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : Samhain.
LETTRES SECRÈTES : 36
AVATAR : Jennifer Morrison.
ÂGE : Trente-quatre ans.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 5 Juin - 12:26

VIRIL  :kya: :myass: 

Cette plume, non mais CETTE PLUME!, mes aïeux  :bave:
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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 5 Juin - 12:49

Haon mais t'es DEJA VALIDEE TWAA *faut que je me bouge le fion, vazy  :anw: *
Tu peux parler, c'est la peste qui envie le choléra quoi  :cry: (oui je viens de nous comparer aux deux maladies les plus dégueulasses portées par l'humanité - vérole et lèpre à part - mais c'est un compliment en vrai  :coeur: )
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Saskia Eljudnir

Saskia Eljudnir
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : Samhain.
LETTRES SECRÈTES : 36
AVATAR : Jennifer Morrison.
ÂGE : Trente-quatre ans.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 5 Juin - 12:58

T'as intérêt à ce que je sois la peste, sinon j'te fais des tresses aux pwals  :baston: 

Même si ça fait de moi une sacrée hypocrite, je trouve qu'effectivement faut que tu bouges ton popotin parce que j'veux lire la suite de cette petite merveille  :omg: :face: Et je cesse de flooder aussi *zbaf*
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Virgile Gainsborough

Virgile Gainsborough
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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 5 Juin - 13:00

Alors je serai le choléra, j'ai toujours adoré faire chier les gens de toutes façons, puhaha *humour de merde, tadaaaa* /o/
je m'active, je m'active  :myass:
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Adelaine Bulstrode

Adelaine Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : MiniBouh
LETTRES SECRÈTES : 120
AVATAR : Jaimie Alexander
ÂGE : 28 ans
PROFESSION : Secrétaire au Bureau de désinformation

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMar 10 Juin - 21:52

Hey ça va faire demain deux semaines que tu as commencé ta fiche. Ton délais est donc... bien dépassé d'une bonne semaine :face:
Désires-tu un délais supplémentaire ? En absence de réponse de ta part, fiche envoyée aux archives et compte supprimé (donc oublie pas de te signaler).

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Virgile Gainsborough

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PSEUDO : black jack
LETTRES SECRÈTES : 26
AVATAR : ed westwick
ÂGE : 27 yo.
PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMar 10 Juin - 22:24

Arf non c'est juste que je suis très lente. J'ai tout de même bien avancé ma fiche comme vous pouvez le voir, et je l'ai presque terminée  :heart: Donc je veux bien un délai supplémentaire si possible, une semaine suffira :3
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Rodolphus Lestrange

Rodolphus Lestrange
DEATH EATERS

PSEUDO : /
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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMar 10 Juin - 22:28

Ok, une semaine de délais accordé :) Mais c'est bien pour la magnifique citation dans ta fiche  8) 

Cependant ça ne servira à rien de finir ta fiche si tu ne te fais pas recenser ici mon beau :coeur:
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Virgile Gainsborough

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PROFESSION : Auror.

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyMer 11 Juin - 14:57

yep merci  :angel: 
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Adelaine Bulstrode

Adelaine Bulstrode
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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 12 Juin - 14:33

Alooooooooooors, j'ai tout lu ta fiche et avant de ta valider, y a juste un truc que je voudrais que tu m'expliques parce que... je suis pas vraiment sure d'avoir compris :face:
Tu dis que Virgile est un né moldu c'est ça ? Hors, plus loin tu dis que sa petite soeur est une cracmol et son oncle un sorcier. Hors, si Virigle est né moldu, son oncle peut être sorcier (un autre né moldu) mais sa soeur ne peut pas être cracmol, elle sera tout simplement... moldue :face:
Du coup, est-ce que j'ai mal compris ? Ou as-tu utilisé le terme de né moldu parce que sa famille est d'origine moldue bien qu'un de ses parents soit sorcier ?

Juste ce petit détail à clarifier !
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Virgile Gainsborough

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 12 Juin - 14:46

Mwarf non, c'est moi qui ai yoyoté :face:  je corrige ça, j'suis juste distraite parfois  :roll: 
Mais oui je pars bien du principe qu'il soit né-moldu, puisque ses parents ne sont pas sorciers :3
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Adelaine Bulstrode

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MessageSujet: Re: VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell.   VIRGILE ∞ Each of us bears his own Hell. EmptyJeu 12 Juin - 14:57



félicitations!

tu es désormais validé(e)



Alors alors... tu as une plume magnifique ! Franchement, c'est agréable à lire, fluide et tout et tout. Bon c'est assez vulgaire mais ça reste une jolie plume ! Et le personnage est intéressant, pas de doute à avoir là dessus. Bon jour parmi nous !

Congratulations, petit sorcier ! :smile: Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité :face:), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. :gaa: C'est ta vie, mon coco. :siffle: Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. :kya: Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. :amimorve: On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide :red: Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom :mdr: :arrow: Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end. :tongue:

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