NOM : Fletcher. Un patronyme connu dans le monde magique non pas pour sa puissance ou sa lignée de sang-purs mais pour la certaine notoriété qu'il a auprès des autorités magiques. PRÉNOM(S) : Mondingus deuxième du nom. En effet, le jeune homme porte le prénom son père mégalomane à ses heures perdues. Il regrette parfois que sa mère ne trouve jamais le courage nécessaire pour briser le rêve de son mari et trouver un nom original et surtout unique à son fils. ASCENDANCE : Né de deux parents sang-mêlés, Mondingus et donc lui-même de sang-mêlé. ÂGE : Né le 12 avril, Mongingus marche lentement sur ses vingt-quatre ans. LIEU DE NAISSANCE : Il est né à l'hôpital de Sainte-Mangouste. SITUATION SOCIALE : Mondingus est célibataire. Volage, indépendant et fuyant toute forme de responsabilité, le jeune homme n'a jamais s'attacher sincèrement à une femme. ANCIENNE MAISON : Aussi étonnant que cela puisse paraître, Mondingus fut réparti à Gryffondor. Difficile à croire lorsqu'on connaît le jeune homme. Manipulateur, magouilleur et indépendant, il peut parfois faire preuve d'un grand égoïsme. On dit pourtant que le choixpeau ne se trompe jamais. Il se peut donc que derrière cette attitude désinvolte, ses rires gras, ses magouilles en tout genre, Mondingus est un jeune homme entier et loyal. PROFESSION : La voie de Mondingus était déjà toute tracée et ce, dès l'instant où son cri déchirant fendit l'air lorsque ses poumons se remplirent d'air pour la toute première fois. Contrairement à beaucoup de ses petites camarades Mondingus savait ne serait jamais un membre important du Ministère de la Magie, il ne serait pas non plus un écrivain loufoque ou même un prodigieux joueur de Quidditch. Mondingus serait roi des voleurs. Un arnaqueur, un niffleur friand de bonnes affaires. C'est durant sa quatrième année à Poudlard qu'il ouvrit son tout premier commerce. Cigarette, bonbons, alcool, Mondingus se débrouillait pour vendre ce qui était interdit d'être vendu dans l'enceinte de Poudlard. Si sa première clientèle était constituée de ses amis, il finit par étendre son commerce et devint le livreur officiel de tout Poudlard. Vous vouliez quelque chose, Mondingus se débrouillait pour vous le trouver mais le jeune homme s'arrangeait toujours pour sortir vainqueur de son business. En sortant de Poudlard, il essaya malgré ses réticences à trouver un travail. Il finit par débusquer un travail comme serveur au Chaudron Baveur. Lorsque le patron réalisa que la moitié de son stock d'hydromel était vidée non pas par ses clients mais par le serveur lui-même, Mondingus se retrouva à la porte et décida de vivre de ses vols et de son petit commerce uniquement. BAGUETTE : Taillée dans le bois de cornouiller, elle mesure trente-deux centimètres et renferme un ventricule de dragon. Fidèle et souple elle peut parfois se montrer extrêmement bruyante et pétarader d’une manière presque comique et très peu discrète.  PATRONUS : Il prend la forme d'un chimpanzé. MIROIR DU RISED : Si quelques années avant Mondingus pouvait voir son propre reflet entouré de nombreuses pièces d'or, de coupes en argents et autres bibelots qu'il affectionne tant, il y voit maintenant le reflet de sa défunte amie, Faye. EPOUVANTARD : Le corps de Faye inerte sur le sol alors que ses propres mains sont souillées par le sang de son amie. FACULTE SPECIALE : Aucune si ce n'est qu'il a un don tout particulier pour espionner, voler, escroquer, jurer comme un marin d'eau douce, fumer comme un pompier et descendre son verre d'hydromel plus vite que son ombre.

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ?

Mondingus ne porte absolument aucune importance sur la valeur du sang, ayant lui-même des ancêtres nés moldus et moldus il se moque pas mal de la valeur du sang et de toutes ces histoires, il ne comprend d’ailleurs pas comment des théories sur la suprématie des sangs-purs puissent exister.

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ?

