NOM : Un simple nom juste le témoin d'un récit historique qui narre le chemin qu'a emprunté une famille de sorciers par le passé, dans le présent et qui le fera dans le futur. Abbot. Un patronyme qui a su se faire une certaine renommée dans l'antérieur, aujourd'hui les Abbot demeurent une famille qui sait affirmer ses positions pour l'équilibre de l'ascendance. Elle le porte avec fierté, sans aucun doute peu importe le passé, ou encore ce qui ne s'est pas encore déroulé. PRÉNOM(S) : L'usure des années n'enlève rien à une appellation, pas même ceux qui ont pu la porter. Bianca. Un prénom qu'elle tient de sa figure maternelle qui ne cessait de lire des histoires de conte de fée dont l'héroïne principale se nommait ainsi. Pour son second prénom - à savoir Madeleine - elle le tient de sa figure maternelle, ni plus ni moins qu'un devoir de mémoire. ASCENDANCE : Peu importe la nature de votre sang, peu importe vos origines il y a du bon et du mauvais partout où vous passerez. Bianca est issue d'une ascendance pure néanmoins. ÂGE : Née un certain trente-et-un octobre, la jeune femme a il y a quelques mois fêté ses vingt années. Un âge encore insouciant pour certains, mais en ce qui la concerne la maturité la guette sans cesse. LIEU DE NAISSANCE : Tout comme certains membres de sa famille, la belle rouquine à vu le jour à la clinique de Sainte Mangouste, à Londres (Grande-Bretagne). SITUATION SOCIALE : Pas encore prête à livrer son cœur encore méfiant, encore accrochée à sa liberté de solitaire, Bianca est actuellement célibataire. ANCIENNE MAISON : Si les membres de cette famille sont pour la plupart passer sous les couleurs des Poufsouffle, la jeune Abbot quand à elle a étudier sous les couleurs de la maison des aigles, celle de Rowena Serdaigle. PROFESSION : Loin de l'activité qui régne au sein des couloirs du Ministère, loin de l'effervescence de l'adrénaline de l'enseignement, c'est néanmoins au cœur du Chemin de Traverse que Bianca à su se trouver un job. Elle travaille en tant qu'apprentie libraire au sein de la librairie qu'est Fleury & Bott.  BAGUETTE : Taillée dans du bois d'érable, la baguette de la jeune femme mesure près de vingt-neuf centimètres et contient un crin de sombral. Légèrement rigides elle possède des prédispositions pour les sortilèges et enchantements.PATRONUS : Signe d'un calme et d'une prudence patient au mouvement, la tortue détient le don de force de l'esprit en dépit des apparences. Porteur de bienveillance, de savoir et de sagesse chez les amérindiens, voilà la forme du dit patronus de Bianca. MIROIR DU RISED : Une vision de bonheur profond ? En ce qui la concerne, sa vision de jovialité reviendrait à retrouver la présence de son meilleur ami à ses cotés. Une réalité impossible, possible mais éphémère dans le reflet d'un miroir. EPOUVANTARD : Sa plus grande peur réside dans un espace petit et confiné dans lequel elle serait enfermée sans aucune chance de pouvoir en sortir FACULTE SPECIALE : Aucune.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? L'univers est à un point où les valeurs parviennent encore à se perdre de nouveau. La jeune sorcière a grandi dans un univers propice à l'ouverture d'esprit. Un esprit qui se doit toujours d'être ouvert et ce peu importe la personne ou encore le monde duquel vous êtes issus. La famille de Bianca a durant plusieurs générations œuvrée pour la pureté d'un sang qui resterait pure. Seulement la rupture du cycle ne s'est guère perpétué. Bianca part du fait qu'il a du bon et du mauvais partout et l'ascendance ne fait aucunement loi là dedans. L'égalité et la mixité est un avenir, une ouverture peut être d'équité. Une notion que très peu de gens partagent mais pour laquelle est elle loin de perdre espoir.