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 we used to be friends (paige)

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Naomie Nott

Naomie Nott
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : trouble. (séphora)
LETTRES SECRÈTES : 68
AVATAR : Crystal Reed
ÂGE : VINGT-QUATRE ANS
PROFESSION : Auror

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MessageSujet: we used to be friends (paige)   we used to be friends (paige) EmptyDim 11 Mai - 21:25




A LONG TIME AGO, WE USED TO BE FRIENDS.


Je passais une main sur mon visage fatigué et me massais les tempe en m'autorisant quelques secondes de répit. C'était le branle-bat-de-combat dans tout le ministère, tous les Aurors étaient réquisitionner, la sécurité ne cessait de se renforcer, et les derniers incidents n'y étaient pas pour rien. Je n'étais pas la seule à être apparemment au bout du rouleau, mais ce n'était pas le moment de faiblir. Après tout, c'était la guerre. Les mangemorts nous tombaient dessus à dix contre un et nous tuait les uns après les autres. S'ajoutait à ça la peur d'un jour me rendre compte que l'ennemi en face de moi était un ancien ami, ou pire, mon père, mon frère... Je redoutais chaque jour que cette situation se produise, car j'étais sur de ne pas pouvoir la gérer. Comment étais-je censé tuer un membre de ma famille ou un ancien ami ? Même si nous avions prit des chemins différents, je répugnais toujours de donner la mort. Machinalement, j'ouvrais un tiroir de mon bureau et en sortit une petit boite où était rangé quelques photos, quelques souvenirs, ceux que j'avais prit soin d'emporter avant de m'enfuir du manoir familial des Nott au beau milieu de la nuit il y à de ça déjà plusieurs années. Je pris la première photo et mon regard se figea. Il y avait bien longtemps que je n'avais plus pensé à Paige Bulstrode. C'était pourtant bien elle, à mes côtés, sur cette photo un peu jaunie. Nous ne devions pas avoir plus de dix ans, à l'époque, nous étions encore inséparable. Rien ne laissait imaginer ce qui se produirait des années plus tard. Avec un sourire un peu amère, je rangeais la photo et la boite dans le tiroir d'où elle n'aurait jamais du sortir. Je n'aimais pas pensé au passé, c'était douloureux. J'avais fait un choix, longuement réfléchis, que j'assumais aujourd'hui pleinement, et je referais la même chose si l'occasion m'en était donné. Mais j'avais trahi mes amis, ma famille, les seules personnes dont j'étais sûre qu'il m'aimerait toujours. Pour une cause qui n'était pas la leur, je leur avait tourné le dos. Ma famille m'avait renié, et la plupart de mes anciens amis  me vouaient une haine sans limite. J'aurais tant souhaité que les choses soient plus simple, j'aurais aimé ne pas avoir à choisi. Mais nous étions en guerre. Ils avaient choisis leur camps et j'avais choisis le mien. C'était ce qui nous avait séparé, Paige et moi. Nous nous étions pourtant toujours battu côté à côte, contre vents et marée, toujours l'une avec l'autre, dans les moments de joie, comme dans les coups durs. Il semblait, à l'époque, impensable que l'une laisse tomber l'autre. Nous faisions les bêtises ensembles et les assumions ensemble. Puis la vie à finit par nous opposer. Les petites disputes d'adolescente sont devenus plus fréquente. Nous nous réconcilions vite, mais pourtant, peu à peu, elles étaient plus graves. Jusqu'au jour où j'ai clairement affiché mon camps. J'avais pourtant déjà perdu Paige il y à bien des années quand je lui avais dit que je voulais devenir Auror. J'aurais du le voir arriver. J'avais été envoyé à Serdaigle, un an plus tard, le Choipeau l'avait envoyé à Serpentard. C'était très révélateur, mais sur le moment, nos maison n'avait aucune importance. Nos choix nous ont séparés définitivement. J'ai préféré tourner le dos aux miens plutôt que de rejoindre les mangemorts. Paige n'a jamais remit en question les préceptes de nos parents. On frappa à la porte de mon bureau ce qui eu pour effet immédiat de me faire revenir à la réalité. Mon bureau au ministère semblait s'être transformé en lieu de passage dpeuis quelques jours. La plupart de mes ordres de mission avaient chnagé. Fawkes passa la tête par l’entrebâillement de la porte. C'est l'heure de la patrouille Nao... Je hochais la tête et le suivit, me contentant de répondre par un sourire à son regard inquiet. Exceptionellement, j'étais envoyé en patrouille sur le chemin de Traverse, qui semblait devenir au fil des semaines un lieu montant de la violence dans le monde des sorciers.

