NOM : Avery. Famille galloise de sang pur, celle-ci s'est toujours battue pour sa réputation et pour son sang immaculé. Le père de Nathaniel s'est marié à une sang pure brésilienne d'une famille très haut placée dans son pays, Justina Albuquerque, et a donc donné des racines latines à ses descendants. PRÉNOMS : Nathaniel Lucimar. ASCENDANCE : Sang pur. ÂGE : Trente et un ans, né le 29 janvier 1949. LIEU DE NAISSANCE : Swansea, au Pays de Galles. Sa mère a accouché au manoir familial. SITUATION SOCIALE : Fiancé à Elizabeth Travers, un charmant bouton de rose. Ça n'a pas été son choix, mais il s'accommode bien de la jeune fille. ANCIENNE MAISON : Serpentard. Le Choixpeau a cela dit longuement hésité avec Serdaigle, un choix qui lui aurait également convenu, même si son ambition sied plus aux serpents qu'aux aigles. PROFESSION : Briseur de sorts pour Gringotts. Un métier dangereux et respecté. Il se spécialise dans la réparation et la mise à jour de sortilèges très complexes, en plus de savoir les briser. Si certains font le choix de travailler dans d'autres pays, il est rarement appelé hors du Royaume-Uni, qui regorge déjà de sites hautement protégés et dangereux. Il ne dit cela dit jamais non à une excursion en Égypte pour prêter main forte à des collègues. BAGUETTE : Aubépine, ventricule de cœur de dragon, vingt-six centimètres. Plutôt fine et délicate, elle est tout de même rigide. Elle est idéale pour jeter des sorts puissants, un atout dans son métier, mais se prête bien à l'élégance de son sorcier et donne un style raffiné au moindre Lumos. PATRONUS : Il est incapable d'en produire un. Jadis, c'était une petite chouette au port de tête fier, mais depuis qu'il s'est intéressé à la magie noire et qu'il a rejoint les rangs des Mangemorts, impossible de la faire revenir. MIROIR DU RISED : Sa famille unie, crainte et respectée, menée par lui, vêtu des mêmes habits que Lord Voldemort. EPOUVANTARD : Lui-même, sans pouvoirs. FACULTE SPECIALE : Aucune.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? Nathaniel accorde une grande importance au sang. Élevé dans la tradition de la pureté du sang, il croit tout naturellement à la supériorité du sien sur celui des autres, des misérables impurs et autres aberrations nées-moldues. Son attitude envers la lie de la société se résume cela dit surtout à une indifférence totale. Il ignore ceux qui sont inférieurs, ne leur parle même pas, comme s'ils étaient invisibles. Un mépris souvent plus dommageable que la haine vive qu'il pourrait éprouver. Sa famille a longuement inspiré la crainte, avant de tomber étrangement dans l'estime des autres familles, et ce n'est pas en se penchant sur le cas de la vermine qu'il pourra améliorer cela.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? La menace ? Quelle menace ? Celle d'une guerre ? Il n'est pas menacé. De par son sang pur, Nathaniel est naturellement écarté des problèmes qui pourraient le concerner, et de par son travail, qui l'oblige à voyager régulièrement et qui lui apporte beaucoup de respect de la part de ses camarades, il n'est pas non plus menacé professionnellement. Évidemment, le fait qu'il soit lui-même un Mangemort et qu'il soit donc la menace explique un peu la chose, mais même sans cela, il n'aurait pas peur de la montée de Lord Voldemort et de ses acolytes.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? Des bouffons gouvernés par une bouffonne, voilà ce que c'est ! Il rit bien, quand il apprend des informations venant directement des hautes sphères ministérielles, distillées par les espions des Mangemorts. Ils font ce qu'ils peuvent, les pauvres travailleurs du Ministère, mais allons donc... diriger un pays n'est pas une chose aisée. Et apparemment, ce n'est pas quelque chose que leur bonne Ministre de la Magie sait faire. Il n'a cela dit aucune haine encore Millicent Bagnold, qui est une femme intransigeante et intelligente. Deux qualités redoutables.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? Il vénère le Lord Noir. Il est son maître, son guide, celui qu'il voudrait devenir, littéralement. Comment ne pas être attiré par cet homme qui a su réussir et devenir un si grand mage noir ? Nathaniel ne peut qu'être admiratif de celui qui le mène, il a un immense respect pour lui. Quant à ses camarades Mangemorts, parce qu'il en est un, ses sentiments varient. Certains sont bien trop barbares pour sa personne, et d'autres ont des méthodes qu'il réprouve, mais ils partagent tous les mêmes objectifs, la même passion, et c'est pour cela qu'il est prêt à côtoyer même ceux qui l'agacent.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? Des idéalistes suicidaires, voilà ce qu'ils sont, ces membres de cet ordre ridicule. Comment osent-ils penser qu'ils pourraient être plus puissants que le Lord ? Ils ne sont que du divertissement, pour les Mangemorts, et il éprouve le plus grand mépris pour ces personnages. Si ce n'était qu'une bande d'arriérés au sang impur, il pourrait aisément s'en foutre, mais cet ordre recèle apparemment jusqu'à des sang purs et même, dit-on, Albus Dumbledore lui-même. De quoi attiser sa curiosité : qu'est-ce qui peut bien mener tout ce monde à la folie ?

