NOM : Lonerider. Ou cavalier seul, si vous voulez vraiment rire de l'ironie de ce nom de famille. Il est totalement inconnu dans le monde magique, et honnêtement, elle s'en fout. Tout le monde, même ses proches, l'appellent par son nom de famille - mieux vaut donc qu'il soit anonyme.. Ou presque. PRÉNOM(S) : Leto. Douce femme transformée en louve par Zeus, il y a bien longtemps, dans de bien nombreux mythes.. Elle ne supporte pas l'histoire et le pourquoi de son prénom. Cependant, son second, Artémis, est tout aussi insupportable. Fille de Leto, déesse louve, son but n'est que de chasser sans relâche. De tourner en rond, comme un chien après sa queue. ASCENDANCE : Union d'un sorcier et d'une mère moldue, ce que la jeune fille ne crie pas sur tous les toits, Leto n'est qu'une sang-mêlée parmi d'autres. ÂGE : Bien que son visage puisse encore avoir gardé la douceur de l'enfance, il n'en est rien, tant pour l'âge que pour la gentillesse. 22 hivers se sont passés depuis son premier hurlement sur terre. LIEU DE NAISSANCE : En plein Texas, aux Etats-Unis. Dans une ferme quelconque, probablement. SITUATION SOCIALE : Elle hésite, Leto, et change aussi souvent de partenaire que de chemises. Hommes ou femmes, ce qui est sûr c'est que c'est une vie de célibat plutôt que de promesses éternelles qu'elle a le plus souvent. ANCIENNE MAISON : Tempérament de feu, orgueil démesuré à la fierté blessée au moindre éclats, Leto était assurément une Gryffondor.. Mais dans le mauvais sens du terme. A la crinnière enflammée, elle était celle qu'on évitait au même titre que les plus venimeux des Serpentards. Oubliez le prestige et l'honneur, pour elle, le rouge signifiait le sang à verser, et l'or son égo. PROFESSION : "Baguette à vendre" ou mercenaire. Ancienne Auror qui commençait à se forger une petite réputation, Leto a décidé d'envoyer valser les principes liés à son ancienne profession une fois remerciée par le Ministère, et de proposer ses services magiques à qui en auraient besoin.. Peut importe les motivations. BAGUETTE : Baguette plutôt souple en bois d'ébène, elle a en son coeur un crin de sombral. Quite à rester dans la noirceur et les choses rares, soulignons également que sa taille est de 36 centimètres, moyen efficace d'attirer les railleries dès l'enfance. Mais Leto s'en fichait éperdumment. L'ébène, reconnu comme choisissant des personnes toutes plus marginales les une que les autres, a en effet bien caractérisé sa détentrice. Faisant de l'étrangeté de sa baguette une force et non pas quelque chose à cacher, la folle rousse ne craint rien ni personne - y compris la mort. La synergie avec ce bout de bois un peu trop long étant un véritable résumé de la personnalité de Leto, sa flexibilité reste cependant moyenne compte tenu de l'ébène qui reste fragile. Baguette fine, striée de runes gravées de manière aléatoire tout du long, elle est une véritable métonymie de la jeune femme. PATRONUS : Alors que tous ceux de son espèce se contentent d'avoir un banal loup en patronus, Leto elle, est une fois de plus à la marge. C'est une hyène, croisement immonde entre un canidé et une espèce ratée qui sort de manière fantomatique de sa baguette, animal honteux pour tous, mais qui fait pourtant la fierté de la sorcière qui trouve que cette chose lui convient plutôt bien. MIROIR DU RISED : Bien qu'elle ne le dise pas, Leto dans ce reflet, ne se voit pas. En vérité, elle aurait bien aimé ne jamais exister. Quiter cette douce  blague qu'est la vie au profit de ses parents, de sa mère. Si seulement cette dernière n'avait jamais rencontré son père, peut-être aurait-elle eu une belle et paisible vie. EPOUVANTARD : Elle-même.. Sans baguette. Les risques d'avoir été cracmolle étaient réels compte tenu de l'absence de magie dans les veines de sa mère, et la jeune femme est bien heureuse de pouvoir se défendre en ces temps de plus en plus trouble. Sans argent ni prestige, elle n'a que ça, Leto. FACULTE SPECIALE : Comme son prénom aurait pu vous l'indiquer, Leto est atteinte de lycantropisme d'aussi loin qu'elle puisse se souvenir. Au début une véritable tare qui l'a déchue de son poste d'Auror, elle en fait peu à peu une force, une fierté.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ?
Oui. Qui n'en donne pas ? Qui dit avec fierté une ascendance moldue, qui ne fait pas rappeller à la ronde son sang pur ? Même si on cherche à le cacher, tout le monde donne de l'importance à cette belle illusion. Je crois que c'est la plus belle hypocrisie de ce monde. Le sang. Si l'on te tenait réellement pas compte de ce liquide poisseux, il n'y aurait pas ces merveilleux discours des politiques qui se disent protecteurs de tous, même nés moldus. On s'en foutrait, d'eux, comme du reste, si le sang n'avait réellement aucune importance.
Vous vous cachez tous la face, vous faites semblant. Vous, qui êtes persuadé de vous foutre du sang, vous êtes ces faux chevaliers blancs qui font que le Monde tourne de moins en moins rond. Avouez l'importance qu'on y accorde, tous autant que vous êtes, et ce sera déjà une grande étape de faite.

