NOM : > Weasley, le nom de son époux, Arthur Weasley. Un nom connu chez les familles de sang-purs, bien qu’il ne soit pas bien considéré. Son nom de jeune fille est Prewett, nom qui n’a aucunement été élevé dans la suprématie du sang malgré qu’il soit considéré comme pur. PRÉNOM(S) : Molly, elle ne possède pas de second prénom. ASCENDANCE : Sang-pur, bien qu’elle ne s’en soit jamais vanté, la famille Prewett n’ayant jamais été élevée dans la hiérarchie de par sa pureté. ÂGE : Trente ans, elle est née le 30 Octobre 1950. LIEU DE NAISSANCE : Molly est née à Bristol. SITUATION SOCIALE : Mariée à Arthur Weasley peu après sa sortie de Poudlard, elle a aujourd’hui cinq garçons : Bill, Charlie, Percy, Fred et George et est enceinte du sixième garçon de la fratrie.  ANCIENNE MAISON :Molly a été répartie à Gryffondor,  où elle a rencontré Arthur PROFESSION :Elle est employée au Département des mystères, dans la Salle de l'Amour en tant qu'alchimiste. Elle aide à la confection des filtres d'amour et autres potions puissantes en lien avec cette salle. Elle est donc langue-de-plomb par extension. BAGUETTE : Trente deux centimètres, souple en bois de cerisier et plume d’hippogriffe. Particulièrement efficace en duel.PATRONUS : Un kangourou, animal maternel par exellence, qui lui correspond à merveille ! MIROIR DU RISED : Sa famille, au complet et heureuse. Et, une fille au sein de cette fratrie.EPOUVANTARD : Sa famille décimée. FACULTE SPECIALE : Gérer 5 garçons, ça compte ?

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? J'ai été élevée dans une famille dite de sang pur. Mais pour mes parents, cela n'a jamais été une valeur. Ainsi, pour moi le sang n'a pas d'importance, franchement. Un sorcier reste un sorcier, ce sont ses pouvoirs qui détermine sa puissance. Et tous méritent leurs pouvoirs. J'ai été élevée dans cette optique, et c'est de cette façon que je veux élever mes enfants, qu'ils grandissent en considérant sorciers et moldus comme leurs égaux. Qu'ils grandissent dans le respect et la tolérance, comme je l'ai été. Je n'ai jamais compris cette suprématie du sang pur, ces sorciers ne sont en aucun cas supérieurs.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? Il y a quelques années, je vous aurais dit non. Mais les choses ont changé. Car aujourd'hui, j'ai Arthur, Bill, Charlie, Percy, mes jumeaux. Et ça change tout. Absolument tout. Comment je la vis au quotidien ? Comme une mère. J'ai peur. Pour mon mari. Pour mes enfants. Peur qu'il leur arrive quelque chose. Peur de découvrir la marque noire au dessus de mon toit. C'est pour ça que je me suis engagée. Pour les défendre. Pour tenter d'arranger les choses. Pour tout faire pour que mes enfants grandissent dans un monde saint. Heureux. Si je pouvais mourir pour qu'ils vivent dans un climat de paix je le ferai, malheureusement, ce n'est pas aussi simple et il me faut me battre. Ce que je compte bien faire, avec acharnement.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? La nomination de M. Bognold est une bonne chose, c'est une femme de poigne et de talent. Malheureusement, malgré leurs dires, le ministère est bien impuissant face à cette menace. A elle seule, Miss Bognold n'est pas capable de lutter contre le mage noir. Et, travaillant au ministère, je vois bien combien ils sont dépassés par les évènements. Si je leur fais confiance ? Oui et non. Oui car ils ne font pas de mal, mais à eux seuls ils sont incapables deprotéger la population. Et je sais bien que je ne peux compter sur eux pour que ma famille soit à l'abri.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Ce sont des monstres, capables du pire. Je ne peux plus de ce monde où l'on ne peux faire confiance à personne. Où chaque personne que l'on rencontre peut être un mangemort déguisé. Pour moi ils ne sont ni plus ni moins que des être abominables, à éliminer. A enfermer pour ne plus qu'ils nuisent à quiquonque. Quant à ce Voldemort, ce mage noir ... Je le crains, bien évidement. Je les crains tous, ces mages noirs sans pitié. je les crains, mais s'ils essayent de serait-ce que d'approcher Arthur ou les enfants et ils me supplieront de les achever tant je les ferai souffrir. Oh par Merlin je le jure.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? C'est Dumbledore qui est venu nous chercher, Arthur et moi, pour faire partie de l'ordre. A vrai dire, je n'ai pas hésité longtemps avant de rejoindre l'organisation. Je suis incapable de rester en arrière alors que ma famille est en danger. Et de toute façon, je suis incapable de confier l'avenir de mes enfants à quelqu'un d'autre que moi. Attendre que d'autres mettent fin à la situation qui met mes enfants en danger, très peu pour moi. C'est pourquoi je n'ai pu faire autrement que de rejoindre l'ordre. Ce que j'en pense ? Ses membres sont efficaces et motivés. Et, contrairement au ministère, ils n'ont rien à perdre et sont donc plus efficaces. De plus, j'ai trouvé au sein de l'ordre des amis, presque une famille. Sur laquelle je peux m'appuyer. en qui j'ai entièrement confiance.