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? Vous dire que tout va bien dans le meilleur des mondes serait nier l'évidence. Quand à prétendre que les craintes ne l'effraie pas cela serait tout bonnement mentir. Bianca le vit beaucoup de manière interne, et se livre jamais sur ce qu'elle peut ressentir. Pour ne pas inquiéter ses proches ou encore montrer des faiblesses. Ne pas prendre au sérieux les actions qui se déroule dans le monde des sorciers serait une belle manière de s'en détourner. Pour autant, la rouquine continue de mener une existence en se battant pour ce qu'elle semble juste et sait que dans un futur proche, les choses pourraient dégénérer davantage si personne n'y met pas un terme.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? Les confiances de tout à chacun sont ébranlées, et celle de la jeune sorcière n'en demeure pas moins épargné. La ministre actuelle de la magie et les nouvelles mesures prises par l'ensemble du ministère n'en reste pas moins radicales et manque selon de bons nombres de famille de discernement. Accorder sa confiance au gouvernement magique revient à s'en remettre à une justice en laquelle Bianca ne croit plus réellement. Le nombre d'espion peut être grand et les poignards dans le dos ne prend la forme d'une simple expression mais également d'une action.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Craindre la peur fait de vous un véritable être humain au même titre que l'honnêteté qui reviendrait à dire que Lord Voldemort comme ses serviteurs sont des sorciers imprégnez d'ombres, de cruauté ou encore d'une simple insignifiance pour l'existence humaine. A l'époque - lorsque sa mère lui racontait des histoires sur leurs comptes - Bianca se les représentait comme l'opposé même de la lumière, une image qui prendra une réelle réalité bien des années plus tard. La dernière fois qu'elle a croisé la route d'un Mangemort son meilleur ami a été assassinée. Une vision qui la hante encore, qui anime malgré elle une certaine angoisse, mais alimente malgré tout une combattivité pour le venger. Cette dernière pensée étant maitrisée car elle sait que la colère comme la haine n'apporte jamais rien de bon.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? Une unité ayant un potentiel assez grand pour maintenir une égalité et une ouverture pour un avenir bien meilleur qu'il ne l'est durant cette sombre période. Connaitre l'Ordre du Phoenix ? La plupart des membres de la famille Abbot en fait partie et tout comme eux, Bianca fait partie de ses membres. Bien évidement, il n'est pas toujours facile pour certains de se faire à certaines conditions ou encore de se ranger aux décisions prise par celui qui tiens les rênes de tout cela, mais le but que l'Ordre du phœnix poursuit est sans doute ce qui semble le plus juste pour elle. Et quoi qu'il arrive, il y a toujours des cendres pour faire renaitre et transmettre cette flamme du lutte pour combattre avec espoir et tolérance.

WE USED TO LAUGH AND SOME LIVE IN BETTER ☞ Au loin le vent possède un petit écho, un petit chant matinal qui demeure à la fois chaleureux et jovial. Au loin tu finis par reconnaitre le petit son du colibri qui raisonne avec le carillon du vent. Ce dernier te semble quelque peu frisquet pour cette fin de vacances d’été, et bientôt très bientôt tu rejoindras les rangs des élèves de la grande école de sorcellerie, celle où tes parents ont également fait leurs études respectives. Un mince sourire se dessine sur tes lèvres, laissant tes joues de porcelaine prendre de la couleur. Tu t’avances alors par la fenêtre de ta chambre et tu observes les rayons du soleil qui déjà très haut dans le ciel te procurent une sensation de bien-être et de chaleur. Tu remets l’une des tes mèches rebelles derrière ton oreille lorsque