NOM : Moskosvki, un patronyme de puissance, de magnificence, celui du grand fondateur de Durmstrang. Craint et pourtant admiré, ce nom évoque tout simplement la grandeur et la noblesse de la Russie. Il est l'héritage d'un passé glorieux et sa réputation aujourd'hui n'est plus à refaire. Etre un membre de la famille Moskosvki est un privilège, certainement l'une des plus grandes fiertés d'Esfir. PRÉNOM(S) : Esfir un prénom d'origine russe, choisi par son père bien des années avant sa naissance. Il ne lui a donc pas été attribué au hasard, ce dernier lui remémorant le prénom de sa très chère soeur défunte. Esfir aime son prénom, elle aime sa rareté et son originalité. ASCENDANCE : Indéniablement pur, le mêler serait une chose tout simplement inconcevable, aussi bien pour la jeune femme que pour sa famille. Il leur est déjà bien difficile de le mêler à celui des anglais, tant la valeur du sang est une chose importante pour eux. ÂGE : Trente-trois ans depuis peu, il n'est pas rare d'entendre les sorciers prétendre que le temps n'a aucun impact sur sa beauté. LIEU DE NAISSANCE : Moscou, la grande capitale russe. Bien entendu, sa mère n'a daigné la mettre au monde dans un simple hôpital, c'est donc dans la grande demeure familiale des Moskosvki qu'Esfir a vu le jour. SITUATION SOCIALE : Célibataire. Plus jeune, Esfir a déjà été promise à un sorcier d'une grande famille soviétique, mais ce dernier a été retrouvé mort peu de temps après une révolte menée contre lui et sa famille. Ses parents n'ont après plus jamais arrangé de mariage pour leur fille unique, la laissant ainsi libre de ses choix. Ils ne la connaissent que trop bien pour savoir que jamais elle ne souillera leur nom en s'amourachant d'une vermine. De toute façon, Esfir tient bien trop à son patronyme pour songer à en porter un autre un jour. ANCIENNE MAISON : Esfir a commencé ses études à Durmstrang, où elle y a appris les fondements de la magie noire. De là est partie une vraie passion pour cet art obscur, chose que sa famille pratique avec habileté depuis bien des siècles. Elle y a donc passé 5 longues années avant que sa famille ne déménage en Angleterre. Elle a donc été obligée de changer d'école, passant ainsi de l'excellence de Durmstrang à la "banalité" d'Hogwarts. Sa soif de connaissance et son sérieux dans ses études lui ont valu d'être répartie dans la maison de Serdaigle lors de son arrivée. PROFESSION : Sous-directrice du département des mystères depuis peu, Esfir a enfin réussi à atteindre ses objectifs. Aujourd'hui haut gradée et jouissant d'une certaine autorité au Ministère de la Magie, la belle Moskosvki use et abuse de son pouvoir, le tout avec une discrétion stupéfiante. BAGUETTE : Sa baguette est faite en bois d'épicéa, réputé pour être difficile et produisant des effets flamboyants. Son coeur est composé d'une écaille de sirène, un élément bien rare mais qui semble convenir à une grande partie des membres de sa famille. Elle mesure en tout trente-et-un virgule soixante-quinze centimètres et est très solide. PATRONUS : Elle ne sait pas en produire un, son coeur étant bien trop sombre. C'est pourtant chose qu'elle évite en général de dire afin de ne pas entacher son image de sorcière brillante. De toute façon, elle n'en a pas réellement besoin. MIROIR DU RISED : Elle se voit elle-même, encore plus expérimenté en magie noire et plus dangereuse qu'aujourd'hui. EPOUVANTARD : La chute de sa famille, voir son nom souillé et mis à même niveau que ces vermines de nés-moldus. FACULTE SPECIALE : Occlumens, une faculté qui lui a été appris par sa mère durant ses jeunes années.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? Si le sang a de l'importance pour moi ? Bien entendu, il définit les capacités du sorcier mais c'est également un héritage familiale, un signe de noblesse que chaque sorcier devrait conserver avec fierté. Il m'est inconcevable d'imaginer mélanger un jour mon sang à celui d'un impur, d'une vermine. Il est d'ailleurs temps de remettre ces parasites à leur juste place et de traiter ces traitres à leur sang comme il se doit. Actuellement, nous sommes sur la bonne voie, la grande purge est sur le point de commencer.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? La menace ? Comment pourrais-je la craindre ? Cette menace vient de moi, ainsi que de tous mes compères qui se battent pour avoir un monde plus juste, où chaque sorcier se verrait être remis à sa juste place. Le Dark Lord agit pour une cause qui me semble légitime et tous ces imbéciles qui osent prétendre le contraire ne sont que des ignorants. Alors oui, ils peuvent nous craindre, ils peuvent avoir peur, car nous ne laisserons pas ce monde être souillé par des êtres qui ne méritent pas leur pouvoirs.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? Bagnold est stupide. Stupide de croire qu'elle pourra changer les choses. Alors évidemment, je suis obligée de faire semblant de croire en elle, de croire en ses nouvelles mesures qui ne servent au final à rien. Le fait d'être chef de service du département des mystères me demande une vigilance constante et je suis obligée de feindre une confiance aveugle en le ministère. Bagnold croit pouvoir faire face à la montée en puissance du Seigneur des Ténèbres mais elle est bien loin d'imaginer à quel point elle a tord. Sa politique de tolérance zéro n'aura aucun impact sur nos agissements, nos rangs sont bien trop préparés à d'éventuels interrogatoires. De toute façon, le ministère est déjà bel et bien infiltré.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Étant donné que je suis moi-même une mangemort, je ne peux avoir qu'une image positive de notre organisation. Nous agissons de façon juste, certes de manière violente, mais c'est une chose bien nécessaire pour arriver à nos fins. Toutes les grandes évolutions et révolutions sont passées par la violence, c'est un fait. Je trouve même que certains d'entre nous sont parfois trop cléments envers leurs cibles. Ceci dit, Lord Voldemort sait ce qu'il fait, je ne dirais pas avoir une confiance aveugle en lui mais jusqu'à présent, il ne m'a jamais déçu. Voir son ascension est alors quelque chose de réjouissant.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? Oui et j'ai déjà eu à faire à eux. C'est une bande de petits imbéciles, composés de sangs de bourbes et de traitres. Ils se croient malins à venir nous défier dès qu'ils le peuvent, je dois dire que nous nous livrons une petite guerre sans merci. Leur idéologie me fait doucement rire, je ne sais pas d'où sortent toutes leurs âneries sur une soit-disante égalité entre tous les sorciers mais il ne feront pas long-feu.