D'où je viens, on fait semblant de ne pas différencier noirs et blancs. Des années d'esclavagisme que l'on "oublie" mystérieusement. Et pourtant, ces différences existent. Il faut les clamer haut et fort, il ne faut pas les oublier. Que ça soit entre différentes ethnies ou entre sorciers et moldus, c'est en aceptant nos différences que nous deviendront plus fort. Mais vous n'êtes pas encore prêts à faire ça, n'est-ce pas ?

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ?
J'aime ce climat d'insécurité. De murmures et de larmes. J'aime tous ces putains d'articles hypocrites, presques rédigés par le Ministère lui-même et qui se veulent rassurant pour la population, alors que de jours en jours, le nombre de sorciers victimes de ces extremistes augmente. Le monde magique marche sur la tête, et personne ne s'en rend compte. Personne n'a assez de cran pour faire quelque chose, et pourtant, ça ne se prive pas de faire de beaux discours.

Mon sang est banal, je n'ai rien à craindre. Ancienne Auror, je sais me défendre, et dans le pire des cas, je pourrais toujours rejoindre une communauté de loup-garous si je suis vraiment en danger. Mais vous ne pourrez m'empêcher de sourire quand je vois à quel point notre société s'engouffre de plus en plus profondément dans ses propres limbes. Imaginez.. Imaginez pour une mercenaire comme moi, ce que j'y gagne. Beaucoup. Beaucoup trop pour pleurer sur le sort de pauvres gens qui sont nés au mauvais endroit, au mauvais moment. Je sais que seule, je ne vais pas empêcher ce massacre. Par contre, contre une modique somme, je peux empêcher le vôtre.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ?
Je m'en fout du Ministre. Du Ministère, de ses putains de fonctionnaires. De toute cette bureaucratie. J'y bien trop longtemps travaillé au Bureau des Aurors pour leur cracher dessus lorsqu'ils me disent que soudainement, je ne peux plus travailler pour eux - merci, revenez plus tard, ou jamais. Je me fout de ces apparences, de ces manigances péteuses qui se font au grand jour.
Avant, j'avais une certaine confiance. Avant, je croyais qu'aider le Royaume-Unis était une bonne chose, et apportait du prestige. C'est tout ce que je voulais moi, un peu de gloire personnelle. Ça faisait monter leurs chiffres, tout ce boulot que je faisais en plus pour eux. Mais lorsqu'ils m'ont virés comme une malpropre, sans mot, sans excuse, j'ai tout simplement réalisé à quel point ce système était gangrenné et bon qu'à compter nos impôts.

Ouais, je suis loup-garou. Et vous savez quoi ? J'aurai du aller à Azkaban pour avoir travaillé en tant qu'Auror au Ministère, j'aurai du aller croupir là-bas pour n'avoir jamais rien dit. Mais pas de procès, pas de poursuites. Ça allait affoler la population.
Sortez par la petite porte du fond, et fermez là.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
Ils doivent s'ennuyer. Mon dieu, qu'est-ce que ces Mangemorts doivent se faire chier au quotidien. Tuer par occupation, ou proccuration, nécessite de n'avoir rien à faire d'autre. Mais ils n'ont probablement pas le choix. Toutes ces générations consanguines qui se sont mentalement fait détruire par des idéologies moyen-ageuses ne décident probablement pas de leur présent, et encore moins de leur futur. Ce sont des loup-garous, en quelque sorte.
Ils n'ont pas le choix.
Tout comme moi si jamais ils demandent mes services. Je craint bien sûr ce que ces fous pouvent me faire sur un coup de tête, mais j'assure mes arrières. Les familles nobles paient bien, et cher. Tant qu'ils ne disent pas pourquoi ils veulent que je traque ce né-moldu, ou pourquoi est-ce qu'il faut acheter tel fonctionnaire au Ministère, je ne dirais jamais non.

