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 (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?

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MessageSujet: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:29



éléazar élysée duplessis

tes lèvres en tremblent encore.


NOM : DUPLESSIS ; Au cœur de Nice, il y a ces instants de beauté volée dans cette maison cachée du commun des mortels. A deux pas des sans-pouvoirs, au cœur d'un paradis artificiel, il y a les tiens. Ce nom qui n'a qu'un goût de cendre. Ce nom qui n'est qu'amertume sous tes lèvres, au creux de ton palais. Un frisson d'horreur te parcoure & tu le crache comme un chat sauvage, le poil hérissé par tant d'horreur, tu les hais. Tu les hais tellement. Toi qui aimait cette mère aux cheveux clairs, créature d'un autre temps, d'un autre instant, toi qui chérissait tes sœurs toutes plus divines les unes que les autres. Il n'y a, aujourd'hui, rien d'autre que le meurtre de ton enfance, le dégoût d'une famille. Tu voudrais juste que ton passé s'efface comme le blond enfantin a disparu sous une coloration magique. Tu voudrais juste prendre la fuite. PRÉNOM(S) : ELEAZAR ; Tu te souviens de ta mère qui passait ses doigts dans tes cheveux & qui murmurait, joyeuse, pleine d'amour, « Tu sais, mon ange, tu n'as rien à craindre, tu as l'appui de Dieu. ». Un sourire & elle riait. Un rire clair & cristallin comme des milliers de bonheur. Un sourire triste étire ton visage, aujourd'hui, ta mère n'a jamais été forte avec les prénoms. Elle s'est toujours lourdement gouré. Tu n'as jamais eu l'appui de personne. Tu n'as jamais été soutenu. Si ton prénom vient d'un archange, il ne fait pas de toi ce dernier. Bien au contraire, tu n'es pas un ange, tu es certes enrobé d'une beauté factice dont tu use & abuse, mais tes actes sont loin d'être louable, ni même agréable. Tu n'as rien d'un serviteur de l'éternel. ELYSEE ; Les syllabes roulent sur ta langue, féminine & volatile. C'est un prénom de nana, un prénom de fille ou pas. Plus ambiguë, plus subtil, ta mère aimait à te dire que c'était pour ce paradis en enfer que murmurait les grecs dans leurs sombres légendes.  Toi, tu le penses comme un ultime coup de grâce comme une sombre prophétie qui aurait dû te faire femme comme le soufflait Douce, ta sœur aînée. Tu le prends comme cet ultime coup du sort qui te fait plier et tanguer.  Et pourtant, Elysée fut choisi pour te rappeler que même en enfer, il y avait un paradis. Merlin que tu t'en éloigne.   ASCENDANCE : SANG-MELE ; Descendre de vélane t’indiffère. Tu fais partie de ses rares familles de sang-mêlé plusieurs fois mêlés au sang des vélanes. On plaisante beaucoup en France en disant que les Duplessis aspirent à la beauté véritable, le charme & l'élégance française & que vous ne sauriez choisir d'autres épouses que les amantes de la nature. On dit de vous que vous êtes superficiels & fier que vous avez le feu & la rage de vos ancêtres dans vos yeux. Cas rare & unique, tu es né à demi-veela. Auréolé d'une beauté surhumaine, tu balaye les hommes d'un simple battement de cil, les femmes tombant dans tes bras. Ta beauté est autant un atout qu'une malédiction. Et souvent malgré que ton monde s'incline souvent à tes pieds, tu ne tire qu'un étrange malaise de ton statut d'hybride. Tu sais combien ton sang peut être un fardeau à porter, tu sais combien la beauté a un prix. Et si elle n'est rien comparé aux créatures qui ont balayés ton enfance, elle est là, vive et présente. On ne t'a jamais accusés de cette farce que t'a accordé la génétique, on ne t'en a jamais voulu, mais, la tristesse de ta mère, le désir de ton aînée & la jalousie de ton père sont bien présents & te rappellent qu'il aurait mieux fallut naître banal. Alors doucement, sans détour, tu as compris, tu blâme ton sang pour tes peurs & tes cauchemars. ÂGE : VINGT-DEUX ANS ; Né un deux mars à Nice, il pleuvait sur la cité, les vagues se brisaient sur le récif. Ta mère