Forcément qu'il craint la menace actuelle, Mondingus n'est de loin pas suicidaire et masochiste, il sait que les temps sont sombres et dangereux et il a peur pour sa peau et même pour celle de ses amis. Il s'obstine pourtant à rester décontracté, à ne pas dramatiser, à ne pas paniquer et si les choses deviennent vraiment trop difficiles, il pourra toujours se consoler avec une bonne bouteille d'hydromel ou de whisky pur feu.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ?

Parlez du Ministère de la Magie et Mondingus éclate d'un rire tonitruant. Si le jeune homme n'a jamais réellement aimé certains départements parce que ces derniers semblaient s'intéresser d'un peu trop près à ces magouilles, il fait encore moins confiance à ce dernier par le temps qui courent. Comment savoir s'il n'est pas corrompu ? Comment savoir si il n'est pas tout simplement du côté des Voldemort et de ses sbires ? Mondingus préfère donc rester sur ses gardes.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?

Comme tout être normalement constitué il les craint plus que tous. Ils sont les ennemis, ceux qui les veulent morts, ceux qui rêvent de les attraper pour les torturer. Ce sont eux aussi qui ont tué Faye et qui tuent toujours plus d'innocentes personnes. Mondingus les craint autant qui les hait.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ?

Oui et pour cause, il en fait partie. Il fut contacté par Dumbledore puis incité par sa défunte amie Faye à rejoindre les rangs de l'Ordre. Au début pourtant, Mondingus se montra extrêmement hésitant. Pourquoi quelqu'un comme lui, qui avait toujours été habitué à faire cavalier seul rejoindrait une telle organisation ? Pour se faire tuer ? C'était totalement insensé aux yeux de Mondingus et pourtant, il mit ses doutes et sa fierté de côté et vint agrandir les rangs du Phénix, acceptant finalement de se battre pour une cause qu'il était obligé de reconnaître comme étant juste.

(prologue)« C'est très simple Ding, tu accapares son attention une dizaine de secondes, ça devrait me suffire puis ... » Le petit Mondingus leva les yeux et plongea ses prunelles dans celles de son père. Il n'avait pas grand chose en commun, d'ailleurs en les regardant ainsi en train de se murmurer des paroles que eux seuls parvenaient à entendre il était très difficile d'imaginer que l'homme et le petit garçon étaient père et fils. Mondingus avait tout hérité de sa défunte mère ; les cheveux, le teint de peau ainsi que les petites taches de rousseurs qui foisonnaient sur son visage et même ses yeux. Seule la lueur qui habitait ces derniers lui venait de son père, on pouvait y déceler une certaine malice, une grande dose d'espièglerie et un cynisme qu'il était rare de trouver chez un enfant pas plus haut que trois pommes. Une fois que son père eu fini de lui réexpliquer le plan pour la troisième fois consécutive, Mondingus s'éloigna de celui-ci et se dirigea vers leur cible. Une vieille femme richement vêtue qui prendrait sans nul doute en pitié un petit garçon comme lui. C'est d'un pas joyeux qu'il gambada jusqu'à elle. Au moment où il allait lui adresser la parole, le petit garçon s'autorisa un rapide coup d'oeil derrière son épaule et vit le petit signe de victoire furtif que son père lui destina. S'il l'ignorait encore, Mondingus était malgré son physique la copie conforme de son père, escroc dans l'âme à pas même sept ans.