Une bruyante effervescence règnait sur les quais du Poudlard express. Les premières années stressés se mêlaient aux habitués qui déambulaient avec nonchalance autour de la locomotive. Parmi la foule, une famille de sorciers s'avançait vers le train. Il était facile de voir qu'il s'agissait d'une famille connue dans la communauté magique, nombreux étaient ceux qui leur faisait signe. Le père, grand et brun, arrêta ses enfants devant la porte du train. Contemplant sa fille aînée avec émotion. Molly était la première de la fratrie Prewett à entrer à Poudlard. Nerveuse, la rouquine se tourna vers ses frères. Gideon, le plus jeune semblait très ému de laisser sa grande soeur partir.  « Tu nous enverras des lettres hein ? » « Evidemment Gideon » Fit Molly avec un sourire. Elle resta un instant silencieuse, à observer ses deux frères. Ils allaient lui manquer. Affreusement. « Allez viens là fabian ! » Molly attira son jeune frère dans ses bras. Âgé de huit ans, il avait encore trois ans à attendre avant d'entrer à l'école de sorcellerie. « C'est toi le grand maintenant, veille bien sur Gideon ! » Elle avait un noeud à l'estomac. Mais elle ne pouvais se permettre de craquer. Ils étaient ses jeunes frères et depuis toujours elle s'occupait d'eux comme une mère. Si elle craquait, ce serait une fois dans le train. Seule. « Sois sage mon Gideon. Je te ramènerais un souvenir de Poudlard d'accord ? » Le jeune garçon de six ans hoca la tête, visiblement triste de voir sa grande soeur partir. Prewett père etreignit chaleureusement sa fille, visiblement fier. Avant de la laisser s'avancer vers l'étincelant Poudlard Express. « A bientôt ! » Fit Molly, caressant une dernière fois ses deux frères du regard. Ils allaient lui manquer. Ses frères. Son père. Sa vie. La famille Prewett avait toujours été très unie. Un cocon. Qu'elle devait quitter pour écrire sa propre histoire chez les sorciers. Et elle, Molly Prewett, en avait bien l'intention. Bien qu'elle tentait de faire bonne figure, il était facile de remarquer qu'elle pénétrait pour la première fois dans le train. Emerveillée par le moindre détails, elle passait son temps à regarder à droite à gauche, découvrant pour la première fois les premiers secrets de Poudlard. « Le Poudlard express est beau, mais veux tu bien avancer ? » Molly se retourna brusquement. Réalisant qu'occuper à observer sous toutes ses coutures l'intérieur du train, elle bloquait le passage. « Pardon. » Fit elle à l'adresse du garçon derrière elle. Noir de peau, il avait à peu près son âge et lui adressait un large sourire. « Première année ? » Demanda-t-il. « Ca se voit tant que ça ? » Répondit la rouquine en souriant. « Oui, mais ne t'en fais pas, j'ai passé à peu prêt vingt minutes devant la locomotive, bouche grande ouverte, sans pouvoir bouger. » C'est tous les deux qu'ils s'installèrent dans un compartiment. « Molly Prewett. » « Kinglsey Shacklebolt. » Ce qu'ils ignoraient, c'est que c'était une amitié qui commençait. Réelle. Sincère.