a toujours eu de la tendresse pour ce deux mars, il lui semble toujours que c'était hier qu'elle a donné naissance à son premier et dernier fils, l'héritier de ton père. Un sourire tendre se glisse sur tes lèvres, au final, tu l'aimes ta mère, même si tu demeure dorénavant loin d'elle. LIEU DE NAISSANCE : NICE, FRANCE ; tu as pour cette ville un amour profond. Le vent ce doux murmure, devenant tour à tour paradis et enfer, a balayé ton enfance, emporté son souvenir vers des terres qui ne lui plaisaient guerre. Tu te souviens avoir couru dans les rues, avoir joué dans le sable. Oh que tu as aimé la France, que tu as aimé Nice la belle. Par Merlin, toute te manque dans cette mère patrie.  SITUATION SOCIALE : CELIBATARD ; un statut qui te va bien. Briseur de cœur, gueule d'ange & fauteur de trouble, tu es ce pour quoi beaucoup de femmes craquent. Et tu te plais à leur accorder un baiser, un sourire, un instant entre tes bras. Tu te plais à être cette ombre passagère dans leur vies, même si beaucoup tente de t'accrocher, de te garder sans y parvenir. Tu es oiseau libre. Mais la vérité c'est que ta beauté se fane, doucement, en douceur, pour être plus sombre, plus orageuse, moins tendre, la vérité c'est que tu cache ton amour pour une autre, pour ce cœur déjà pris, pour la cours que tu ne saurais lui faire. ANCIENNE MAISON : BEAUXBATONS ; dans ce palais des merveilles se cache ton adolescence sulfureuse & délicieuse. En quête de sensations fortes & de désobéissance, tu as fais trembler l'académie magique, tu t'es plu à être sans cesse un fauteur de trouble & l'insolence à l'état brute. L'école n'avait guère d'intérêt à tes yeux, tu haïssais la théorie, mais vénérait la pratique. Piètre élève au cœur de pierre & au regard bleu électrique, tu étais ce que la France a eu de plus douloureux & de plus dérangeant. On t'a mille fois supplier de te ranger, d'être sage, mais allons bon, ta jeunesse est faite pour être consommé & bafoué. Par Merlin, tu en as abusé. PROFESSION : TIREUR D'ELITE AU SERVICE DE LA BRIGADE DE POLICE MAGIQUE ; tu as toujours été bon à ses jeux là. Ses jeux de guerre, ses sorts jetés, l'adrénaline qui pulse sous tes veines, tu aime traquer, tu aime la friction des duels. Tes battements de cœur te leurre, tu te sens à un fil de périr, à une seconde de te faire prendre en traite. Tu es une horreur en théorie, mais en pratique, tu explose, tu es un as de la baguette, un danger permanent & tu t’élève en tant que duelliste brillant et traqueur émérite. Ton travail est toujours à la mesure de tes talents magiques, simple & efficace. Tu as toujours fait parti de ses bons éléments qui font rêver. Aujourd'hui on salue ton courage & ton implication au travail. Volontaire, sans cesse en mouvement, tu ne recule devant rien, absolument rien. BAGUETTE : BOIS DE ???, CHEVEUX DE VELANE, VINGT-HUIT CENTIMETRE ; en construction.  PATRONUS : ALBATROS ; un malaise s'éveille en toi quand l'argent dévoile cet oiseau gauche & laid. Il dévoile ta nature profonde, ta timidité enfouie sous un masque d'assurance, ton mal-être qui se perd  dans ton charme que tu érige en bouclier. L'albatros n'est que ton propre reflet que tu cache avec colère & souffrance.MIROIR DU RISED : ELLE, T'EMBRASSANT ; elle a les yeux clairs, les cheveux mauves, tu l'imagine un peu maladroite, un peu tendre. Elle est belle quand elle détourne les yeux, rougissante, exquise, pleine de malice & de beauté. Elle se mêle à ta vision d'elle à ses neuf ans & elle dorénavant adulte. C'est pour elle, n'est-ce pas ? Ça a toujours été pour elle.  EPOUVANTARD : TOI, LAID ; un peu facile et simpliste, n'est-ce pas ? Pourtant derrière ce toi, défiguré, ta beauté envolé, se cache la peur qu'on te voit tel que tu es, tel que tu ne veux plus être. Derrière cette armure en miette se glace ton cœur d'enfant à l'agonie. Un épouvantard superficiel qui cache bien des blessures & des secrets.  FACULTE SPECIALE : A DEMI-VELAN ; en construction.