Les gouttes de pluie s'écrasaient contre les carreaux de la fenêtre, dans un bruit sourd. A l'extérieur, le parc qui s'étendait sur plusieurs kilomètres était plongé dans un brouillard épais, si dense, qu'il était impossible de voir à plus de quelques mètres. Assise confortablement dans un fauteuil de velours, les jambes croisées, Esfir écoutait, baguette en main, s'amusant à faire flotter son elfe de maison dans les airs. En face d'elle se tenait debout son père et sa mère, les bras croisés, tendit qu'à droite était assis le patriarche de la famille Moskosvki, son grand-père. « Il nous faut partir. » Sous le regard interrogateur de son fils et sa belle-fille, le vieil homme continua. « Il nous faut partir. La communauté magique russe n'est plus ce qu'elle était et l'assassinat des Votiakov en est la preuve formelle. Aujourd'hui, c'est ailleurs que tout se passe. » L'entente du nom de la famille de son ancien fiancé fit sursauter Esfir et dans un moment d'inattention, elle abaissa sa baguette laissant alors retomber son elfe de maison sur le sol dans un vacarme assourdissant. Elle porta son regard vers les sorciers présent et vit le visage de sa mère blanchir. Elle savait ce qu'elle pensait. Ils le savaient tous. « Esfir, fais attention. » lui intima froidement son père. La remarque ne l'atteignit pas. Son regard passait de sa mère à son grand-père, ne cessait de faire des allers-retours. Elle ne souhaitait pas partir, elle ne souhaitait pas quitter sa Russie natale ni cet environnement qui lui était familier. « Vous voulez dire... partir de Russie ? Pour aller où ? Au Royaume-Uni ? » se risqua à demander sa mère, la voix tremblante. Esfir savait ô combien cette dernière redoutait de se retrouver parmi les Britanniques. Se mélanger à des sorciers avec aussi peu de dignité et de bonnes manières était une chose qu'elle ne pouvait concevoir et sa fille ne le savait que trop bien.  « Nous n'avons plus le choix. La situation empire dans ce pays, nous devons nous préparer à de nouvelles révoltes d'ici peu de temps. Je ne souhaiterais pas qu'Esfir devienne la proie de ces vermines destructrices, comme l'a été l'enfant Votiakov. Nous allons donc partir, pour notre bien. » Un silence se fit. Un silence qui en disait long.