« Tu peux pas regarder où tu marches ?! » Mondingus releva rapidement la tête, ses yeux croisèrent ceux du jeune Serdaigle qu'il venait de percuter de plein fouet. Rapidement il lâchât quelques paroles d'excuse, un sourire amical un peu trop expressif pour quelqu'un qui tentait simplement de s'excuser de son étourderie et de sa maladresse et poursuivit son chemin. Mondingus n'était pourtant de loin pas un petit garçon maladroit. En cinq secondes exactement, il était parvenu à glisser habilement sa petite main dans la poche de robe du jeune Serdaigle et à s'emparer de ses quelques chocogrenouilles sans que personne ne le remarque, surtout pas l'élève qui s'était fait dépouiller et à s'éloigner le plus naturellement possible. A douze en à peine, le petit homme montrait des aptitudes hors normes pour le vol et le mensonge, il était tellement difficile de remettre les paroles du jeune Gryffondor en doute tant ses bobards étaient convainquant qu'on aurait pu croire que ce talent se trouvait dans ses gênes même, ce qui au final n'était peut-être pas totalement faux. Ceux qui connaissaient son père, Mondingus premier, prenaient parfois un malin plaisir à se moquer de cet homme très peu doué en magie qui était devenu un simple marchand de chaudrons sur le Chemin de Traverse pourtant, personne ne savait que pendant leur tirade ils étaient habillement dépouillé par un petit garçon qui avait tout appris de son père. Pour Mondingus une chose était sûre, son père n'était peut-être pas l'homme le plus brillant ou le plus honnête du monde mais il était certainement l'homme le plus rusé et le plus débrouillard de toute l'Angleterre, pour preuve il avait réussi à lui seul à élever un petit garçon sans l'aide de personne, avec un salaire pour le moins ridicule et surtout, en ayant perdu l'amour de sa vie. Avec un petit soupire de satisfaction, le petit garçon sorti une chocogrenouille de sa propre poche, la déballa avec hâte et croqua dedans tout en inspectant la carte qu'il venait de gagner avec curiosité. Merwyn le Malicieux. Mondingus ne prit même pas la peine de pousser un petit soupire de déception et remit la carte qu'il avait déjà à triple dans sa poche, il reporta toute son attention sur son chocolat, ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait jouir d'un si joli butin et il comptait bien en profiter. « J'ai vu ce que tu as fait. » Le jeune Gryffondor releva les yeux et les posa sur une petite fille de Serdaigle, haute comme trois pommes qui le fixait d'un oeil mauvais. Il mastiqua son chocolat avec une indifférence la plus totale se bornant à fixer la jeune fille. De quoi parlait-elle et d'où sortait-elle ? « On ne t'a jamais dit que c'était mal de voler ? » Mondingus ne put retenir un faible rire de s'échapper de ses lèvres. On lui avait appris à voler, jamais dit que le vol était mal. Son père disait toujours que les personnes qui tenaient de pareil discours refusaient tout simplement de regarder la vérité en face et préféraient se voiler la face avec des théories sur la bonté d'âme plutôt que d'encaisser la dure réalité de la vie. Mondingus n'avait pas tout saisit mais s'était hâté d'hocher la tête de haut en bas aux dires de son père. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles. » Il fit un pas sur la droite pour continuer son chemin mais la jeune fille fit de même. Mondingus poussa un lourd soupire exaspéré. « Et d'ailleurs, c'est accuser quelqu'un sans avoir de preuve qui est mal. » Sans attendre la réponse de la petite fille qui entreprit de s'éloigner d'elle le plus possible avant qu'elle ne gâche son plaisir. « Attends ! » Mondingus poussa un lourd soupire mais la jeune fille continua sur sa lancée. « Je peux en avoir une ? » Surpris, Mondingus glissa sa main dans sa poche, en ressortir une chocogrenouille et la déposa dans la petite paume que lui tendait la fillette. « Au fait, je m'appelle Faye. » La dénommée Faye lui adressa un sourire radieux avant de croquer dans le chocolat. « Mondingus. » Furent les premières paroles que le jeune homme lui adressa sans prendre un ton excédé ou
furieux.