« Par merlin ! Où est ce collier ? » La jeune femme avait hurlé, sa voix se faisant entendre dans tout l'étage. Elle ruminait, parcourant d'un pas lourd les quelques mètres carrés de la pièce. Assis sur un fauteuil, un sourire amusé aux lèvres, Kingsley la suivait du regard. « Ce serait pas le truc brillant sur la coiffeuse ? » Molly grogna avant de se ruer vers le collier, qu'elle saisit et enfila en râlant. Le sourire du jeune homme s'élargit. Il connaissait bien la rouquine et savait bien que sa mauvaise humeur cachait en réalité un stress intense. « C'est quoi ce sourire idiot ? » Lança-t-elle, agressive. Du haut de ses dix-huit ans, vêtue d'une robe blanche simple et élégante, agrémentée de pièces de dentelle, Molly ne ressemblait guère à une mariée. Pourtant, nul mariage n'avait plus de raison d'être que celui-ci. « Tu te marie Molly, tu n'affronte pas un troll enragé. CALME TOI. » « Je suis parfaitement calme. » « Et moi je suis Minerva McGonagall. » Kingsley se leva, se placant derrière Molly. Il posa ses mains sur ses épaules. « Je suis morte de frousse. » Admit-elle. « Il n'y a pas de raisons. Regarde toi Molly, tu es superbe. Et aujourd'hui tu vas épouser Arthur. Par ailleurs ... » Le jeune sorcier marqua une pause, il savait que son amie n'allait pas apprécier la suite de sa phrase. « Par ailleurs, il y a déja ... hum quatre ans, je t'avais dit quelque chose comme. Attends que je réfléchisse. Ah oui, toi et Arthur feriez un beau couple. » Il eu un rire devant le visage ahuri et furieux de la jeune femme. Elle détestait par dessus tout le je te l'avais dit. Pourtant, n'avait-il pas depuis longtemps comprit les sentiments qui animaient Arthur et Molly ? « Je ne réalise pas que je ne vais épouser Arthur. » « Tu sais ... tu n'es pas la seule à ne pas réaliser. Il y a quelques mois nous passions nos ASPICs et aujourd'hui, tu vas épouser Arthur. Une telle précipitation m'a surpris Molly. » Il croisa les bras, lui adressant un regard entendu. « Tu me l'aurais dit quand même si ... » « JE NE SUIS PAS ENCEINTE KINGSLEY. » « Ok Ok. » Répondit le jeune homme en riant. Tu n'es peut-être pas enceinte. Par contre, tu risque d'être en retard à ton mariage ! « Oh par merlin » La jeune femme attrapa un bouquet de fleurs posé sur son lit et quitta la chambre. Les invités attendaient déja, massés dans le jardin de la vielle maison achetée une bouchée de pain par le très jeune couple. Son père l'attendait. Il avait été étonné par ce mariage si précipité, mais qu'importe. Elle aimait Arthur. Et ne voulait pas attendre. Elle lui adressa un sourire, heureuse qu'il soit là pour l'accompagner. Alors qu'il lui prenait le bras et l'entraînait vers Arthur, elle observa les invités. Ses amis de Poudlard étaient là, Franck et Alice, Kinglsey évidemment. Le professeur McGonagall avait également fait le déplacement, ce qui toucha énormément la jeune femme. Elle s'était toujours très bien entendue avec la directrice des gryffondor, dans laquelle elle se reconnaissait énormément. Ses frères, Gideon et Fabian étaient au premier rang. Quand, enfin elle se retrouva face à Arthur, les quelques doutes qu'elle avait encore s'envolèrent. Elle l'aimait. Qu'importe qu'elle sorte à peine de Poudlard, qu'elle ait dix-huit ans. Ils s'aimaient.