Chemin de Traverse. Il faisait déjà sombre dans la rue autrefois joyeuse et animés. La plupart des clients faisaient leurs derniers achats sans traîner avant de regagner la sécurité relatives de leur logis. Il n'était pas prudent de s'attarder dehors en ce moment. Le souvenir du chemin de Traverse lorsque j'étais enfant et l'ambiance lugubre qui y régnait aujourd'hui était passablement déprimant. Je resserrais mes doigts sur ma baguette magique dans les poches de ma robe de sorcière. Je n'avais jamais aimé les patrouilles, je préférais enquêter, traquer et livrer à la justices les mages noirs. Les patrouilles me donnaient l'impression d'être parfaitement à découvert. Fawkes me laissa seule une fois au croisement, son itinéraire était l'allé des embrumes, et je n'enviais pas sa place. Je continuais la route mon regard calculateur se posant partout autour de moi, ne négligeant pas le moindre détail. Les mangemorts faisait régner la terreur dans le monde magique. Ce matin encore, on avait retrouvé les corps sans vie de eux gamins, ce double meurtre portait indubitablement la marque d'un loup garou, la marque des ténèbres flottait au dessus d'eux. A la seule pensée de cette terrible scène, mon visage se durcit. Nous devions arrêter ça. Une sorcière sortit alors d'une boutique sans faire particulièrement attention et nous n'évitions la collision que de justesse. Je levais les yeux vers elle pour lui sourire, mais mon sourire se figea et je me sentit pâlir. J'aurais reconnu ce visage entre mille, même s'il y à bien longtemps que je ne l'avais plus revu. Paige... Le grand que nous echangeames n'avait plus rien de rieur, au contraire, il était dur, froid comme l'acier, travaillé par la rancœur, la colère, et le sentiment d'abandon et de trahison que nous ressentions. Ce n'est pas prudent de se promener seule en ce moment. Je pris conscience, pour la première fois, de toute la colère que je ressentais contre Paige. Elle avait été mon amie, elle aurait du me soutenir, elle n'aurait pas du me tourner le dos. Elle n'avait pas le droit de me détester. Pas à cause de mes choix ou de mes opinions, elle savait ce que signifiait avoir une famille comme la notre, elle aurait du comprendre. On pourrait même penser que tu prépare un mauvais coup. Dis-je d'une voix froide, sans timbre. Croiser son regard avait fait céder une barrière en moi et je sentais un flot de colère froide se déverser dans mes veines.


Dernière édition par Naomie Nott le Lun 26 Aoû - 11:23, édité 1 fois
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Paige Bulstrode

Paige Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : Bad Wolf Bay / Aude
LETTRES SECRÈTES : 157
AVATAR : Shelley Hennig
ÂGE : 23 ans
PROFESSION : Vendeuse chez Fleury & Bott

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MessageSujet: Re: we used to be friends (paige)   we used to be friends (paige) EmptyMer 14 Mai - 21:12


Naomie ∞ Paige
Soyez proche de vos amis, et dans le dos de vos ennemis.
Un sourire échangé, des envolés pour souhaiter la bonne journée. C'était la danse du quotidien à la boutique Fleury & Bott. Les livres et les employés virevoltaient au rythme des allés et venus des clients. Même si les populations avaient tendance à devenir plus dense vers la rentrée, la boutique recevait toujours du monde hors de cette période. A croire qu'il y a plus de rat de bibliothèque que ce que je pensais. Enfin bref, la journée idéale, d'une banalité affligeante. Mais cette routine ne m'avait jamais posé grand soucis, j'avais même tendance à l'apprécier, la trouver presque reposante. C'était probablement l'effet presque magiques que les livres avait sur moi. Les écrits avaient été pendant longtemps mes seuls amis. Ils avaient formé les fondations de mon petit monde intérieur, celui dans lequel je m'étais protégée. A croire qu'aujourd'hui encore les livres avaient le pouvoir m'enfermer dans une bulle coupée de la réalité. Pourtant je n'avais pas été solitaire, plutôt même bien entourée. J'avais pu avoir des amis parmi les enfants des sorciers de sang-pur. Mais qui dit amitié, dit trahison, l'un était arrivé avec l'autre. J'avais appris à mes dépends qu'on ne pouvait faire confiance à personne, même ses amis.... surtout à ses amis. Il y avait de ces erreurs dans notre passé qui laissaient des traces indélébiles. Pour ma part, mon corps était marqué de plusieurs stigmates. Cicatrices, contusions, ecchymoses. Tant de marques qui se symbolisaient par un tatouage valsant sur mon avant-bras gauche. La marque des ténèbres. Quand mes doigts frôlaient ma peau noircie, je ne sentais que le froid glacial.