☞ Only the dead have seen the end of the war

DONNEZ-VOUS DE L'IMPORTANCE A LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? « Le sang n'est que foutaise. Il ne détermine pas la valeur d'un sorcier, ni son talent magique. Je ne crois pas en la théorie des sang-purs qui s'estiment tout puissant par leur naissance. Pour qui se prennent-ils ? Ils ne sont en aucun cas puissants, ils ne sont rien d'autres que des descendants de sorciers. Et alors ? Ils ne décideront jamais, en aucun cas, pour moi. La vérité c'est que le cri de ma naissance rivalise avec le leur.  Un fils de ne vaut pas un fils de rien. Nous sommes égaux face à l'existence, ce qui nous différencie ce sont nos actes. Hélas, je suis bien déterminé à laisser dire que mes actes valent ceux de ses fils de. Hélas pour eux, je suis bien déterminé à briser leurs idéaux futiles et ridicules. »

CRAIGNEZ-VOUS LA MENACE ACTUELLE ? COMMENT LA VIVEZ-VOUS AU QUOTIDIEN ? votre réponse ici en quelques lignes. Essayez de développer un maximum afin que l'on puisse au mieux comprendre la psychologie de votre personnage.

QUE PENSEZ-VOUS DU MINISTRE ACTUEL AINSI QUE DE SON MINISTERE ? LEUR FAITES-VOUS CONFIANCE ? votre réponse ici en quelques lignes. Essayez de développer un maximum afin que l'on puisse au mieux comprendre la psychologie de votre personnage.

QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DES MANGEMORTS ET DE LORD VOLDEMORT ? LES CRAIGNEZ-VOUS ? votre réponse ici en quelques lignes. Essayez de développer un maximum afin que l'on puisse au mieux comprendre la psychologie de votre personnage.

AVEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DE L'ORDRE DU PHOENIX ? SI OUI, QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE CETTE ORGANISATION ? votre réponse ici en quelques lignes. Essayez de développer un maximum afin que l'on puisse au mieux comprendre la psychologie de votre personnage.




☞ A look in the mirror.

PSEUDO & PRÉNOM: réponse ici. ÂGE: réponse ici. RÉGION: réponse ici. ACTIVITÉ SUR LE FORUM:  /7 jours. PERSONNAGE: prédéfinis, scénario ou inventé. COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI ? réponse ici. UN AVIS SUR LE FORUM ? réponse ici. AVATAR: nom de la célébrité choisie. CREDITS: répondre ici. DERNIER MOT: réponse ici (facultatif).




Dernière édition par Eleazar Duplessis le Mar 11 Mar - 13:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:29



This is how it ends

petite citation sur une ligne




« toi, mon enfant, mon trésor, vois-tu mon coeur noir de remords? »

(NICE, FRANCE, DEMEURE DES DUPLESSIS, ÉTÉ 1963.) Yeux de velours, yeux de biche, elle ne te quitte pas. Douce, tranquille, elle est dans chacun de tes pas, dans chacune de tes expressions. Amante de la nature, princesse d'une beauté invincible, elle est ta mère, ton héroïne. Tu as pour elle un amour infini, qui dépasse toutes les frontières, terrassant des hivers. Petit garçon blond aux yeux clairs, tu n'aspire qu'à regarder cet être, tu n'aspire qu'à lui plaire. Te calant contre sa hanche, elle te fixe. « Tu sais pourtant bien que je n'aime pas quand tu t'éloigne. », te gourmande-t-elle de sa voix douce, tu baisse des yeux, mordillant ton pouce, la honte vient t'assiéger. Honte mêlée à la culpabilité qui s'accroche à toi puissamment, tu sais bien mais tu ne résiste pas. Tout est beau dans votre jardin et pour ton jeune âge, il y a tant à découvrir, tant à apprendre. Tu ne peux que céder à la tentation de plonger tes doigts dans la terre, jouer avec l'essence même de ta nature.

« Mais ze prenais des fleurs pour Zolanne. », tu lui montre un bouquet harmonieux, constitué de jolies violettes pris dans votre jardin, de ta voix d'enfant qui ne veut que plaire. « Jolanne, mon ange, Jolanne », souffle-t-elle de sa voix chantante et cristalline. Ses doigts de fée jouent dans tes cheveux, elle te couvre d'un voile d'amour, déposant dans ton cœur une myriade de sentiments.  Tu n'en saisis qu'un, tu l'aime, tu l'aime plus que bien des choses. Elle remplit de joie ta vie d'enfant, ne te fait que trembler d'insouciance et de bienveillance. « Elles sont très belles. », elle te fait plaisir de ces simples mots. Tu as cinq ans et d'aussi loin que remonte ta mémoire, tu as toujours fréquenté la fillette des Delacour. Tu as pour elle une tendresse douce & délicate. « Tu vas lui donner ? », ajoute-t-elle d'une voix joueuse comme si elle te confiait un précieux secret. Tu rougis, t'éclipse dans un mouvement, tes violettes à la main, courant vers ton amie.