Elle avançait d'un pas assuré, la tête haute. Elle sentait tous les regards posés sur elle. Elle savait qu'elle était en ce moment-même l'objet de toutes les attentions, de toutes les conversations et bien entendu, ce n'était pas pour lui déplaire. Car Esfir aimait qu'on la regarde, elle aimait séduire quiconque posait les yeux sur elle. La séduction et la manipulation était un moyen de pouvoir, elle ne l'avait que trop bien appris à Durmstrang. Un petit sourire satisfait s'étirait sur ses fines lèvres, alors qu'elle arrivait presque au bout de la Grande Salle. Devant elle se tenait le fameux professeur Dumbledore, qui attendait que tout les nouveaux arrivants soient bien placés pour l'écouter parler. Esfir avait entendu parler de lui maintes fois, ce grand mage qui avait réussi à vaincre le sombre Grindelwald. Pas très glorieux, lorsque l'on connait la véritable histoire. Ce dernier commença alors à réciter un discours qu'il semblait connaître par coeur, des années d'exercice sans doute. Esfir n'écoutait même pas, trop occupée à scruter les alentours. Hogwarts n'avait pas la prestance de Durmstrang et cela se ressentait jusqu'à l'accoutrement des élèves. Dégoût. Elle n'arrivait toujours pas à croire qu'elle avait été obligée de quitter Durmstrang, l'école de sorcellerie par excellence, l'école que ses propres ancêtres avaient bâti, son école. La jeune sorcière poussa un soupir avant d'entendre le professeur... McGonagall ? - prononcer son nom. Elle s'avança avec grâce vers un petit tabouret en bois qui ne payait pas de mine, sur lequel elle finit par s'asseoir. Lorsqu'elle vit ce vieux Choipeau miteux se poser sur le haut de son crâne, elle ne pu s'empêcher de retenir une grimace de dégoût. La forcer à porter ce chiffon qui avait été posé sur toutes les têtes des sorciers de Grande Bretagne, même durant quelques instants, la répugnait. « Il m'est bien rare de voir de nouvelles têtes ces temps-ci... » chuchota-t-il pour lui-même. « Mokosvki hmm oui je crois déjà avoir entendu parler de ce nom... tu as l'âme d'une véritable Serpentard, l'art d'arriver toujours à tes fins... mais ta soif de connaissance et ton intelligence peuvent faire de toi une parfaite Serdaigle... » « Assez, finissons-en loque. » murmura-t-elle entre ses dents, se retenant d'arracher ce foutu chapeau doté de parole. Il y eu un léger silence, durant lequel ce dernier paru surprise et réfléchit. « Bien, dans ce cas ça sera SERDAIGLE ! » Esfir sentit alors le professeur lui retirer aussitôt le Choipeau et un tonnerre d'applaudissement s'ensuivit. Quelle bande d'idiots. Elle finit par se diriger vers la table qui semblait être la sienne pour s'asseoir à une place libre. Aussitôt fait, une main apparu devant elle. Relevant les yeux vers le propriétaire de cette dernière, elle arqua un sourcil. « Salut, Esfir c'est bien ça ? Moi c'est » il se stoppa net, devant l'air froid que lui lançait la jolie russe. « Je vais éviter de te fatiguer la langue pour rien pauvre idiot. Je n'ai que faire de qui tu es ou pourrait être, tu n'existes pas. Est-ce bien clair ? » Un sourire vainqueur se dessina sur les lèvres de la jeune Mokosvki, devant l'air hébété du jeune homme.


« MOSMORDRE ! » Une lumière verte s'éleva dans les airs et parcouru quelques dizaines de mètres avant d'exploser dans un bruit semblable à plusieurs cris stridents. Et enfin ils la virent tous. Imposante et effrayante, cette marque qui annonçait le début d'un grand changement. Derrière son masque de métal, le visage d'Esfir fut submergée par une émotion intense. Il y avait toujours ce rictus coincé sur ses lèvres et sa respiration était saccadée. L'euphorie prenait le dessus. Elle se sentait vivre avec passion et de nouvelles sensations chatouillaient chaque parcelle de son corps. Ce moment était important et elle n'était pas prête de l'oublier. Elle s'avança alors au milieu de corps inanimés, n'hésitant pas à donner des coups de pieds à ceux qui se trouvaient en travers de sa route. Autour d'elle, les sorciers s'affolaient, couraient dans tous les sens avant de se rendre compte qu'ils n'avaient nul part où aller. La rue était assiégée, ils n'avaient que trop bien planifié leur entrée en scène. Esfir s'en félicita même. « Il ne vous servira à rien de lutter. Nous, mangemorts, sommes ici... pour rétablir l'ordre et l'équilibre des choses. » Elle ricana fasse à la panique qui régnait autour d'elle. Ils avaient réussi leur coup, ce n'était pas à en douter. Lord Voldemort serait fier.

AUTOVALIDATION

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.