Tant pis si le Lord arrive à renverser ce Ministère à vomir, tant pis si des innocents meurent. Je sais que je ne ferai pas partie des victimes potentielles. Et je sais qu'entre temps, j'aurais beaucoup, beaucoup d'argent.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ?
Ceux qui ne voient pas de différence entre les différents sang ? Ceux qui veulent devenir les nouveaux Merlin, ceux qui veulent leur tête naïve sur les cartes de Chocogrenouilles une fois leur devoir accompli ? J'en ai entendu parler, comme tout le monde. Sans plus respecter leur croisade que celle du Lord, il faut avouer que je préfèrerai beaucoup plus qu'ils échouent dans leur quête. Que tous stagnent, Ordre comme Mangemorts, et que l'état de presque chaos actuel reste le même pendant encore longtemps. C'est la bonne période pour moi, mais la mauvaise pour eux.

Cependant, je ne vais pas me mettre sur leur route. Je me fous des excuses qu'ils donnent pour tuer, les personnes bien intentionnées étrangement systématiquement protégées de leurs crimes, je me fous de leurs idéaux. S'ils viennent me voir et me paye, je ne dirais pas non.
Si vous me demandez si je veux leur chute, ma réponse sera également la même.

Mes yeux s’ouvrirent sur le ciel. L’air froid avait raidit mon corps, et craquelé ce que j’avais sur le visage. Du sang. Nue, perdue en plein milieu de nul part, ce réveil était le résumé de tout ce que j’avais jamais réussi à accomplir. Sans intérêt, et ne menant à rien. Peut-être ai-je attaqué quelqu’un cette nuit, peut-être n’était-ce qu’une biche. Les frissons me faisaient trembler, mon être engourdit semblant se réveiller en décalage avec mon esprit. Un autre jour ici, Leto, un autre jour coincé dans ton corps. T’es même pas vieille que tu détestes déjà la carcasse qui te maintient en vie.

Alors, lèves toi ma belle. Il faut que je fasse la fière, au beau milieu de ce qui semblait être un champ de blé. L’arrogante nudité que j’arborais, l’insolence du sang qui tâchait ma peau bien trop pâle, et rappelait que trop bien mes cheveux de feu. Sans baguette, sans vêtements, mes yeux se levèrent vers ce ciel peu accueillant. Gris terne, gris de ta vie, de la morosité dans laquelle tu es vouée. Ces pulsions lycanes, je ne les ressent même pas – le seul moment ou je vis vraiment je l’oublie, comme un doux et trop fugace rêve, j’oublie tout et je me retrouve conne et nue. Le vent se leva et mordit la moindre parcelle de peau que j’avais, rabattant également mes cheveux sur mon visage. Epouvantail à forme humaine. Sans visage, seulement un pauvre corps décharné. Je savais que le trou à rat me servant de maison se trouvait à à peine quelques minutes de là, mais je ne bougeais pas.
Je respirais. Cet air froid m’emplissait les poumons, les brûlant, les punissant de l’effort que j’avais probablement fait la nuit passée. Mes muscles grinçaient, souffraient de cet oxygène qui venait leur demander de l’effort. Mettre un pied devant l’autre, tout en ne mourant pas d’asphyxie. Gorge serrée, terre qui recouvrait mes jambes. Leto, la chienne du Ministère, avançait péniblement face au vent, ses bras enroulés autour d’elle-même dans une tentative désespérée de se réchauffer.

La porte grinça, pénétrant de son sifflement strident un cerveau encore douloureux. Bienvenue chez toi ma grande. A peine rentrée que tu es déjà à la fois dans ta chambre, ton salon, ta cuisine et ta salle de bain. Des larmes coulèrent sans que je le veuille sur mes joues teintées de rouge, alors que je m’enroulais avec difficulté dans la couverture de laine négligemment posée sur mon lit. Embués de larmes, je forçais pourtant mes yeux à rester ouverts. Je les forçais à regarder et admirer la déchéance de ma propre vie, je les forçais à ne pas faire disparaitre cette dure réalité d’un battement de paupières. Je n’étais qu’une chose remplie de douleur et de souffrance ce matin là. Une fois par mois. Répétez le processus de transformation lycane jusqu’à ce que vous vous fassiez exploser votre propre cervelle. La seule fenêtre de ma pauvre bicoque faisait transparaître avec peine une pâle lumière du jour. Une lumière traversée de tellement de poussières et de d’aigreur qu’elle en devenait grise. Rien n’éclairait rien. Mes yeux se fermèrent. Rien, je ne voyais plus rien. Ce n’est qu’un mauvais rêve, demain il fera beau, demain tu ne seras plus ce chien enragé, tu ne seras plus qu’une mercenaire de plus. Demain tu oublieras que tu es Leto, et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes.