wales
Le garçonnet était penché par-dessus le berceau et regardait le bébé avec une moue étrangement critique. Son frère venait de naître et la différence d'âge qu'il avait avec celui-ci, huit ans au bas mot, dérangeait beaucoup Nathaniel. Surtout parce qu'il passait, subitement, du statut de fils unique à celui d'aîné d'une fratrie. D'enfant choyé, idolâtré pour tout le futur qu'il représentait, à celui de premier avec un peu moins d'attention. N'était-il pas assez pour ses parents ? Il était un garçon, il comprenait bien tout ce qu'ils lui disaient, et il parlait aussi bien le portugais que Maman et l'anglais que Papa ! Et puis, il allait bien rentrer à Poudlard. Les Avery n'avaient pas besoin de quelqu'un d'autre, c'était tout. « Est-ce qu'on doit vraiment le garder ? » La question, boudeuse, avait été posée à sa mère, debout à ses côtés. Donner son frère, c'était une idée qui lui plaisait vachement. Et encore, il ne savait pas que dans quelques autres années, il aurait en plus une sœur... qu'il penserait aussi à donner. Pas de réponse de la part de Justina, en pâmoison devant le bébé. Nathaniel quitta la pièce en courant et alla s'enfermer dans sa propre chambre, boudant sur son lit. Ils ne comprenaient pas. Quand il serait adulte, il irait vivre avec Madalena et Narciso. Au moins, eux, ils n'étaient pas des bébés qui pleuraient tout le temps.

hogwarts
« Farnsworth, si je te reprends à jeter un sort à Caldwell, je te fais avaler ta baguette. » La voix paisible du préfet de Serpentard s'était élevée, sans même qu'il lève les yeux du livre qu'il était en train de relire et d'annoter avec attention. Le gamin de deuxième année hésita une seconde, avant de cesser d'embêter la fille visée par ses sorts. Nathaniel Avery était quelqu'un de paisible, habituellement, mais il était intransigeant. Impossible de négocier avec lui : l'insigne qui brillait sur sa poitrine, il le prenait mortellement au sérieux. Même avec ceux de sa maison, il ne faisait aucune faveur. Et si ses menaces pouvaient faire sourire, elles n'en étaient pas moins vraies. Ou à tout le moins, elles cachaient réellement quelque chose.
L'adolescent, qui avait déjà son visage mince ombré par une barbe noire, reposa le manuel et frotta ses tempes du bout de ses doigts. Ce BUSE allait le rendre fou. Il était déjà studieux, dans son état normal, il avait déjà des notes plus que parfaites, mais là... c'était réellement important. C'était pour son avenir. Le métier de briseur de sorts lui tait tombé dans l’œil et si son directeur de maison avait semblé quelque peu sceptique en associant la notion d'aventureux à son visage grave, ça n'en était pas moins devenu son objectif. Et il allait l'atteindre coûte que coûte.

