she wolf ∇ [m.a.a.]

meadow abigail addams

my heart was too big for my body, so I let it go

NOM : addams, un nom aux allures tellement habituelles, il n'y a rien de vénérable dans sa consonance, rien qui puisse honorer une quelconque famille. Ce n'est qu'un titre hanté par la morbide réalité, celle de n'être que poussière aux yeux de tous, que ce soit dans ce monde, ou dans l'autre... PRÉNOM(S) : la langue se courbe, s'interroge et prononce enfin, avec un soupir désolant, le son de son prénom si étrange : Meadow, prairie. Ridicule, niais sans aucune valeur...il s'efface dès lors qu'il a put traverser les barrières de nos lèvres tremblantes. Il n'est pas difficile à oublier, et tellement dur à s'en rappeler, aussi "sang-de-bourbe" semble être un surnom d’exception pour cette Abigail (joie de Dieu) déchue par le fléau de leurs paroles envenimées. ASCENDANCE : la question n'est même pas à se poser, en rien elle n'a la prestance et le charisme d'un sang-pur, en rien n'a-t-elle la morale et la vertu d'un sang-mêlé, elle a cette mortalité palpable derrière ses côtes d'ivoires et d'argents, cette désolante moldue. ÂGE : vingt-cinq ans, et toujours une misérable apprentie à croire que le poison rougeâtre qui découle de ses veines l'a maudite. LIEU DE NAISSANCE : née lors d'un voyage en France, elle semble avoir absorbée, dans son pauvre et frêle petit corps, toute la beauté et l'élégance de la contrée. SITUATION SOCIALE : célibataire, qui peut bien vouloir d'une "Addams" dans sa famille ? ANCIENNE MAISON : ayant vécue la majeur partie de sa vie dans le pays qui l'a vu se lever, tel un minuscule rayon de soleil à travers les sombres nuages planant au-dessus de sa tête, elle aurait très bien put faire partie de la prestigieuse école de Beauxbâtons, mais à ses neuf ans, son domicile fut déporté en Angleterre. Ainsi, Poudlard lui ouvrit ses portes à contre-coeur surement, et à la surprise de tous, elle fut une admirable, bien que pas très futée, Serdaigle pour son sens de l'observation et sa capacité à démasquer les faiblesse de son adversaire. Elle en déstabilisa plus d'un. PROFESSION : les dires courent dans les ruelles, les rires fusant à chaque coin, ils promènent en leur sein la drôle histoire. Ce ridicule récit disant qu'elle fut accepter chez les tireurs de baguette d'élite par pure et simple pitié. Parce-que le ministère voulait montrer l'exemple en acceptant une mortelle dans ses rangs. Elle est donc une apprentie, encore et toujours, misérable et peut-être minable selon les sangs-purs, mais admirable aux yeux de ceux, qui comme elle, ne commencent à partir de rien. BAGUETTE : en son cœur repose un crin de pégase, pour sa capacité à monter ces chevaux sauvages et fiers, le tout enveloppé d'un bois de tremble souple, miroir de son esprit rebelle et indompté, de vingt-neuf centimètre. Elle n'est surement pas la plus puissante, pas la plus belle, ni la plus demandée, mais elle est la seule à avoir directement choisi la demoiselle. PATRONUS : surement l'animal le plus ridicule au monde : un âne, souvent on se moquait d'elle, la traitant d'"imbécile", aussi le braiment de la bête raclait la gorge des élèves à chaque fois que la gamine osait traverser un couloir. Depuis, Meadow évite de l'invoquer de peur d'être une nouvelle fois ridiculisée, elle ne sait même pas en quoi le monstre peut être son patronus. MIROIR DU RISED : dès son arrivée à Poudlard, la nymphette savait qu'elle ne serait jamais une grande personnalité, elle ne commanderait pas des armées, ne lancerait pas d'assauts, ne sauverait pas des vies, elle ne serait qu'une femme, cachant son impitoyable minois derrière le dos d'un mari, d'une lumière écrasant l'ombre qu'elle sera. Meadow apprit donc à se contenter de ce qu'on lui donnait, mais au fond d'elle, se cachait une âme de révolutionnaire, turbulente comme un océan dévastant les corps des sirènes, brisant l'emprise d'un Poséidon colérique et infâme. Au fond d'elle, elle rêvait la môme, elle rêvait d'une reconnaissance infinie envers elle, d'un jour où son sang pourrait nourrir un sol avec fierté, tel un héros mort au combat, sans qu'il ne faille effacer avec vitesse le blasphème ruisselant les terres battues. Émancipée veut-elle être, elle et ses semblables, ses enfants n'ayant aucune honte de leur héritage anciennement damné. EPOUVANTARD : elle enfant, son costume bleu drapant son corps mutilé, puni et détesté. Cette gamine dans un coin, recroquevillée, priant à des étoiles bien trop arrogantes pour l'entendre, des lamentations éphémères. Cette solitude rongeant son esprit et sa chair, brûlant sa peau, la démangeant au point même que les coup de rasoir qu'elle s'affligeait ne suffisait plus à calmer la haine dévastatrice...elle. Simplement. Elle était son propre épouvantard. FACULTE SPECIALE : si seulement en avait-elle une, au moins, on la regarderait autrement, avec admiration peut-être, ou du moins signifierait-elle quelque-chose à ces sorciers. Non, elle ne possède rien, seulement un mensonge tatouant ses lèvres écorchées, une sombre fierté inventée, celle de posséder du sang de vélane.