Molly avait tout prévu. Absolument tout. Depuis trois jours. Machinalement, elle passa sa main sur son ventre, qui ne dévoilait rien de son secret. Un sourire béat éclaira son visage. Trois jours auparavant, elle avait appris une grande nouvelle. Inquiète de nausées, elle avait consulté un médicomage qui lui avait donné une grande nouvelle. « Vous n'êtes absolument pas malade Madame Weasley. Vous attendez un enfant. » La nouvelle l'avait submergée. De bonheur et d'interrogations. Offrant pour elle une nouvelle voie, une nouvelle possibilité. Pour eux. Ses pensées étaient allées directement vers Arthur. Pas de doutes sur sa réaction. Elle le connaissait suffisamment bien. Car entre eux, tout avait toujours été une évidence. Bien sûr ils avaient eu des hauts, des bas. Des disputes à ne plus pouvoir les compter. Mais ils avaient tenu bon, unis par cet amour qui les avait unis, qui les avait forcé à se marier des leur sortie de Poudlard. Trois jours s'étaient écoulés depuis cette annonce, où elle avait entendu le bon moment pour lui annoncer. Ce n'était pas le genre de nouvelle que l'on annonçait avant de partir au petit déjeuner. Non il fallait le bon moment. Un sourire anima le visage de Molly. Elle avait trouvé le bon. La jeune femme lissa les plis de sa robe de sorcier, avant de sortir une bouteille de whisky pur feu (et de jus de fruit) et deux verres. Comme souvent, Molly et Arthur recevaient quelques amis au terrier - le nom qu'ils avaient donné à cette petite maison, achetée avant leur mariage. Et, comme à chaque fois, avant que les invités n'arrivent, le couple s'accordait un moment à eux. Un verre. Quelques minutes, qui leur appartenait. C'était un moment banal, un instant fugace et sans éclat. Mais qui faisait leur bonheur. Arthur arriva, s'installant face à son épouse. S'emparant de la bouteille de whisky pour en servir deux verres. « Du jus de fruits pour moi Arthur ... » Etonné, le sorcier se tourna vers Molly. « Pourquoi tu ne veux pas de ... » Il se tut. Plongeant ses yeux dans ceux de sa femme. Elle lui adressa un sourire. Comme pour répondre à la question que lui posaient ses yeux. « Oh Molly ... » Il s'approcha d'elle, prenant son visage entre ses mains. Molly lui adressa un large sourire, sincère et empli d'émotions. Ils s'embrassèrent. En douceur. Baiser bonheur et baiser promesse. Baiser Weasley. « Je t'aime. » Ils ne s'étaient pas concertés. Ils se l'étaient dit en même temps. Leurs regards se croisèrent et ils éclatèrent de rire. Complices et unis. Heureux et amoureux. « Tu ne peux pas t'imaginer comme ça me rend heureux. » Murmura Arthur. Molly lui prit la main, son sourire visible greffé à son visage. « Si. Je peux. » Le couple savoura leur bonheur pendant de longues minutes. Jusqu'à ce l'on frappe à la porte. « Allons annoncer ça à nos amis. » Fit Molly en allant ouvrir, ravie de partager son bonheur avec eux. Kingsley était présent, évidement. Le meilleur ami de Molly depuis des années. Puis Franck & Alice, les meilleurs amis d'Arthur. Son jeune frère, Fabian, qui venait tout juste de quitter Poudlard. Ils étaient au complet. Tandis qu'ils commençaient à manger, Arthur et Molly s'échangèrent un regard complice, et le jeune homme s'éclaircit la gorge. Attirant l'attention de l'assemblée. « Pas la peine de tourner autour du pot, nous avons une bonne nouvelle à vous annoncer. Molly et moi allons avoir un bébé. » Sourires qui s'échangent. Félicitations, étreintes et tout le tralala, mais surtout, amitiés sincères, pour un moment merveilleux. Lequel se lisait dans les yeux de Molly, qui brillaient de bonheur.