brasil
À la table des Albuquerque, les conversations s'enchaînaient sans jamais s'arrêter. Il avait dix-huit ans et pendant l'été, il partait toujours au Brésil pour profiter du beau temps et de la partie qu'il préférait de sa famille. Un moment toujours bienvenu. Sa peau, déjà brune, prenait son hâle le plus foncé et il revenait au Royaume-Uni avec toujours le soleil dans ses bagages. Ses cousins et cousines, tous du même âge que lui, avaient réussi à l'entraîner dans un concours idiot de boisson, se riant un peu du si sérieux Lucimar et de ses préoccupations étudiantes. Il avait passé ses ASPIC il y avait à peine de cela une semaine et il aurait aimé un peu de sympathie, de la part de Madalena, Narciso, Ofelia et Gabriel, mais ça semblait trop demander. Et puis, après bien trop de tequila, lui-même ne voyait pas pourquoi il s'embêtait autant avec les ASPIC et la suite de sa vie professionnelle.
Lui qui ne buvait jamais d'alcool, n'en avait même pas l'âge, se retrouvait déjà bien avancé.
Madalena lui avança une chaise et tapa dessus, accompagnant le geste d'une exclamation forte : « Canta, Lúcio, canta ! »

Et Nathaniel, toujours appelé Lúcio quand il mettait les pieds dans la terre natale de sa mère, s'éclaircit la voix, se mit debout sur la chaise et commença à chanter une chanson paillarde que ses cousines avaient appris en traînant dans les favelas de Rio de Janeiro, faisant éclater celles-ci de rire. Il se rappellerait à peine de ça, le lendemain, et n'en croirait pas les photos prises par ses cousins. Parce qu'il ne se laissait jamais aller, à Poudlard, parce qu'il était irréprochable, toujours le meilleur en tout, jamais prompt à dévoiler quoi que ce soit sur sa personnalité. Nathaniel ne le savait pas, mais il avait toujours été un homme du sud, au sang chaud - et qu'il aurait été un autre s'il avait choisi de vivre ici plutôt qu'au Royaume-Uni, plutôt qu'au Pays de Galles, où la mer était glacée et les hivers durs.

curse-breaker
Première mission à l'étranger depuis qu'il avait débuté son métier de briseur de sorts. En Espagne. Son portugais lui permettait de plus ou moins bien communiquer avec les briseurs de sorts espagnols, qui appréciaient la compagnie de quelqu'un qui comprenait la langue sans sort de traduction. Ils devaient tous travailler sur un site particulièrement épineux qui avait déjà jeté une malédiction sur une panoplie de gobelins, qui en étaient revenus encore plus rabougris. C'était risqué. C'était exactement ce qu'il voulait faire. Sa baguette vibrait dans sa main, anticipant le moment où elle allait devoir agir. Il lui semblait que son cœur battait au même rythme que le sien, que la magie affluait dans son corps. Nathaniel était immobile, une ombre dans la nuit, alors que ses collègues étrangers le dirigeaient vers l'endroit où ils allaient tenter de faire une brèche dans les sorts. Ce ne serait pas lui qui passerait dans l'arche créée, mais il allait devoir réussir à tenir tous les sorts. Plus de six sorts en même temps, que son esprit allait devoir immobiliser, sa baguette soutenir.
Il avait connu plusieurs briseurs de sorts dont la baguette avait cassé, ni plus ni moins, au mauvais moment. Dont la plus fidèle alliée avait été incapable de supporter toute la magie.
Nathaniel embrassa subrepticement le bois lisse, comme pour se souhaiter bonne chance. Une suite de prières portugaises, issues de l'étrange folklore latino-américain, furent murmurées. Tout juste avant que le signal soit donné et que le Serpentard se redresse, bien campé sur ses deux pieds, et que les prières se changent en sorts prononcés fermement, avec puissance, de sa voix basse et roulante. Il était né pour cela. Pour réussir. Pour être le plus fort. Le meilleur.