☞ Only the dead have seen the end of the war

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? *elle aspira une profonde bouffée de cet air mortellement grisâtre, abimant ses poumons, récoltant la pourriture qui s'était incrusté, jusqu'à ce qu'elle ne l'expire en une mousseline chimérique* Merlin aurait-il été aussi respecté qu'il ne l'est déjà s'il n'était pas un pur sang ? *une moue provocatrice sculpta ses traits squelettiques, alors qu'un de ses sourcils s’arqua* Mmmh...non, je le pense aussi. Je ne suis pas une pro-sang-pur, mais reconnaissons le, la société crucifia sa propre raison, laissant la propagande diriger ses faits et ses gestes, laissant la marque des Ténèbres imbiber ses lèvres écaillées. Que souhaitez-vous que je réponde ? Ce que je pense réellement, ou ce que vous voulez entendre sortir de ma bouche de soumise ? J'ai pas imploré la pitié quand on m'a asséné de coups à l'école juste parce-que mon sang *ce mot affligea son visage, passant du jeu au dégout* était impur à leurs yeux. Ils devraient plutôt s'intéresser à leur p'tit cul...ça n'a que de la gueule de toute manière, ça se pavane dans les couloirs comme des paons recherchant le peu d'attention qui les fera monter en ascension dans cette foutue échelle sociale, mais vous savez quoi ? Aujourd'hui les plais sont recousues, les bleus masqués et les coups interceptés. Le poison a ses tâches que le Salut même ne peut plus enlever !

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? *son regard s'éclipsa une seconde, une seconde seulement pour que son esprit vagabonde dans la nuée qui s'évanouissait dans l'air ambiant* Je ne sais pas. Je pense que la menace plane sur tous, aussi bien les martyrs que les bourreaux. Un jour les poings se lèveront, les cris fuseront comme des étincelles embrasant le ciel et les corps se mêleront à une exquise délivrance...*un faible sourire fit frémir ses lèvres* Même le plus vif des feus s’éteint...je ne compte que délicieusement, comme une prisonnière, mes journées emplissant mon existence insignifiante. Ces matins me séparant d'une cellule forgée rien que pour moi dans cet Azkaban. Moi la née-moldue ! *un éclair fit jaillirent ses iris enflammés, elle semblait se délecter d'une phrase à l'ironie dramatique*

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? Le peuple n'a jamais confiance en son gouvernement, rares sont ceux qui avancent tête baissée sur les sentiers battus par la hiérarchie. Ceux-là n'ont aucune critique, aucun intérêt particulier. ils sont là, à gesticuler, à se soumettre à un "pouvoir", à dandiner leur derrière pour ces chiens ! Vous savez, il y a cette rumeur. Celle qui dit qu'ils m'ont accepté dans leurs rangs par pure pitié...*elle eut un petit rire, semblable à celui d'un désespéré se moquant de l'étrange paradoxe de sa condition* j'y crois aussi. Ça polit son image, ça s'empare des cœurs, puis ça s'assoit sur des coussins d'or et de soie fumant son joint confortablement, loin de toute révolution. Je ne fais confiance à personne et qu'il en soit ainsi !

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Les craindre c'est nourrir leur appétit. Les repentir encore dans le péché, leur faire aimer encore plus la chair...ces monstres au "sang-pur" ! *l'ironie et la moquerie masquait son profond dégout* S'ils ont au moins ça, alors, laissons ces bêtes dévaster nos terres ! Je ne pense pas qu'ils soient ceux qu'il faut le plus craindre...d'ailleurs, qu'ils ne s'en tiennent qu'à ce que je leur offre : mon indifférence la plus totale. *un mensonge à peine remarquable si on ne la connait pas* Au fond, ils sont comme nous autres, jouant des coudes et des pieds pour se frayer un chemin, pour éclairer leur propre chemin. Égoïstes ? Cruels ? Non...juste... *elle sembla chercher la fin de la sentence, un moyen plus "propre" de les définir* humains. *elle insista sur ce dernier mot, bouclant sa phrase et la faisant résonner comme un tambour de guerre. Une parfaite fierté voila son visage d'ange désabusé, gelant sa posture, droite et imposante malgré la déchéance de l'être. Provocatrice ? A peine."