Tu aime tout d'elle. De ses cheveux se colorant de diverses couleurs ou de ses yeux joueurs, tu n'as qu'une hâte c'est de vous retrouvez dans vos amusements innocents. « Zolanne ! Zolanne ! », tes cris sont joyeux, tu parcoures le jardin d'un pas vigoureux. L'herbe te fouette les jambes, le temps est doux, clément, il emporte avec lui le temps. C'était un dimanche, un de ceux qui ravie ton cœur, dont le souvenir te fait sourire douloureusement. Tu n'étais qu'enfance en lui donnant ses fleurs arrachées à la terre. Sans conséquences, tu ne savais pas encore ce qu'était la tristesse, la douleur, l'abandon. Ne connaissant ni la haine, ni la tristesse, tu aimais Jolanne comme on aime quand on est enfant. La bombe n'est pas encore tombée.

~ ~

(NICE, FRANCE, DEMEURE DES DUPLESSIS, AUTOMNE 1964.) « Je suis tellement désolée. », sa voix n'est qu'un murmure dans la nuit, une brise au creux de l'oreille de l'homme aux yeux clairs. Les yeux baissés, les cheveux voilant son beau visage, elle semble un peu fatigué, sans doute lasse. Rouge, ces yeux là ont trop pleurés, ont trop peur. Ce n'est pas sa faute. Elle ne peut pourtant que s'en vouloir. Et ton oreille se colle contre la porte, vilaine curiosité qui te remue. Tu voulais juste un baiser pour te permettre de rêver, pour que tes nuits soient douces, pour que tes ancêtres veillent sur toi. Ceux-là qui s'endorment avec le jour, qui te couvrent tels des myriades d'étoiles posés, effleurant tes pupilles clairs. Pourtant, depuis quelques soirs, tu sais que tout est différent. « Je sais ta déception. », un murmure étouffé par un sanglot. Tu te brise, tu sais sa tristesse, sa douleur. Tu n'ose pas en tracer les contours. Tu sais que sa beauté n'est que le miroir de son cœur en miette, de sa honte qui crevasse tout sur son passage.

« C'est notre enfant. », susurre l'homme paré dans son élégance et dans son charme palpable. Charismatique, il a toujours été ce genre d'homme auquel on ne peut dire non.  Le monde s'inclinait à ses pieds et ses yeux bleus pures se posent sur la belle. « Tu n'as pas à avoir de regrets, ce n'est pas toi. », il lui insuffle la chaleur qui manque à son cœur. Douceur & tendresse se mêlent à ses yeux. Elle relève la tête. Tu comprends. Tout est de ta faute.

~ ~

(NICE, FRANCE, DEMEURE DES DUPLESSIS, PRINTEMPS 1965.) D'un geste cruel, d'un regard, elle avait pris le petit crayon de couleur, t'empêchant de finir ton dessin. L'incompréhension est vive, palpable dans tes yeux. « Tu es un tel monstre, petit frère. », glisse-t-elle de sa voix doucereuse comme une lame enfoncée droit dans ton myocarde. Un rire, elle te brise en milliers de morceaux. Il résonne le long des murs, le long de ce qu'il reste de toi. Il résonne, résonne, se perd, explose dans ta tête, et repart comme si elle te tuait plusieurs fois. Elle est belle, belle de cette beauté sauvage, ancestrale qui coule comme un poison mortel dans ses veines. Elle a les même cheveux blonds, les même yeux clairs que toi. Mais elle n'est pas toi, elle est pire que ça, pire que tout. Tu vois la haine dans son regard, tu comprends sa douleur, elle ne t'a jamais aimé. Tu ne dis rien, tu prends un autre crayon entame les ailes de ton magyar à pointe. Tu te camoufle dans ton silence car rien ne sert de crier, rien ne sert de se battre, elle a raison.

Dans chaque fibre de ton corps, tu sais ta différence, tu sais ton erreur. Tu es né avec cette beauté qui ne t'est pas destiné. Tu es né avec le sang de ta mère qui prend toute la place. Tu comprends bien les regards. Tu as tellement déçu du haut de tes sept ans, personne ne le dit avec les mots, mais les yeux parlent. La honte, le regret, la peur, la culpabilité, tu esquisse ces sentiments sans en apercevoir toute la profondeur, sans comprendre que tu en es l'objet. Tu vis dans cette hypocrisie étouffante, menaçante, tu rêve de partir, de voyages avec Jolanne. Elle, elle ne t'a jamais jugé. Elle joue avec toi sans penser aux conséquences, sans savoir si demain tu seras un monstre.