deatheaters
Les larmes ne coulèrent pas. Et pourtant. Il serrait son bras avec tant de force qu'il s'étonnait presque que celui-ci ne soit pas encore sectionné au coude. Nathaniel ne se rappelait pas du moment où il avait obtenu la Marque - il se souvenait seulement d'un hurlement, son hurlement, alors que la magie, noire et douloureuse, venimeuse, s'insinuait dans son sang, dans sa propre magie, et le marquait. Alors que le Maître voyait tout de son coeur, de son âme, et l'acceptait parmi les siens.
Au sein des Mangemorts, il retrouvait des camarades. Il avait fait ses classes avec Rodolphus et Lucius, avait bien connu Bellatrix et Rabastan également. C'était comme se retrouver en famille. Même si la sienne, de famille, ne savait pas le choix qu'il avait fait - et ne le saurait sûrement jamais. Jamais Nathaniel ne se confiait aux Avery, ne les informait de sa vie, de ce qu'il vivait, et il comptait bien garder ça ainsi, surtout pour les Mangemorts.

Une vois se fit entendre dans son dos. « Il tombera pas, ton bras, Avery. » La voix sarcastique de Rodolphus résonnait et il se força à laisser son avant-bras, qui brûlait encore avec force. C'était bien drôle de se moquer des nouveaux, apparemment, surtout quand celui-ci est le si sérieux et irréprochable Nathaniel Avery.

lovebirds
Il était habitué des repas tous plus longs que les autres, où les convives parlaient et ne se souciaient pas qu'il ne pipe pas mot, mais celui-ci était plus lourd que les autres. Il était assis devant sa fiancée, la jolie Ellie Travers, et les conversations entre la mère de celle-ci et ses propres parents allaient de si bon train qu'ils en semblaient invisibles. Depuis leurs fiançailles, ils s'étaient vus quelques fois, toujours supervisés par leurs géniteurs respectifs. Quelque chose qui l'agaçait sciemment. D'accord, il n'avait pas eu le choix de se fiancer, ni de la fiancée en question (enfin, il aurait facilement pu s'opposer : il était un adulte, après tout, et il y avait longtemps que Cyrus et Justina Avery ne décidaient plus pour lui). Mais pouvait-il, par Merlin, la voir sans être scruté de tous les côtés ? Le repas s'éternisait sur le digestif quand l'homme se leva de table. « Pardonnez-moi. Ellie, voudriez-vous venir marcher à l'extérieur ? Le temps est superbe et je suis certain que vous aimerez la vue que nous avons sur la mer, depuis les côtes près du manoir. » Sa voix basse s'adressait directement à sa fiancée, qui accepta son invitation dans un murmure. Il n'osait pas encore la tutoyer. Ils ne se connaissaient pas.