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? L'ordre du Phœnix ? Vous vous attendez surement à ce que j'approuve totalement leurs actions ? Ces preux chevaliers...Beaux, forts, généreux, aimés de tous. Les "gentils" de cette tragique histoire qu'ont narra tous un jour à nos enfants et nos petits-enfants. Les modèles à suivre...Ils sont bien braves, certes, mais si inconscients. Tellement justes dans leurs valeurs qu'ils en oublient que devant eux, c'est des statues fissurées qu'ils ont là. Des hommes et des femmes dont le cœur s'assombrit chaque nuit...Ils n'étaient pas là quand il fallait recueillir leurs larmes comme la rosée du matin...Absents aussi pour tenter de raisonner ces esprits tourmentés. Mais dès qu'il s'agit de chambouler tout un pays, tout un monde, creusant les fosses et sortant ses baguettes, à voir laquelle est la plus belle, la plus longue, la plus forte...ils sont là. Que feront-ils après ? Quand les familles des défunts réclameront justice, nourrissant une haine encore plus dévastatrice, encore plus forte. Ce ne sera plus une question de "sang-pur" ou pas, mais une question de droit de vie. Ils sont adorables, ceci est indéniable, mais qu'ils restent loin de cette affaire, ils sont trop jeunes pour mourir, trop jeunes...Que la Providence scelle nos existences à nous, ceci est notre combat, et si notre "race" n'est pas foutue de se lever, qu'elle reste alors recroquevillée sur elle-même.

☞ A look in the mirror.

PSEUDO & PRÉNOM: appelez-moi cocotte. ÂGE: 53 ans. RÉGION: tu sais très bien où je me trouve :hé:

. ACTIVITÉ SUR LE FORUM: 2/7 jours. PERSONNAGE: inventé ma gueule. COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI ? bazzart mon keum. UN AVIS SUR LE FORUM ? :myass:

PRINCE ALI OUI C'EST BIEN LUI ALIABABOUAH (ouais je sais pas comment ça s'écrit et ?). AVATAR: astrid bergès-frisbey ta mère :omg:

. CREDITS: tumblr. DERNIER MOT: ~~facultatif~~ :face:

j'vous aime putain ! :fire:

This is how it ends

Elle veut de la vie en grosse coupure, enfant de luxure, tout ce qu'elle touche brûle.