« Sans moi. » Mondingus tourna le dos à la jeune femme, peu enclin à voir la déception dans ses yeux et à se disputer avec elle. Même s'il n'avait pas encore donné sa réponse à Dumbeldore, il avait fait son choix, il ne rejoindrait pas l'Ordre du Phénix, il ne pouvait s'y résoudre. « Ding, réfléchis-y deux secondes. Je sais que tu ne cautionnes pas ce qu'ils font, que tout ça te répugne alors pourquoi refuser de rejoindre l'Ordre ? » Mondingus ferma les yeux et poussa un lourd soupire. Ils avaient déjà eu cette conversation, des centaines de fois et Faye continuait encore et encore d'insister. Elle ne comprenait pas, elle ne comprenait rien. Rejoindre l'Ordre en plus de le tuer pourrait le rendre faible. Son père lui avait toujours appris à faire cavalier seul, à se montrer plus rusé, plus vif et plus malin que tous les autres. Rejoindre l'Ordre c'était s'attacher à des gens qui pouvaient perdre la vie du jour au lendemain, c'était prendre le risque d'être tué. Alors oui, Mondingus n'aimait en rien ce que les Mangemorts prônaient et faisaient mais il tenait aussi à sa vie. Il n'était pas héroïque, il n'était pas brave, il n'était pas courageux. Mondingus était un niffleur, toujours à l'affut de la meilleure affaire, il n'en pensait qu'à lui, uniquement à lui, il avait toujours fonctionné ainsi et tout était toujours très bien allé. Et puis Faye était arrivée, avait chamboulée sa vie, l'ordre des choses. Non. Il ne pouvait pas faire ça, il ne pouvait pas. Un lourd soupire franchit ses lèvres, sa main vint ébouriffer sa tignasse signe qui indiquait qu'il était mal à l'aise -chose plutôt rare en soit- Il se retourna et fit face à une Faye au regard accusateur. « Ne me regarde pas comme ça Faye. On en a déjà parlé. Je suis pas comme toi, je suis pas comme mes camarades Gryffondor, j'ai rien d'un héros, rien. Par une époque pareille, on ne peut compter que sur soi-même. La vie c'est ça d'ailleurs, on naît seul et on crève seul comme des chiens. Et tous ceux qui croient le contraire se voilent la face. » Mondingus s'arrêta un instant, le temps de reprendre ses esprits et de reprendre son souffle. Faye tenta de répliquer mais le jeune homme ne lui laissa pas le temps. « Juge-moi, traite-moi de lâche, c'est peut-être ce que je suis au fond. Faut croire que le Choixpeau a fait une erreur en me répartissant à Gryffondor. » Le coeur au bord des lèvres, le jeune homme se détourna une nouvelle fois de son amie de toujours. Mondingus ne savait pas pourquoi un tel sujet le mettait dans un état pareil et pourtant c'était chaque fois le même scénario. Une lutte acharnée naissait en lui et lui triturait le cerveau, lui le garçon qui avait pour habitude de tout prendre à la rigolade. Et il n'aimait pas ça, il détestait ça. « Ding, je ne voulais pas.. » « Vas-t'en Faye, s'il te plaît. » Son ton était tranchant et sans appel. Il ne la regarda pas s'en aller mais décida de vaquer à ses occupations et de repousser le problème encore et toujours, de fuir les responsabilités comme il l'avait toujours fait en ignorant que trois jours plus tard, il finirait par flancher face à la ténacité du vieux Dumbledore et de son amie et rejoindrait les rangs de l'Ordre du Phénix.


Morte. Une rasade d'alcool. Morte sans qu'il ne puisse rien y faire. Tuée avec sa famille moldue. Une rasade d'alcool. Morte pour ses idéaux. Certain trouvent ça noble, Mondingus trouve ça terriblement stupide, ça l'ecoeur, ça lui retourne le ventre et lui donne envie de vomir ses tripes. Pas elle, pourquoi elle ? Une énième rasade d'alcool. Il ferme les yeux. Peut-être qu'ainsi dans le noir, il parviendra à oublier la réalité, peut-être qu'elle sera toujours là avec lui. Rien n'y fait. Il l'avait prévenu, ils allaient mourir, tous. C'était stupide, purement et simplement stupide. Il était stupide. Il est stupide, alors il prend encore une gorgée d'alcool. Faye est morte. Ces paroles tournent en boucle dans sa tête, tout comme le décor et les parois. Tout tangue dangereusement. Sa vie, ses sentiments, le contenu de son estomac, alors il continue de boire en espérant que tout ça s'effacera un jour. Puis un rire gras franchit ses lèvres. Des conneries, tout ça, c'est des conneries. Tant pis, il boit quand même.