Nathaniel l'aida à enfiler sa cape, avant de prendre la sienne et de la conduire hors du manoir, laissant leurs parents à leurs exclamations sur la future belle entente qu'ils voyaient se dessiner entre leurs rejetons. Il allait en être malade. L'air était froid, mordant, mais ils marchèrent tout de même en silence jusqu'aux côtes abruptes qui donnaient sur une mer déchaînée, magnifique dans la nuit. Pas besoin de parler, il avait seulement besoin de s'éloigner de ça. Tous deux regardèrent l'océan, laissant seul le bruit des vagues combler le silence entre eux. Jusqu'à ce qu'il le brise, regardant à peine la blonde du coin de l’œil : « J'ai une invitation pour une représentation des Ballets Sorciers d'Angleterre, ce samedi. Si vous voudriez me faire l'honneur d'être celle qui m'y accompagnera... » Et se voir autrement que dans ces ridicules rencontres arrangées où nous sommes chaperonnés par nos parents. Franchement, ce serait génial. Il aurait aimé lui dire qu'il savait que cette situation n'était pas aisée, et qu'il voulait apprendre à la connaître avant que décider quoi que ce soit, mais ce n'était pas lui. Il n'aimait pas parler, encore moins se confier. Sa proposition parlait bien assez pour lui, non ? Ce n'était pas tous les jours que Nathaniel Avery se liait à quelqu'un, ou se prêtait à une activité sociale hors de son cercle habituel. Il attendit quelque peu, puis Ellie accepta son offre timidement. Un vague sourire satisfait flotta sur ses lèvres, pendant une seconde, avant qu'il la regarde et la dévisage de ses yeux noirs. Elle le soutint à peine, avant de détourner ses iris clairs. Ils réussiraient à s'entendre, il en était sûr. Il réussirait à lui montrer le bon chemin. Seulement, il lui faudrait l'apprivoiser. Patiemment. Et la patience était une de ses plus grandes qualités.

autres informations pertinentes.
Nathaniel parle portugais, espagnol, anglais et français. Le portugais et l'anglais sont ses langues maternelles, les deux autres ont été appris pendant ses voyages. Il avoue cependant une préférence pour le portugais, qui chante toujours dans sa bouche. Il apprend actuellement l'allemand et l'arabe, et compte bien un jour se plier au japonais, ou encore au mandarin. ☞ Il a un doux accent gallois, légèrement teinté de celui amusant du Brésil. ☞ Il a une aisance naturelle pour les sortilèges et les maléfices, mais c'est avant tout un intellectuel. ☞ Il aime le théâtre et la musique. ☞ Il est ambidextre. ☞ Bien qu'on pourrait penser qu'il n'a aucun humour, c'est faux : il ne rit seulement pas de tout. ☞ Il a une panoplie de cousins, en Amérique latine, qu'il regrette de ne pas côtoyer plus régulièrement. Vu comme certains sang purs Anglais sont ennuyants comme la pluie, ce serait divertissant ! ☞ Jamais il ne jouerait au Quidditch, mais il a des billets de saison pour tous les matchs des Caerphilly Catapults. ☞ Nathaniel porte des lunettes, pour la lecture. ☞ Il aime le bon whisky. ☞ Il aime la mer, naviguer et est un bon nageur. Il se sent étouffé lorsqu'éloigné trop longtemps de la mer. ☞ Pas amateur de desserts, ni d'alcools sucrés. La dent salée plus que sucrée. ☞ Pas spécialement un homme à femmes (ce n'est pas sérieux, la drague), son charme ténébreux lui a tout de même donné quelques conquêtes, gardées secrètes, et a déçu certaines célibataires lorsque ses fiançailles sont devenus publiques. En tous cas, à en croire la rubrique sur les mariages du Sorcière Hebdo. ☞ Le premier désavantage de la Marque des Ténèbres ? Ne pas pouvoir être torse nu sur les plages du Brésil. Les manches longues, en Angleterre, c'est convenable, mais sinon, c'est encombrant. ☞ Outre 'Avery', et 'Lúcio' exclusivement quand il est dans sa famille maternelle, il n'accepte aucun surnom. Nathaniel, c'est suffisant. ☞ Il sait danser depuis son adolescence. Il a du sang du pays de la samba, à quoi vous attendiez-vous ? Il a appris, au fil des étés à l'étranger. Il n'a que peu d'occasions de le faire, cela dit, et les Anglais ne sont pas très friands des danses moins guindées.

Si t'étais pas déjà casé, je te sauterais dessus Je l'aime bien ce Nathaniel Ta fiche est fluide (je n'ai même pas vu la fin arriver pour tout te dire !) et on comprend/connait l'aîné Avery

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.