Prologue

Les paillettes de l'oubli vagabondaient dans l'air, hantant, parfumant la pièce de son encens de vieil endroit caché pour bien trop longtemps. Les puissants rayons de soleil arrivant à percer les ténèbres ambiants embrasant les murs et le sol d'où des feuilles de papiers journaux se mêlaient à la poussière, qui dans sa chute, finissait une valse à chacun de mes pas.Il y avait une certaine ambiance...un embrasement de souvenirs lointains dont les peines et la rage des suicides éclaboussaient encore le bureau perdu sous le tas de papiers froissés et lissés. Et dans mon esprit, le sombre écho d'une déchirure, d'une lamentation laissée pour oubliée, planant au-dessus de moi...elle était là, quelque-part, malgré son absence évidente, son odeur jouait avec le vent s'infiltrant par les frêles parois, sa présence brûlant le peu de vitalité lui restant...elle était là. A observer de son regard détaché et inquiet mes faits et gestes...moi le prédateur rôdant dans son intimité, dans son passé. Projetant mes ultimes intentions égoïstes sur cette table, je m'avançais fièrement, violant encore un peu plus ses secrets, sentant les tourments de la nymphe hurler de rage autours de moi. Mais bon sang ! Quelle tentation ! Ivre d'une vérité endommagée, brisant les légendes et les mythes qu'ils avaient forgé, ces moldus. Qui étaient-ils ? Voleurs de pouvoirs, voleurs de puissance eux ces êtres dépourvus de tout honneur et vertu...Qui ? Qui était-elle ? Cette demoiselle aux cheveux d'ébènes, à la peau lunaire et aux lèvres ensanglantées, se pavanant fièrement comme Circé, tremblant comme Phèdre pour des passions intérieures qui la consument. Je ne savais que ce qu'ils prétendaient connaitre d'elle. Je ne feuilletais que les mensonges et les dires d'une population troublée et méfiante. Je pourrai peut-être détrôner les plus grands sorciers...peut-être, à travers mes recherches, révéler la véritable nature, race de ces hybrides...Mutants des arcanes et de la chair souillée. Toutes les pièces du puzzle étaient surement là, allongées, croulant sous le poids de trop de non-dits. Trop de secrets ruinant des tombes, fleurissant dans des cercueils de verre et d'argent. Ils avaient leurs noms dans nos registres, leurs traces sur nos objets, leurs pas sur nos rue, leur regard étranger et familier à la fois posé sur nous. Ils étaient là, comme des barbares, méconnaissables et enchantés d'un aura presque dégoutant. D'une chance, d'un don qui ruissèle sur eux comme la gloire sur ces demi-dieux de l'Ancien Temps, et ce, même sans qu'ils ne sachent pourquoi ils étaient élus. Pourquoi ? Tant de questions qui trouveraient leur partenaire, leurs réponses bien assez tôt. Il suffisait seulement de cueillir les informations, les confessions et étrangler les histoires enfantines. M'avançant au rythme d'une symphonie d'euphorie, je me heurta à ce bois, froid et chaud à la fois, laissant tomber bien des feuilles sous le coup du choc. Peu m'importait, j'avais bien mon temps, je pourrai les lire prochainement. Mais pour le moment, un carnet capta mon attention...un carnet tressé dans le cuir abimé, son parfum embaumant mes narines. Il ne m'en fallut pas plus pour que ma curiosité commande l'ouverture de ce cheval de Troie. Je me sentais comme Pandore...fouillant dans l'interdit, goutant à l'acide plaisance pétillant sur ma langue. Ce n'était pas un journal intime, ni un carnet de bord, encore moins un recueil de photo ou bien une collection d'articles de presse. Non...c'était le tout à la fois, le brouillon d'une raison bafouillée, mal-formée et tremblotante comme une fébrile créature. Une misérable bête grelotante au teint blafard, aux joues creuses et aux yeux humides de larmes au bord du crucifix. Oui c'était cela...une compilation de souvenirs, d'objets égarés, de photos aux coins brûlés, de paroles affligeantes, de mots dépravés, de ratures heurtant la pureté du papier, de dessins loufoques...d'un esprit tourmenté. C'était bien cela. D'une jeune fille fragilisée...

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"Ça coulait...serpentant sur ma peau comme une euphorique cavalerie dévastant la pâleur de ma chair. Sans s'arrêter, comme les vagues dérobant les traces de mes petits pas ancrés sur un sable chaud...ça volait mon innocence, ma candeur, ma naïveté. J'étais là. Assise. A genoux, mon frêle corps frissonnant toujours de la violence qui ruisselait aussi doucement de mes doigts. Tranchant ma main, fissurant mon avant-bras, s'écoulant finalement, terminant en une ultime jetée, sur mes coudes égratignés. Tâchant le sol embrumé d'une fine poussière...d'un voile abimé s'élevant comme une âme vers des Cieux fermés. Assise. Frissonnante. Mon regard échoué sur ce liquide aux reflets ambrés, au fond aussi profond qu'un océan de douleurs. Tremblante comme une feuille d'une valse aérienne ayant nettoyé mon esprit. Plus rien. Rien n'osait frémir ou chuchoter. Plus rien. Seul le crissement insondable et inaudible du lourd poids qu'était ce moment. Ces temps dont on veut s'échapper mais, qui, comme des cauchemars restent accrochés à l'attrape-rêve qu'était l'absurdité de notre condition. On voulait dérober le sable qui s'écoulait lentement dans le sablier de l'existence, comme des fous, on espérait retenir ces secondes, les empêcher de filer entre nos doigts en une caresse taquine. Cependant, dès que ce dernier était arrêté pour de bon, alors on lâchait tout. On fuyait la responsabilité qu'on s'était imposé. Lâches. Couards. On entamait une course, avec, pour nous soutenir, que le faible espoir de nos maux. J'étais là. Assise. Encore et toujours. Les larmes subitement embrassant mes joues incendiées. Et comme le temps, je lâchais l'être minuscule que j'avais tenu entre mes mains. Il retomba, telle la note finale d'une symphonie magistralement tragique, faisant écho dans cette cabane naturelle encerclait de racines démesurément grandes. Trop grandes. Semblable à une bête dans une cage, je cherchais du regard les issues probables, mais l'unique pensée qui percutait mon crâne était celle d'une meurtrière. J'allais exploser. Je n'avais que sept ans....et déjà...déjà je pensais comme une fugitive. L'éternelle coupable cachant ses erreurs sous une tas de terre, écrasant avec une froide volonté le tombeau hasardeux et minable...effaçant les traces d'un quelconque péché. Pourtant je le sentais...en moi...bourgeonner en de millions de baisers ténébreux...grandir, s'enracinant dans mon cœur, élevant ses branches dans le cadavre vivant qu'il restait de moi...transperçant mes veines, les infectant d'un poison encore trop faible pour me démanger. Je le sentais...ce pouvoir. Je le sentais embraser mes sens, charmer tel un succube ma raison d'agneau et je le voulais sous ma peau. Je le voulais mien. C'était inexplicable. C'était aussi puissant qu'un chœur vibrant au sein de mon être. Aussi magique, beau et tentant. Aussi dangereux...et avant même qu'il ne puisse mordre dans ma conscience, je partis en courant. Fugitive. Coupable. En courant simplement, trainant mes petits pieds fragilisés. Laissant derrière moi, le cadavre, pourrissant d'une maligne pixie, enterré et broyé sous le joug de mes macabres pensées."