Me? I’m dishonest, and a dishonest man you can always trust to be dishonest. Honestly. It’s the honest ones you want to watch out for, because you can never predict when they’re going to do something incredibly… stupid.
Jeune homme entier, Mondingus n'hésite jamais à dire ce qu'il pense et même ce que tout le monde pense tout bas. Qualifié parfois d'homme quelque peu bourru et maladroit socialement, le jeune homme s'en moque totalement. + Immature, Mondingus est un grand enfant qui refuse de grandir et de faire face à la réalité. Il fuit les responsabilités comme la peste et fait toujours le pitre, il adore rire et est d'ailleurs connu pour son rire sonore et chaleureux. + Quand bien même Mondingus est un jeune homme chaleureux et amical, il n'en reste pas moins un personnage sournois et profiteur. Escroc dans l'âme, il ne peut s'empêcher de toujours avoir une pensée pour ses affaires, ses mornilles et ses fesses en premier. + Il n'est pourtant pas lâche contrairement à ce que beaucoup croient. Mondingus est simplement indépendant et solitaire, il ose le dire, s'il doit sauver sa peau en premier il le fera et peut-être envisagera-t-il de venir vous aider. + Il n'en reste pas moins un très bon élément pour l'Ordre du Phénix, car Mondingus sait tout, entend tout et voit tout. + Mondingus vient d'une famille plutôt pauvre. Sa mère mourut alors qu'il n'avait que cinq ans d'une maladie incurable. Il fut élevé par son père, un homme connu pour ses fraudes, sa lâcheté et sa perfidie. Mondingus porte pourtant un énorme respect à son père qui a réussi à lui offrir une vie descente et qui s'est toujours battu pour son fils. + Il est né et a grandi dans un petit appartement qui donnait sur le Chemin de Travers, non loin de l'allée des embrumes. + Mondingus grandit dans les rues, à voler, écouter, observer. D'ailleurs son anglais n'est pas parfait + Cynique, Mondingus est aussi un personnage plutôt vulgaire qui ne peut pas passer une journée sans jurer comme un marin d'eau douce + Mondingus n'a pas la meilleure hygiène de vie qu'il soit, il adore fumer il trimballe d'ailleurs sa pipe ou ses cigarettes moldues partout avec lui et est très très porté sur la bouteille. + Il lui arrive toujours un tas d'ennuis, en effet Mondingus a le don pour s'attirer toutes sortes de bricoles. + Fouineur et roublard, Mondingus n'a pas un sens moral très développé vous serez prévenus. + Même s'il ne le montre pas, Mondingus a été terriblement -et l'est toujours d'ailleurs - affecté par la mort de Faye. Heureusement, le rhum, son fidèle ami a su répondre à l'appel et l'aida a traverser cette dure épreuve.+ Il n'envisagerait pourtant jamais de tromper les membres de l'Ordre du Phénix et de s'acoquiner avec les Mangemorts contrairement à ce que beaucoup pensent de lui. + Décontracté, Mondingus ne porte pas vraiment d'intérêt à ce que les gens peuvent dire ou penser de lui. Au pire dès cas il se vengera en dérobant la jolie montre à celui qui a osé l'insulté + C'est le champion du sourire narquois, du rire arrogant et du ton doucereux. Si Mondingus est connu pour n'être qu'un ivrogne pas fiable, il en joue beaucoup et n'est de loin pas une personne stupide. Il peut être un allié redoutable s'il se fie au plan de base et ne vous abandonne pas pour récupérer des chaudrons volés qui lui rapporteront une belle petite somme de gallions.

comme il est intéressant ce mondingus je suis fan de son histoire et de comment tu as tourné le personnage le plus haï d'hp (rip alastor ) en un brave type tu feras un très bon mondingus, j'en suis certaine

Congratulations, petit sorcier ! Le staff de PBTB te souhaites la bienvenue et te félicite pour cette validation ! Tu peux désormais te promener partout où veux sur le forum et poster aussi bien dans la partie RP que hors jeu (tu pouvais déjà flooder avant mais c'est cool de savoir que tu peux le faire en toute légalité ), qui est un très bon moyen pour bien s'intégrer. Dans un premier temps, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar si tu ne veux pas créer quelques désagréments avec de futurs membres. Nous te conseillons également de te rendre dans la malle du sorcier, afin de te faire de nouveaux amis (ou ennemis) et de recenser tes sujets RP. Ou tu peux ne pas le faire, être en marge de la société, et t'organiser comme tu veux. C'est ta vie, mon coco. Mais surtout, il te faut impérativement recenser ton patronus et ton métier. Enfin bref, n'hésite pas à passer dans la partie registres magiques pour toutes sortes de demandes farfelues. Nous espérons que tu passeras un agréable moment sur le forum et surtout, n'hésite pas à contacter un membre du staff en cas de question ou de problème. On est toujours là à répondre, dans le pire des cas on vous laisse parler dans le vide Et bien, je pense qu'il est temps de te souhaiter un bon jeu parmi nous ! Et puisse le sort t'être favorable. Merde je me suis trompée de fandom Allez, bon jeu, et reste avec nous until the very end.