« Maman, je peux avoir du chocolat ? » « Non mon chéri, on mange dans dix minutes. » Le terrier était, comme tous les soirs, en ébullition. Seule, Molly s'occupait de ses cinq enfants. Elle avait l'habitude, il n'était pas rare qu'Arthur rentre tard. Et la jeune femme gérait sa maisonnée d'une main de maître. D'un coup de baguette, elle nettoya la trace laissée par le pot qui venait de tomber tout en allant séparer Percy et Charlie qui se battaient. C'était un principe qui lui paraissait indispensable. Ne jamais se servir de la magie sur ses enfants. Elle jeta un rapide coup d'oeil à l'horloge. Voila deux heures qu'Arthur aurait du rentrer. Elle soupira. Tentant au maximum de dissimuler l'inquiétude qui la gagnait à ses enfants. Une heure passa. Puis une autre. Et, alors que Molly achevait de coucher ses bambins, la peur lui rongeait le ventre. Elle s'installa à la table de la cuisine, allumant la radio. Priant pour ne pas entendre de mauvaises nouvelles. Elle avait croisé Arthur au ministère l'après midi même, mais si ...? Ellle préféra ne pas y penser. « Une attaque de mangemort prêt de ministère fait trois morts et une dizaine de blessés, moldus et sorciers. » La jeune femme leva la tête. Non. Tout sauf ça. Sa main se serra sur sa baguette. Que pouvait-elle bien faire ? Elle était impuissante. Son coeur rata un battement quand, après ce qui lui paru une éternité, Arthur apparu dans la cheminée, suivi par Kingsley. « ARTHUR ! » Elle se jeta dans ses bras. Sa respiration peinant à retrouver un rythme normal.  « Tout va bien Mollynette. Ne t'en fais pas. » « Que s'est-il passé ? » « Quelques mangemorts ont voulu faire des dêgats, mais ils ont été maîtrisés par les aurors. »  « Merci par Merlin. » Ils restèrent un long moment enlacés, savourant la chance qu'ils avaient d'être tous les deux alors que trois familles étaient brisées ce soir. Trois de plus sur la longue liste de celles que les mages noirs avaient brisés. Molly ne dormait plus, effrayée à l'idée que sa famille soit en danger. Elle se tourna ensuite vers son meilleur ami.  La rouquine se rua vers lui, l'enlaçant presque brutalement. « Doucement Molly, je vais bien. » Il la repoussa avec douceur. « Cela ne peux plus durer. Je n'en peux plus. » Comme si Merlin avait entendu sa plainte, on frappa à leur porte. « Qui cela peut-il bien être ? » Molly sortit sa baguette, la pointant vers la porte tandis qu'Arthur allait ouvrir. Albus Dumbledore, lui même se tenait à la porte. « Professeur Dumbledore ! Que faites vous ici ? » Le directeur attendit qu'ils soient tous installés pour répondre. « Molly, Arthur, ah et Kingsley, parfait. Je suis venu pour vous demander quelque chose. » Les pleurs d'un bébé se firent alors entendre. Molly se leva, revenant avant le petit Fred, qu'elle tenait serré dans ses bras. Albus l'observa avec un sourire. « La situation est délicate, et le ministère n'est plus assez compétent pour gérer la situation, nous devons agir. » « Comment ? » s'écria Molly, qui serrait toujours son fils apaisé contre elle. « J'y viens Molly. Nous devons agir là où le ministère refuse de le faire, et pour cela nous devons nous rassembler. Imaginez, une organisation, des sorciers prêts à se battre, à défendre le monde de cette crise. » Molly se tourna vers Arthur, un seul regard leur suffit pour se comprendre. Elle se tourna ensuite vers son ami de toujours. Un léger sourire éclairait son visage. Il était avec elle, évidemment. Pour le meilleur comme pour le pire. « Nous en sommes. Je veux offrir à mes enfants un monde sans danger. Un monde en paix.  » « Ce sera dangereux. » Fit remarquer le professeur. « Je le sais. Nous le savons. » Oh oui elle le savait, mais si elle devait mourir pour protéger les siens, elle le ferait, et sans une hésitation.

OOOOOOOK, que dire à part que ta fiche est parfaite ? Tu interprêtes Molly à merveille, et y'a des p'tites phrases qui m'ont fait rire, avec la faculté spéciale ou le Kingsley/Molly pour le mariage !   Enfin, bref, j'ai vraiment hâte de te voir en jeeeu !

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.