Chaque réveil était comme un déchirement. Ouvrir ses yeux collants sur cette vieille cabane, sur cette vieille femme, qui, là, s’encombrait d’allumettes. Sur cette mère qui n’était pas capable d’un simple coup de baguette de faire jaillir la moindre flamme, parce qu’elle n’était tout simplement pas une sorcière. Mes lèvres s’ouvrirent, articulant un grognement rauque qui la fit se retourner en sursaut. Son visage, lui aussi teinté de rouge, de peur et de fatigue, était une parfaite réflexion du mien. Chaque apparition de ma mère était un déchirement. Pauvre petite femme, naïve gamine qui s’était laissé embobiner par mon père. Moldue lambda qui s’était prise pour l’héroïne de son propre roman, s’enfuir avec un loup-garou à baguette semblait tenir de l’irréel. Sa silhouette d’une minceur fantomatique, était irréelle. Lentement, la banale Mary O’Connell disparaissait de ce monde. Son corps réduit en peau de chagrin était de plus en plus cadavérique à chaque fois que je la voyais. « Leto, mon amour, rendors toi je m’occupe de tout. » Je ne savais pas où elle dormait ni habitait, juste qu’elle survivait. Qu’elle se cachait des anciens frères de meute de mon père, son mari qu’elle a fuit jusqu’à en traverser l’océan et atterrir sur un autre continent. Sa vie, on dirait un conte de fée qui a tourné mal, qui a tourné à droite côté réalité plutôt que de continuer en direction du Pays Imaginaire.
Retour dans ta vie pétée Leto, avec cette mère sortie d’on ne sait jamais ou, avec ton abris de fortune, et avec cette moiteur qui te colle encore au corps. Personne n’aurait imaginé que derrière cette femme assurée que tu es devenue, derrière ce cynisme et cette provocation qui t’es propre, se cachait en réalité un déchet de la société. Celle qui joue sa dominante, celle qui n’hésite pas à prendre des risques pour un contrat, c’est cette chose rousse perdue au milieu d’une couverture salle. Il y a des périodes comme ça, environ cinq jours après la pleine lune, ou je ne suis rien. Poussière nous sommes, poussière nous resterons. Âme sans but, je me cache de ma véritable nature, avant que je reprenne de la force - du poil de la bête, si vous me permettez le mauvais jeu de mot. Mes prunelles fatiguées suivaient ma mère déambuler dans ces maigres mètres carrés, sans but, toutes deux de simples chiens tournant après leur queue pendant une période indéterminée.

Si seulement je pouvais revenir en arrière. Inspire et expire. Si seulement je pouvais redevenir cette femme, cette auror qui avait tout pour elle, le talent, la détermination, et l'avenir. Inspire et expire, au rythme de tes pensées qui se bousculent. Un avenir sorcier, oui. De mes yeux remplis d'eau, pauvre conne, je fixais le plafond tout en rêvant du passé. Inspire et expire, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Mais t'es rien maintenant. Un loup-garou, une bête assoiffée d'hémoglobine, aberration de ce monde. Respire, crève un peu plus tes poumons percés, et écarte avec force tes lèvres gercées de sang. Ouais, c'est ce que je suis.
Leto Lonerider, la chienne, l'auror usurpée. Contre quelques galions vous pouvez m'acheter, mais jamais, vous ne m'achèverez. Grogne de hargne ma belle, et hurle la tête renversée en arrière.
Il ne me reste plus que ça.

Ohlala je sens que je vais adorer ce personnage, mais à un point... Comme d'habitude c'est un vrai régal de te lire et puis tu arrives à donner une de ces profondeurs à tes personnages...    Une fois de plus je suis conquise. Bref, tu connais la suite, rebienvenue chez toi   

Congratulations, petit sorcier !    Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres.  Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. :gaa:C'est ta vie, mon coco. :siffle:Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. :kya:Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème.    On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide   Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous !  Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom :arrow:Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.