Un extrait de journal intime, simple, sans superficialité. Un extrait des plus troublants. Récit d'un meurtre dévoué à sa chère violence. Une première fois, aussi intense qu'un dépucelage langoureux, aussi prenant qu'un suicide heureux. Cette moldue goutant à l'exquis poison sommeillant en elle depuis surement la naissance. Elle fit acte d'une extrême froideur arrachant la tête de l'espèce joueuse et coquine et maintenant, elle savourait avec dégout le propre reflet de sa monstruosité. Dénaturé, déshumanisé se voyait-elle à ce moment. Tentant d'esquiver les chimères qu'elle avait engendré. Mais personne ne fuit la Providence, un jour ou l'autre, elle nous rattrape. Un jour ou l'autre, nous payons nos dettes. Elle remboursait l'une des siennes...de ces nombreux et futurs sacrifices déroutants. Elle n'était qu'une gamine, une morveuse s'étant inventée un monde de magie et de merveilles...mais à force de sympathiser avec le diable, ce dernier vole votre signature à un pacte de terreurs. Elle était visiblement perdue, cela n'en fait aucun doute à en voir les autres pages. Toutes rayées, découpées, déchiquetées, mémoires de phrases exhaustives. Son corps n'était pas fait pour surmonter cette dose de drogue enchantée. Trop faible, trop idiote. Cela en est certain ! Alors pourquoi...pourquoi avait-elle était élue ? Pourquoi, par sa faute, notre puissance s’atténuait ? "Je veux ce pouvoir en moi" avait-elle écrit sur l'une des feuilles...je lui aurais bien craché à la figure à cette humaine...De braises et de peurs se forgeait-elle, refoulant par la suite ses pulsions visiblement trop fortes. Ridicule. Je suis sûre qu'elle en pleurait les nuits ! Qu'elle se recroquevillait dans un coin, s'étant enterrée avec la créature détestable, la pixie. Elle partit, déménagea, troublant encore plus son esprit. Elle jouait à présent avec ses doigts, ayant crainte de blesser autre chose, même les fleurs en étaient devenues précieuses ! Puis elle grandit, suivit d'un thérapeute. Elle grandit archivant ces souvenirs dérangeants, ces sensations étrangères. Mais elle ne pouvait vivre dans l'ombre bien longtemps, et à ses onze ans, elle fit partie de notre communauté. A onze ans, on lui ouvrit, avec amertume, les portes de Poudlard.

Page arrachée

Désabusé, confronté à une tonne de papiers n'ayant aucun sens...aucune mélodie, juste des cris, des pleurs irisant mes sens de serpent pur. De cannibale des souvenirs, d'un écorcheur de douceur...elle glissait à travers ces récits, ces photographies trouées pour certaines, abimées par le temps pour d'autres, juste détestées par leur singularité, leur réalisme. Il semblait que son regard pouvait transpercer un homme, et déchirer le cœur d'une vierge. Mais rien ne semblait pouvoir répondre à mes questions, rien que l'éternel soupir de mon anxiété lassée.Mais alors que j'allais m'éloigner, un froissement à mes pieds retint mon attention. Un étrange appel à la curiosité embrasant le feu de mon esprit. Attrapant le papier sans plus attendre, je me mis à le lire...une lettre apparemment, une simple lettre envoyée à ses parents. Écrite surement à la hâte, vu l'irrégularité des phrases, les tâches d'encre empiétant parfois sur le texte, sans date ni signature, seul le désespoir qu'il fallait dénicher entre les mots était là pour la marquer.