soudainement la voix de ta figure maternelle t’interpelle. Quelques étages plus bas, alors qu’elle doit certainement s’afférer à la cuisine tu t’imagines déjà la délicieuse odeur du pain chaud te chatouiller les narines. Dès lors, l’eau te monte rapidement à la bouche et c’est sur cette gourmande pensée que tu descends les marches de l’escalier pour te rendre à la cuisine où ta mère t’offre un sourire d’une complicité intrinsèque. « Bonjour ma douce, le petit déjeuner est sur la table et ne tarde pas trop le retard pour le train n’est pas vraiment requis le premier jour. ». Sa voix rieuse et taquine se veut attendrissante pour te rassurer alors qu’elle te couve d’une expression emplit d’amour et de sincérité. Tu hoches alors la tête avant de te mettre à table alors que ton meilleur ami  s’avance à son tour dans la cuisine pour t’imiter. Vous échangez un regard emplit d'une complicité que seuls des frères et sœurs pourraient comprendre. Votre lien amical dépasse les limites et les droits de l'ascendance. Vous vous souriez comme des frères et sœurs que vous ne serez jamais par le sang mais uniquement par le cœur. « Alors Bianca prête pour la première rentrée ? Je suis certain que tu finiras chez les Serdaigle tu es beaucoup trop intelligente ! ». Le ton de ton camarade semble ambitieux à ton sujet, mais toi seule c’est que ce vieux bout de chiffon qu’est le Choixpeau est un objet magique bien perspicace et surprenant et que choisir relève d’une analyse bien concise. Tu as beau être jeune et douce tu n’en demeures pas moins très logique et futée lorsqu’on s’y attend le moins. Tu plonges alors la brioche dorée entre tes dents, et tu hausses les épaules alors que ton esprit semble déjà bien lointain. « Peut-être bien, mais ce n’est pas la maison qui m’inquiète tu sais. ». Ta voix cristalline fait prendre conscience à meilleur ami - Angus -  que tu es bien plus forte que le laisse penser les apparences. « Je sais Bianca. ». Il plonge son regard d’ambre dans le tien, alors que ta mère émet un léger rire en vous regardant. Vos pupilles se croisent de nouveau, avant de laisser votre rire se joindre à celle qui t'a tant protéger par le passé et qui le fait encore aux jours d’aujourd’hui. « Angus, tu veux bien aller chercher le père de Bianca il va finir par nous mettre en retard. ». Lui dit-elle en lui ébouriffant légèrement sa tignasse d’un blond de blé déjà en bataille. Angus acquiesce avec une certaine moquerie qui ne t’est pas si étrangère alors qu’il part en direction du jardin. Tu le regardes quitter la maison pour le dehors alors qu’il cherche ton père d'une œillade impatiente, puis sans le voir tu peux déjà sentir l’expression de ta mère qui te toise avec une expression faciale sérieuse et aimante tout à la fois. Elle s’accroupit à ta hauteur, saisit tes petites menottes dans les siennes. « Tu es tellement tolérante et gentille ma chérie, que je ne veux pas que tu oublies ce que tu sais déjà Bianca. ». Tu presses tes deux lèvres en une ligne mince tout en répondant d’un signe positif en guise de réponse. L’intonation de ton interlocutrice est emprunte d’une douceur et d’une volonté extrême que tu as héritée car physiquement tu tiens beaucoup plus de ton père et tu le sais mieux que quiconque car on ne cesse de te le répéter. Tu appuies doucement sur les mains de celle qui t’as portée durant neuf mois, et tu souris avec une vérité débordant de sagesse. « Je ne dois pas oublier qu’en chacun de nous il sommeille un rayon de lumière qui mérite d’être connu. Ne t’inquiète pas maman, je le sais ici et là. ». Lui dis-tu alors en lui montrant respectivement ta poitrine où réside ton cœur et ta tête où se trouve ta pensée. Car dans le fond l’ombre et la lumière se combinent parfaitement pour forger une histoire.