Sous tes assauts, les ailes prennent une jolie teinte grise, laissant ton cœur s'envoler sous un bonheur intense.  Une pensée te fait sourire, rejetant la méchanceté de ton aînée et tu continue, te prélassant dans l'herbe, coloriant ton œuvre. Tu espère secrètement qu'elle l'aimera, qu'elle comprendra ce que son amitié t'apporte. «  T'as perdu ta langue, morveux ? », lâche l'autre dans un rictus méprisant, tu soupire, l'ignore, ne souhaite pas relever, même si ton crayon te trahit, en ne bougeant plus le temps d'un instant. Pourquoi donc s'acharne-t-elle contre toi ? Qu'as-tu fait ? Le poids de ta naissance t'est suffisamment rappelé pour que tu comprennes. Tu n'as pas mérité sa colère. Ta gorge est nouée, tu as peur d'entendre ta voix trembler si un mot sort. Griffonnant quelques mots sur la feuille blanche, son nom, tu n'ose pas, tu ne sais pas. Hélas, trop tard, elle se penche de toute sa hauteur, lit le mot. Son rire résonne agressif, te coupant la respiration, faisant monter tes larmes aux yeux. Tu es un enfant fragile, maladroit, à fleur de peau depuis que tous savent, se moquent de toi. Être de sensibilité, tu sais que tout se noue en toi, tu ne veux plus voir, tu ne veux plus rien entendre. Elle enfonce pourtant tes dernières défenses. « Tu crois qu'elle va t'aimer avec ça. », sa voix englouti tes derniers espoirs, tu ne fais rien quand elle t'arrache le morceau de papier de tes mains, quand d'un geste, il tombe en miette. Tes yeux écarquillés s'emplissent d'une mer d'eau salée. Tu craque, toute ta vulnérabilité d'enfant se brisant sous le choc. « Tu es si ridicule pauvre idiot de frère. », une dernière agression. Tu n'as jamais voulu ça. Tu n'as jamais souhaité sa haine et pourtant, c'est toi qui la déteste, c'est toi qui ne comprend plus. La colère se déverse pourtant, mêlé au chagrin. La rage se perd, se brise, se grave dans ta mémoire. Tu ne lui pardonneras jamais. « Je te hais ! Je te hais tellement, Douce ! Tu n'es pas ma sœur. ».

~ ~

(NICE, FRANCE, DEMEURE DES DELACOUR, ANNEE 1970.) « Ne me laisse pas tout seul. », un murmure dans la nuit.  Les étoiles dansent, tu la regardes car il n'y a qu'elle dans la pénombre. Ses cheveux se sont colorés d'un mauve morose, tu sais qu'elle est le reflet de tes émotions dans ton éclatante beauté. Tu brille comme un soleil. Tu brille comme une comète qui va rencontrer l’atmosphère. Et ton éclat est teinté de ses sentiments. L'un vers l'autre, vous vous élancez, sans comprendre, sans aucune patience. Tristesse, déni, abandon, vous n'êtes que des enfants qui jouent à être adulte. Tes yeux cherchent les siens. Tu veux, tu espère à une mauvaise plaisanterie. Tu veux juste qu'elle reste. « Ne me laisse pas, Jolanne ! », un cri de désespoir, un cri de haine contre elle, contre son départ.  Pourquoi doivent-ils tous te laisser seul ? Pourquoi s'en vont-ils ? Ceux que tu aime, ceux qui avaient jurés, promis de ne pas te laisser dans les ombres de l'indifférence. Sont-ils donc tous des menteurs ? Tu te détache de ta timidité, de ton mal être, transperce le reste de tes malaises. Tu ne veux pas qu'elle parte. Tu ne veux pas qu'elle te laisse seul.

Elle baisse ses yeux bleus tristes. Tu ne vois pas, tu ne comprends pas & tu as mal. Mal de tout ton cœur d'enfant qui explose & implose dans ta cage thoracique, brûlant sous un feu immonde. Le feu de la rage, de cette peur panique de la solitude dans lequel on te jette, dans lequel on t'oublie. Pauvre sot, tu n'as donc pas encore compris ? On est tous seuls, même à deux. « Je suis désolée. », souffle-t-elle de sa voix d'enfant, de gamine. Tes bras t'en tombent. Être désolé, c'est si simple, tellement stupide.  Mais tu ne peux pas lui en vouloir. Personne ne peut être en colère très longtemps contre ton amie. Tu as la tendresse & l’amitié pour elle. Une de celles qui n'ont que peu de limite et qui sans doute dépasse bien des croyances, bien des espoirs. Elle te laisse pourtant. Mais avant, il y a tes yeux trempés dans la mer, il y a ce vague à l'âme qui s'éveille. Et tel un papillon fragile et conquis, elle pose ses lèvres sur le coin des tiennes avant de reprendre son voyage. Si loin de ton regard, si proche de ton cœur, elle s'envole.