"Mes chers parents,

J'écris simplement pour vous dire que je vais bien. Très bien. Mes camarades me trouvent très amusante. Vraiment. Ils aiment bien rire, c'est drôle. Je ne me suis jamais sentie aussi présente. Jamais. C'est comme si tous les regards étaient posés sur moi. Je ne suis pas la plus populaire, mais surement celle qu'on remarque le plus. A chaque fois que je traverse les couloirs, des sourires déforment leur visage, des rires résonnent aussi, au moins, on n'entend plus le bruit constant de mes pas...Je vous le jure. Je vais bien. Les cours ? Et bien ils sont durs. Un peu compliqués à comprendre...les professeurs sont strictes mais c'est pour notre bien. La discipline est ce qu'il y a de meilleur, n'est-ce pas ? Les filles qui partagent ma chambre aiment bien faire des petits questionnaires avant les cours...c'est chouette...vraiment. Puis elles rigolent aussi...très souvent. C'est drôle. Je vais bien. Très bien. Je vous l'assure.
Ainsi je vous quitte, vous annonçant que vous me manquez déjà.

Votre Meadow."

Des mensonges...un art qu'elle filait de ses doigts comme la Providence le faisait de nos vies. Tout ce qu'il fallait comprendre c'est qu'elle était la risée de toute une école, que les leçons n'étaient pas appropriées pour son petit cerveau humain et que la solitude lui manquait. A vrai dire...ses démons devenaient de plus en plus bruyant là-bas, s'infiltrant dans les poumons des élèves, projetant leur venin sur sa chair. Sur sa peau qui finit par emprunter les propriétés de la pierre, se mutant au fur et à mesure du temps, subissant des mutations brutales et bestiales. S’endurcissant, cicatrisant, brûlant et pénétrant dans ses muscles contractés. Elle ressentait tout...et tout déformait-elle. Transformant le lyrisme d'une peine en tambour de guerre. Goutant à ses larmes puis les recrachant sur les autres. Elle s’accommodait. Effacée, elle n'en était que plus lumineuse. Observatrice et manipulatrice, elle s'était forgée. Observatrice et manipulatrice, elle s'imposait en tant que voix de terreur, et non en tant que ridicule créature. Sauvage...indomptable...ravageant ces couloirs que longtemps elle avait craint. Elle n'était pas violente en soi, non, elle était même frêle et sensible...mais ce qu'elle détenait entre ses mains pouvait attirer la Faucheuse. Apprivoiser cette dernière, la faisant valser et l'embrassant pour une dernière injection de pouvoir. C'était donc cela, comme des années auparavant, sous ce vieil arbre. Son visage ombré par le sang. Comme des années auparavant, la puissance fleurissait. D'un romantisme sans pareil, elle se déployait dans son cœur, ses racines serrant encore plus l'appareil aux milles plaies. Elle était là, rôdant au-dessus de sa tête, voilant son visage comme une sombre mariée vouée à l'exécution de sa pudeur. Comme une veuve déterrant les os de son mari, elle avait ce perpétuel brouillard enveloppant son esprit, la folie et l'inconscience possédant son regard perçant. Juste une martyre de la société. Rien que la victime de leurs idées. Seulement le bourreau de leurs secrets. Uniquement le tyran de leur intimité.
Elle me dégoutait. Plus je la façonnais à travers ces mots, plus elle me répugnait. Cette vermine de moldue se conduisant comme une pure sang, se pavanant, avec, dans ses yeux le crucifix de ceux qui ont le véritable pouvoir. Parce-qu'avec elle, le poids de millions de non-dits roulaient, comme de l'or au pieds d'un roi, dans son esprit. Perspicace et malicieuse, elle aurait put être le serpent d'un Éden, la pomme d'une utopie. Ma haine ne dégonflant pas de fierté, je jetai la feuille violemment contre le mur. Si seulement je pouvais l'avoir entre mes mains...si seulement je pouvais la voir se soumettre à ses maitres...mais elle était là, quelque-part dans la nature, ricanant de ma naïve colère...de toutes les faiblesses que je lui exposais, lui offrant mes failles sur un plateau d'argent. Elle devait brûler sur le bûcher comme sa race de chiens nous l'avait fait subir auparavant ! Mieux ! Guillotinée pour que sa tête puisse être un de nos trophées ! Me précipitant de nouveau au bureau, ma priorité première n'était plus de me cultiver, mais de détruire le monstre que l'on avait créé.

Page dernière

"In this new eden i was cast as the serpent because i was not content to serve."