CHASE THE SHADOW OF THE PAST ☞ La brume s’évapore du macadam trempé par une pluie qui s’est abattue sans grande peine sur les pavés du trottoir. Des volutes de fumée qui tourbillonnent en s’élevant vers un ciel cernaient d’une couleur terne, presque noir décrivant de noirs dessins. On ne traine jamais plus dans les ruelles à cette heure, on fait mesure de prudence, de bienveillance. Pourtant tes pas tranchent lourdement sur le trottoir. De grands pas rapides et précis pour une action rapide. Angus te tient la main pour maintenir la cadence de votre rythme de course. Vous étiez bien jeunes, tellement jeune tous les deux et pourtant vos ambitions vous poussez toujours l’avant au contraire de ta rationalité qui ne l’avait arrêté en rien cette fois ci.  Votre unique mission était tout simplement d’effectuer une œuvre de reconnaissance et d’observation. Angus avait été beaucoup trop friand et intrépide sur ce coup-là mais tu n’avais pu te résoudre à le laisser seul. Deux mangemorts étaient à vos trousses, à la fois dur et implacable vous saviez ce qu’ils vous restaient à faire. La meilleure option jusque-là avait été la solution de fuite. Seulement ce dernier ne dure qu’un temps, tout la mélodie d’une boite à musique finit par prendre une fin une fois la boite refermée. Courir à en perdre haleine était une expression mesurée mais la fureur et l’angoisse qui se lisait dans les yeux de ton meilleur ami n’arrêtait en rien sa détermination. Tu étais courageuse, tu l’avais toujours été mais contraire à lui tu n’étais pas le moins du monde téméraire. Assidue et calme, ingénieuse et courageuse mais l’accent de témérité du jeune blondinet vous avez conduit droit dans la gueule du loup. Sachant que vous finiriez par faire face à ces deux ombres de l’existence au service du Seigneurs des Ténèbres, ta main serre un peu plus ta baguette magique, de telle manière que les jointures de ta main blanchissent. « Levicorpus. ». Ta prononciation est limpide mais rapide tandis que vous continuez de courir. Ton sort a eu son effet escompté – certainement un coup de chance te plais-tu à songer – mais il en reste un à votre poursuite. Tu entends encore vos pas de course retentir tel un écho, votre souffle écourté par le manque de prise de respiration. Ta gorge te brule, mais tu étouffes cette douleur pour toujours regarder autour de toi. L’ingéniosité et la ruse étaient des qualités à ne jamais négliger et votre adversaire demeurait bien plus aguerri que vous deux réunis, telle était la réalité. Ses pensées se tarissent nettes lorsque tu sens la main chaude d’Angus serrait davantage ta main, la cadence se ralentit alors. Il n’y a plus de vitesse, plus de matière à courir, juste un mur devant vous au travers d’une ruelle. Vous êtes dans une impasse.  Derechef, tu te retournes pour scruter derrière toi mais un rire typiquement odieux et emplit d’une puissance cruelle et froide s’élève. Tes mains sont moites, tu peux encore sentir cette sensation désagréable alors qu’une sueur froide secoue ton échine dorsale. « Echec et maths, dirons-nous. ». Tu ne pouvais totalement voir le visage du Mangemort. Seulement des boucles d’un noir corbeau peu commun, des pupilles dont le regard ne te serait plus étranger désormais. Angus tend sa baguette devant lui comme tu as pu le faire depuis le début lorsque tu l’as entendu faire résonner son rire. Ce dernier sonnait comme un requiem de minuit pour une mort douloureuse et marqué par l’issu d’un duel dont  elle sortirait vainqueur. Ton compagnon te considère d’une œillade silencieuse – qui en peut en dire long –, un regard dont s’écoule tous les vestiges d’une existence, des souvenirs que vous aviez construit ensemble depuis la cour du bac à sable à aujourd’hui. Voyait-il la fin de sa vie ? Tu ne le saurais jamais. « Endoloris ! ». La Mangemort lance alors sa première attaque mais tu répliques à temps pour lancer le charme du bouclier.  « Portego. ». Un champ de protection t’entoure alors et le sort de ton adversaire s’y répercute. Son rire carnassier retentit alors à nouveau, elle explose à coup de rire à nouveau comme si la démence avait pris possession de son corps. Angus n’a pas bougé d’un pouce, l’attention toujours figé vers votre adversaire. Toute trace d’humanité est perdue pour des personnes comme elle, mais tu sais pourquoi il nourrit autant de haine envers les serviteurs de Seigneur des Ténèbres. Son frère ainé – Adrian – les avait rejoints.  Il ne savait comment, ni dans quelles circonstances mais depuis il c’était promis de le ramener à la raison. La colère d’Angus n’en était que plus forte, attiser par un désir de vengeance envers les opposants de L’Ordre. Ton camarade était attisé par une flamme dépassant sa raison, une raison qui le mènerait à sa perte sans que tu puisses le savoir encore.  Tout semble se dérouler alors au ralenti. Le mouvement de la Mangemort est précis, son sort est alors déterminant, irrévocable. « Avada Kedvra ! ». Le flux de lumière verte qui se dégage de sa baguette se répercute en pleine poitrine, celle d’Angus. Ton cri sort d’entre tes lèvres sans que tu cherches à le masquer, son corps est projeté à quelques mètres plus loin. Le rire de la faucheuse est de nouveau la preuve d’un résultat qui la satisfait. Des larmes salées coulent le long de tes joues, mais la douleur qui assaille ton cœur est alors bien trop grand puisque tu remarques leurs présence. D’autres voix s’élèvent. Des timbres de voix masculines que tu reconnais pour appartenir à des membres réputés de l’Ordre du Phoenix. La Mangemort tu jettes un dernier regard patibulaire, et tu le soutiens jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans un éclat de fumée. Tu suis son mouvement mais ton attention se porte doucement mais certainement vers le corps inerte de ton meilleur ami. Le trou noir, le hurlement, la fin d’un cauchemar que tu refais sans cesse. Tu te redresses tout à trac dans ton lit, en position assise, la main sur le cœur.  Ce dernier tambourine lourdement contre ta poitrine, la souffrance est une douleur que tu ne souhaites à personne, pas cette souffrance là en tout cas. Puis passant une main sur ton front en sueur tu en dégages les quelques mèches se trouvant devant ton visage. Ta respiration est rythmée sur une fréquence bien trop rapide mais tu reprends très vite le contrôle, sachant d’avance que comme toujours que c’est un habituel cauchemar venant troubler tes nuits. Un présent d’un marchant des sables qui attend ta mort à ton tour. Repoussant les couvertures au fond de lit, tu regardes les paumes de tes deux mains. Elles sont intactes, aucunement tachées de sang et chaudes. Tu chasses les pensées qui accablent ta conscience d’un geste négatif de la tête avant de te lever en direction de la fenêtre de ton appartement. Au travers des rideaux d’un bleu azuréen, tu observes l’étendue de la ruelle londonienne qui s’étend devant toi. Seuls les réverbères éclairent la ruelle principale, tandis qu’un vieux vagabond occupe le banc public juste devant l’entrée du parc. Tout est calme, comme habituel pour une heure où minuit est bien dépassé depuis près de trois heures déjà.  Les bras croisés contre ta poitrine, tu laisses tes prunelles verdoyantes s’attarder sur les rayons de lune. Ainsi tout un tourbillon de vestiges antérieurs de ramène à une période bien plus insouciante qui a tendance à te manquer malgré toi. Alors que ton attention se fige à nouveau sur la ruelle, tu remarques la présence d’un homme dont le capuchon d’une couleur ombragée n’a rien d’anodin. Tu fronces les sourcils, curieuse, déterminée mais prudente à la fois. Après tout ce n’est pas la première fois que cette impression de déjà-vu te poursuit. Après tout, tu sais aussi bien que personne que le passé revanchard – ou non d’ailleurs – s’acharne toujours à revenir au pas de course.

Une seule chose à dire: un vrai régal. Le personnage est vraiment très intéressant et ta plume est tout simplement envoutante.

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.