~ ~

Spoiler:



« nous étions jeunes et larges d'épaules. bandits joyeux, insolents et drôles, on attendait que la mort nous frôle. »

Spoiler:

~ ~

(BEAUXBATONS, MAI 1973.) « Eh mec ! », tu redresse légèrement la tête vers la voix masculine de ton ami, clignant légèrement des yeux. «Tout va bien là-dedans ?». Rien ne va jamais. Tu le sais tellement bien. La couleur noir glisse dans l'évier, se mêlant à l'eau. Un soupire. Tu as quinze ans, et ta mère va te tuer. Un sourire fleurit sur tes lèvres. Enfant docile, doux, timide, tu étais passé à cet adolescent fougueux et sans limite, prêt à braver touts les interdits, à écraser cet enfant sous ta rébellion. Un éclair dans tes yeux clairs, tu es ce fauteur de trouble agaçant, trop beau pour être réel. Tu brille d'un éclat mortel, d'un éclat divin, assimilé aux créatures de beauté, on te jalouse, on t'envie, on te déteste. Tu lance à ton reflet une œillade, passant tes doigts dans tes cheveux dorénavant d’ébène. Ta mère va vraiment te tuer. Tu pouffe de rire comme une adolescente, heureux de ta connerie, jeune et insouciant.

« Je te jure que si tu te tape Marie sous la douche, je te bute, mec ! », lance ton meilleur ami, Noah, crachant son humour pour camoufler sa jalousie. Tu sais qu'il n'est pas facile d'être ton ami, tu sais aussi qu'il est difficile de ne pas être intéressé quand on t'approche. Tu attire par tes charmes, tu fais succomber d'une œillade, tu peux tout donner à celui qui est ton pote, même une popularité superficielle. Et tranquillement tu lave tes mains, tandis que le rouquin tambourine, faisant accélérer ton rire. Il est con, pas prise de tête et tu l'aime bien ton pote. «  ELEAZAR ELYSEE DUPLESSIS SORS DE CES TOILETTES. », hurle ton ami. « Maieuh j'ai pas fini de me pomponner pour toi, ma poule. », minaude-tu sur des accents faussement aiguës. « Ta gueule & ramène ton cul de boule à facette, ma petite sorcière de joie. », souffle-t-il, faussement énervé. « J'arrive, mon grand fou à la baguette impressionnante. », tu en rajoute une couche, conscient de le mettre dans l'embarras et jouant avec ses nerfs. « Rawr, viens sexy vé ... », d'un geste tu ouvre la porte, le laissant contempler le fruit de tes expériences matinales. Il blêmit & tout trace d'humour disparaît. « Oh putain mec, ta mère va... », souffle le né-moldu. « Je sais, je sais. », un sourire insolent, petit con insouciant va.

~ ~

Spoiler:

~ ~

en construction



« la tête dans les mains, le regard au loin, on a fait le tour du monde sans être sure de rien. on regarde nos doutes, encore longue est la route. »

~ ~

« Tu n'as pas le droit. », elle est larme, douleur, fêlure. Ses beaux cheveux bruns descendant en cascade sur ses épaules, caressant la forme d'une poitrine tandis que son peignoir baille, dévoilant des formes, des promesses de plaisir, d'amour physique. Elle est belle. Belle malgré ses larmes. Belle malgré sa colère, sa haine. Tu te sais responsable de sa peine, de ses blessures. Tu te sais bourreau brutal, crevure, enflure, véritable salopard de son cœur que tu as écrabouillé entre tes doigts. Tu lui as tout pris. Tu as tout dévoré. Son corps, son cœur, sa raison, elle t'a tout offert dans ses yeux abyssaux. Hier, tu étais son amant, ce prince venu sévir entre ses draps. Aujourd'hui, tandis que le matin englouti la nuit d'un appétit vorace,  tu la bousille. Ton charme s'est tiré, il ne reste que le sorcier sans beauté, vidé de toute substance. Ou bien est-ce cette aura pesante qui s'installe qui est dorénavant source de cette abandon palpable quand tu te rhabille ? Tu ne saurais dire. Elle t'agace quand tu enfile ton pantalon, elle ne t'inspire que dégoût quand la montre se lie à ton poignet. Et tu sais que cette beauté se colle à toi comme une carapace, une ultime armure, incassable, se mouvant contre toi, t'empêchant d'être purement et simplement banal. « Ne me laisse pas ! », crache-t-elle, s'accrochant à ton bras. Tu roules des yeux, soupire. « Nous ne sommes pas des objets,  Eleazar ! Tu ne peux pas nous traiter ainsi ! », ses cris résonnent dans l'appartement londonien, très classe. Tu reste pourtant sourd. Sourd à l'amour, sourd à ses douleurs, concentré sur ta tache, elle n'a été qu'un jouet.