Elle était partout, sa voix susurrant, vagabondant au grès des mélodies enchainées de ces lignes...dépourvues de sens, courbées, dangereuses, prêtent à attaquer la victime inconsciente et fière de son ultime pouvoir. Elle, prête à tirer les plus beaux anges du Paradis vers l'Enfer qu'elle s'était battit arrosant son visage crispé du sang de leurs ongles arrachés. Sauvage et brutale était-elle, mystérieuse et sournoise se montrait-elle inspirant une ridicule once de respect.

Moldue ? Sand-mêlée ? Sang-pur ? Qui le savait vraiment quand, la poitrine bombée et le menton relevé, elle jacassait d'un rire médiocrement irritant...qui pouvait seulement trancher ses veines pour s'assurer de la pauvreté de sa chair...qui le pouvait ? Bien d'autres auparavant avaient échoué...bien d'autres ne se reconnaissaient plus après avoir passé un temps à valser dans les méandres de nuits ensorcelées. Elle les rendait fous. Elle me rendait fou. Fou d'une connaissance qui n'aurait jamais dû pénétrer en mon esprit fragilisé. Fou d'une supériorité m'entrainant dans les gouffres sacrés de ma propre perversion. Fou d'une haine sans pareille pour celle que j'avais mutilé. Elle dérobait nos sourires pour les faire siens...pour se couronner de nos faiblesses et régner sur les ténèbres chaotiques de nos raisons effarouchées. Peut-être n'étions-nous, dans nos joies et nos banquets, que les agneaux qu'elle engraissait avant de nous égorger gaiement ? Peut-être que nos colères la nourrissaient chaque soirs devant son miroir des horreurs ? Que sais-je ?! Elle n'était pas de notre sang, pas de notre communauté, pas de notre race ! Et elle se permettait d'irriguer nos peurs de ses lois absurdes ?! Qui était-elle ? Une mangemort dont la vue abusive des traits grotesques de la Faucheuse embrouilla les sens ? Ou peut-être une de ces rebelles agissant dans l'ombre de nos chambres...dans les coins de nos maisons...Pensant qu'il n'y a aura jamais rien de bon à laisser de nous. Je la plongerais dans l'eau bénite si cette mesquinerie voulait bien marcher sur des Lucifer condamnés au sacrilège utopiste. Qu'elle ose bouger un peu et défier les écorchures de sa propre espèce ! Ils ont déjà bien usé de notre air. Elle était dans le ministère maintenant ! Quelle ironie...Ô mais quelle merveilleuse idée ! Apprentie tireuse d'élite en plus ! Naïfs ! qui voulaient-ils qu'elle protège si ce n'est sa propre face ? Elle ne se battait pas pour quelconques idéaux ! On l'accepte sous la propagande, et elle ne se manifeste même pas ! Un orgueil comme le sien devrait être muet...et ne pas crever d'un silence morbide. Elle était un funeste présage pour notre pauvre gouvernement...Un corbeau croassant ses prières funéraires, une banshee macabre au cri strident.
"Ils m'ont enterré vivante" écrivait-elle telle la victime qu'elle jouait "laissant mes restes d'innocence se décomposer par les mensonges vides qu'ils crachent sur moi. Observant mon cercueil s'enfoncer plus profondément dans la Terre alors qu'ils sont à la surface, à la Lumière éternelle. C'est lent...je suffoque, je me meurs...je hurle désespérément, pleure mes songes violés. Mes os se craquèlent, ma chair s'évanouit...puis ils jettent leurs fleurs, leurs faux-sourires et compliments. Des regrets, des encouragements simulés. Enfin, ils se décident à commettre le crime. Mes poumons se percent d'un air éphémère, empoisonné...mes côtes transperçant mon cadavre progressivement, mes lèvres cherchant celles de la Mort, pour qu'en cette dernière étreinte, rien ne soit plus douloureux. Et alors que j'inscris mon passé sur le sol que j'avais foulé, je reprends conscience...et je suis de nouveau au sommet de ma tombe. Ils ont creusé, ont prit tellement de peine à me confectionner un agréable lit funéraire. Puis les actions se répètent, encore et encore, et à jamais. Cela n'en finit plus, sauf que cette fois, c'est moi qui m'enterre."
Faible...frêle...candide...naïve...était-elle. Forte en surface, et vide de l'intérieur.
Le plancher grinça, mon mouvement de retournement fut un bond surprit. D'un regard effaré, perdu je sondais la pièce qui, longtemps, fut abandonnée...Je la sentais. Son parfum d'opium abusé planant dans le lieu. Elle était là. Et avant que je ne puisse retirer ma baguette, un son transperça mes tympans sensibilisés par la tension présente. Un seul mot me faisant frémir de dégout et de regrets..."Obliviate !" Sans même que je ne puisse faire écho en ma mémoire des failles de ce monstre, je m'écroulai...les souvenirs me quittant, le rythme de tambour de guerre de ses talons me hantant une toute dernière fois.