« Tu ne peux pas me quitter. », ses lèvres s'écrasent contre les tiennes. Ce baiser a le goût des guerres perdues, des désillusions, des larmes. Amertume & chagrin se mêlent & s'entrecroisent dans un ballet étrange sous sa langue, dans ses yeux océans. Et d'un mouvement brutal, tu la repousse. Elle sent la mort, la tristesse, le déni. Que croyait-elle ? Ta nature n'est pas faite pour s'amouracher. Ta nature n'est que plaisir, infidélité, jeux de dupe, jeux de fous. On ne tombe pas amoureux dans ton monde.  Toxique, on t'avait bien appris que cette sensation folle et faible pouvait te coûter bien plus que ta belle gueule. Ta raison tel est le prix pour un peu de romantisme, pour un peu de douceur. « On est tous le jouet de quelqu'un », ta langue claque, accusatrice, tes yeux se font cruels, colérique, menaçant de libérer l'oiseau vengeur, l'oiseau voleur en toi. Le froid s'installe, elle s'effondre pauvre poupée de sel & de chiffon, se noyant dans ses pleurs. Elle crie, elle hurle, pauvre chose. Tu n'as qu'un cœur de pierre pour elle. Tu es insensible, tu es un putain de monstre.

Tu te mens en pensant que c'est ton héritage. Tu te mens en ne voyant pas que tu es mourant, que tout se tire, s'alourdit autour de toi. L'éclat qui faisait ta prestance, le charme étouffant s'est perdu alors qu'elle avait neuf ans, dans un baiser d'enfant, dans un sentiment stupide d'inachevé. Elle ne devrait être qu'indifférence dans ta mémoire. La vérité c'est que tu cours après tes souvenirs. La vérité c'est que tu te meurs sans elle. Tout s'est crashé sans elle, tout s'est perdu. Tu es beau, mais d'une beauté laide qui oppresse, aspire la lumière vers toi. Tu rends malade dans tes cheveux sombres, dans tes jeux de séduction. Tu te donne juste envie de vomir. La nausée est saccadée, terrible, c'est ton propre palpitant que tu dégueules. Ta mémoire, tes erreurs ? Foutaises ! Malédiction ! Tu es malade pour une mémoire en miette, un souvenir d'enfance. Tu es juste malade pour une putain d'illusion.

La vérité, vous la voulez ? La vérité c'est qu't'es moche avec ta gueule d'ange, tes yeux trop clairs. La vérité c'est qu'ta beauté, elle, te tue.
Tu es l'instrument de ta destruction quand tu souffle à ce membre de l'Ordre les infos récoltés dans les bras de cette sang-pur. Tu es l'instrument de tes propres erreurs.
En faite, tu as toujours été le jouet de ton hybridité.
Esclave de ton sang.
De ta mère.
De ta sœur.
De tes cauchemars.
Mais surtout de toi.

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Dernière édition par Eleazar Duplessis le Jeu 27 Mar - 19:24, édité 21 fois
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:33

BIENVENUUUE :kya:
même si comparé à Abel tu devrais normalement avoir aucune chance avec Jo, je vais quand même te la laisser parce que Gaspard est juste dsfhreujsfbuejdbsfd :bave: 
bon courage pour ta fiche :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:36

Amour de ma viiiiiiiiie :bril:
Courage pour ta fichette  :bave: :wooh: :happy: :bed: 

P.S - Ohwi, battez-vous  :arrow:


Dernière édition par Jolanne Delacour le Mar 11 Mar - 14:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:40

abel ; merciiii  :héhé:  et que veux-tu ma belle n'aime pas les vieux =>  :smile: :red: 
joe ; ma princesse, mon amour, mon âme soeur  :bave: :bril: :anw: :heart: :cry: merci mon ange, mais pas la peine de se battre, j'ai déjà gagné  :hide: :gaa: :GEU: 
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Ambre Travers

Ambre Travers
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : LYDIA, aka laure.
LETTRES SECRÈTES : 445
AVATAR : willa holland.
ÂGE : dix-neuf ans, née en 1961 lors d'un mois de janvier.
PROFESSION : employée au sein du département de la coopération magique internationale, au ministère de la magie, au bureau international des lois magiques.