PREUMS

Sois la bienvenue, ABF, très bon choix on la voit rarement !

Bienvenue ! J'adore le prénom que tu as choisis :bril:

Bon courage pour ta fiche (:

InvitéInvité

Bienvenue donc ! Et puis j'ai hâte d'en savoir plus sur cette Meadow !

Bienvenue avec la jolie Astrid !
J'ai hâte de voir ton personnage en détail !

Comment ne pas passer sur cette fiche ? :gaa:

Bienvenue de manière officielle, je vais juste surveiller ta fiche toutes les heures pour voir son avancée sinon tout va bien :kya:

Bon courage en tout cas !

InvitéInvité

astrid sur ce que j'ai vu dans la partie invité (oui je suis l'admin qui lit sans répondre mes excuses ) ton personnage va être supeeeer bien j'attends la suite
bon courage pour ta fiche !

Sirius Ben en Sirius :omfg:

siriusly ? :arrow:

tu veux ma mort ? Il est tellement rare aussi de nos jours alors que sincèrement, c'est un homme au charisme incroyable (malgré lui je suppose), surtout dans Dorian Gray où il est fascinant aux côtés du magnifique Colin Firth. Merci beaucoup jeune homme :3

Anya je ne connaissais pas la demoiselle sur ton avatar, mais elle est toute belle :bril:

merci ^^

Remus Merci beaucoup, j'espère ne pas vous décevoir :angel:

Andromeda La belle Meghan :bave:

merci ^^

Rod' ne me met surtout pas la pression ! :mdr:

maintenant j'ai peur de vous décevoir T.T Merci beaucoup en tout cas, aussi bien pour ton soutien que ton adorable message :heart:

Marlene JENNA :gaa:

merci beaucoup :3 Ce n'est pas grave, Rod' , Rab' ainsi que Remus m'ont très bien conseillé :bril:

InvitéInvité

t'as atterris sur un forum où les membres remplacent les admins y'a une rébellion qui se gâte, je fuirais si j'étais toi

BIENVENUE OFFICIELLEMENT :kya:

(oui je me rappelle enfin de ton nom :arrow:

)

Faut que je te dise encore fois que tu es géniale etc... ? Oué... nan... Bon courage ! n.n

Marlene j'veux faire partie de la rébellion :fire:

yé peur de rien mouah ! :ninja:

Rabastan vas-y répète-le, j'adore te l'entendre dire :hé:

merci ^^

Honte à moi, je ne suis toujours pas passée par là ! :gaa:

Bienvenue parmi nous, je sens que ton perso va dépoter ! :heart:

Lily *o* merci beaucoup :3 je sens qu'entre née-moldues on va devoir se serrer les coudes ! :ninja:

InvitéInvité

Le délai pour faire ta fiche est terminé. Si nous n'avons pas de nouvelle d'ici deux jours ton compte sera supprimé. En attendant, ta fiche est placée dans les refusées, si tu as besoin d'un délai supplémentaire, n'hésite surtout pas à nous faire signe et nous remettrons ta fiche en place.

Oh oui ! j'aurai bien besoin d'un délai supplémentaire s'il-vous-plait ^^ en effet, j'ai des examens toute la semaine non-stop matin et après-midi (même samedi T.T) donc je n'ai pas trop le temps de me connecter ces derniers temps :/

InvitéInvité

je te donne cinq jours pour tes examens en espérant que ce sera suffisant mais n'hésite pas à nous dire si t'as besoin de quelques jours en plus à la fin du délai

Merci beaucoup :3 je pense que cela devrait suffire

Besoin d'un nouveau délai ? :lol:

j'essaie de finir la fiche ce soir

EDIT j'aurai néanmoins besoin de vos avis, si je pensais avoir trouvé chaussure à mon pied en terme de personnage, un autre est venu titiller mon esprit il n'y a pas longtemps (et avec qui j'ai déjà 2 liens :O) et j'hésite encore (oui...je suis énervante T.T). Certains le connaissent déjà, d'autre non, et je voulais savoir si vous étiez prêt à m'aider dans cette nouvelle impasse une énième fois :oops:

InvitéInvité

félicitations!

tu es désormais validé(e)

quelle belle fiche je suis définitivement fan de ton écriture et puis meadow est juste amazing ! bon jeu !

Congratulations, petit sorcier ! :smile:

Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité :face:

), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. :gaa:

C'est ta vie, mon coco. :siffle:

Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. :kya:

Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. :amimorve:

On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide :red:

Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom :mdr:

Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end. :tongue:

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she wolf ∇ [m.a.a.]

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