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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 13:53

gaspard ulliel.  :gaa: :omfg:
excellent choix d'avatar, je te fais des bébés sur le champ ! muhaha  :hide: 

Bienvenue, & bon courage pour la suite. :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 14:58

gaspard :bril: :bave:
bienvenue sur le forum :omfg:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 19:44

Bienvenue parmi nous ! :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 20:24

bienvenue parmi nous ^^
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMar 11 Mar - 20:28

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !  :bril: 
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Lily Potter

Lily Potter
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : broadsword. (anna)
LETTRES SECRÈTES : 591
AVATAR : myself.
ÂGE : vingt ans.
PROFESSION : médicomage titulaire à l'hôpital ste-mangouste.

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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 12 Mar - 10:01

Je viens de me rendre compte que je n'avais toujours pas posté dans ta fiche :gaa:
Bienvenue encore ! :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 12 Mar - 21:08

gaspard :gaa: :heart: ton choix et puis marina dans ton titre :héhé: :heart:
bienvenue et bonne chance pour ta fiche :bril:
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Naomie Nott

Naomie Nott
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : trouble. (séphora)
LETTRES SECRÈTES : 68
AVATAR : Crystal Reed
ÂGE : VINGT-QUATRE ANS
PROFESSION : Auror

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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyVen 14 Mar - 10:36

je me rend compte que j'étais pas encore passé dans ta fiche  :omfg: 
alors du coup officiellement bienvenuuuuue  :bril: et puis comme je te l'ai déjà dit il nous faudra un super lien qui tue  :kya: 
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Andromeda Tonks

Andromeda Tonks
ORDER OF THE PHOENIX

PSEUDO : inkheart. (ophé)
LETTRES SECRÈTES : 174
AVATAR : meghan ory.
ÂGE : vingt-cinq ans.
PROFESSION : employée au département des jeux et sports magiques.

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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyVen 14 Mar - 12:13

MON DIEU GASPARD ULLIEL  :bril: :applause: :bave: :omg: :heart: :cry: :gaa: :kya: :héhé: :smile: :anw: 
Et puis ton perso il vends grave du rêve de fouuuu  :bril: :bave: 
Bienvenue !!!
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Regulus Black

Regulus Black
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : outlaw queen, so.
LETTRES SECRÈTES : 121
AVATAR : dylan o'brien.
ÂGE : dix-neuf ans.
PROFESSION : aucune, ancien mangemort. fanatique de lord voldemort, il a été l'un de ses plus fervents serviteurs, avant de récemment déserter ses rangs. il est aujourd'hui activement recherché par ces derniers.

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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyVen 14 Mar - 18:42

un demi-velan !  :kya: classieux ça.  :hé: bienvenue !  :anww: 
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyJeu 20 Mar - 20:41

ton délai pour écrire ta fiche est dépassé, nous la déplaçons temporairement. :lol: mais si tu veux récupérer ta fiche et demander un délai, fais nous signe avant les deux jours qui viennent sinon on supprimera ton compte :heart:
de plus, on a oublié de te le dire mais ton don a été accepté.
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyJeu 20 Mar - 21:30

j'attendais justement la validation du don pour pouvoir continuer ma fiche.  :mdr: so, si je pouvais avori un délais ce serait gentil?  :bril:  merci ♥️
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyJeu 20 Mar - 21:38

Tu as eu deux oui alors tu as approbation nécessaire et oui, tu as un délais de 5 jours :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptySam 22 Mar - 1:45

Fan, fan et encore fan  :omfg: 
Bienvenue sur PBTB, j'ai bien hâte de te voir sur le forum!!
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 26 Mar - 20:27

Bonsoir, ton délais est arrivé à son terme. Nous allons déplacer ta fiche, si tu souhaite rester et la terminer tiens nous au courant sinon quoi nous supprimerons ton compte.
Bonne soirée :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 26 Mar - 21:37

merci lucius ♥️
alors oui, bien entendu, remus, je souhaite rester, j'avoue que je suis un peu beaucoup lente pour construire zazar, mais bon, je crois que j'ai un peu de mal à tout gérer  :mdr: mais bon ça va venir, donc please, est-ce que je peux avoir un délais?  :heart: 
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 26 Mar - 21:59

je te donne trois jours en plus :heart:
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? EmptyMer 2 Avr - 18:36

Bonsoir. Ton second délai s'est écoulé, j'archive ta fiche.
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MessageSujet: Re: (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER?   (éléazar) † HOW TO BE A HEARTBREAKER? Empty

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