Paige, tu peux partir, je m'occupes de la fermeture de la boutique. Je souris et attrapa mon sac à la volée. Je saluais ma généreuse collègue. Ça tombait bien, je devais faire un saut à la boutique de Madame Guipure. Je devais récupérer ma nouvelle cape qu'elle devait retoucher pour qu'elle soit adaptée à ma taille. C'était le désavantage d'être un brin plus petite que la moyenne. Quelques retouches au niveau de la longueur, des manches, rien de très original. Rapidement j'étais allé cherché ma commande. J'en profitais pour échanger quelques paroles avec Madame Guipure. Il fallait dire que je lui confiais souvent des retouches, pour mes robes de soirées, toutes mes tenues quoi. Au final, nous étions des connaissances, on parlait du beau temps, des dernières nouvelles, je faisais semblant de m'attrister sur les dernières morts. Il fallait bien que je joue la comédie quand même. Le quotidien me permettait d'avoir un alibi. Personne ne soupçonnerait ma véritable identité, mon véritable rôle au sein de la cause du Lord. Personne ne pourrait accuser la jeune femme qui venait discuter avec le sourire, personne n'oserait douter de la vendeuse agréable qu'ils voyaient tous les jours. C'était ça la beauté, sous les longues manches, personnes ne verrait le sceau du malin ancrée au plus profond de ma chair. Tout était parfait. Brillant. Les dernières paroles échangées, je saluais Madame Guipure, ma robe bien rangée sous mon bras.

Je sortais sans vraiment faire attention. Je me retournais à la dernière minutes. Par chance les deux sorciers évitèrent la collision. Ils avaient plus de réflexe que moi. Par automatisme et politesse, je m'excusais de ma maladresse. Mais en voyant le visage de la sorcière, mes excuses s'arrêtèrent brutalement. Mon sourire de façade commença doucement à se voiler, s’effacer. Naomie Nott. Nott, un nom de famille qui était plutôt connue. Cette famille de sang-purs qui avaient fréquentée la mienne. Naomie, une sorcière qui était mon aînée d'un an à peine. Nous avions passée notre enfance ensembles, comme des amies. Ma meilleure amie. A l'époque nous étions reliées par les paroles de nos parents, nos doux principes sur la suprématie du sang. Mais il arriva un jour où nos chemins divergèrent. A croire que les imbécillités arrivaient à s'insinuer partout, même dans la tête des nôtres. Nous n'avions plus les mêmes valeurs Naomie et moi. Naomie, répondis-je après que ma chère ancienne amie m'est parlé. Je la regardais sans afficher la moindre émotion. Mon visage dégageait un air froid, hautain. Bien sûr qu'il était tard, mais les rues n'étaient en aucun cas dangereuses. Il n'y avait que les imbéciles pour trembler dans leurs chaumières. Mais moi je n'avais pas peur, je ne frémissais pas, l'avantage de se vouer corps et âme au Lord. Mais il fallait jouer la comédie, ne pas me compromettre. Sinon, c'était direction Azkaban. Je sifflai quand elle annonça que j'étais peut-être en train de préparer un mauvais coup. Définitivement, la paranoïa régnait chez les sots. Je finis par pousser un long soupir. Allons bon Naomie. Tu sais bien que je n'ai jamais été dans les mauvais coups. Depuis le temps, tu devrais le savoir, j'affichais un léger sourire, une façade. Une façade qui ne servait qu'à cacher ce qui était au fond de mon être. Les sentiments... hein ? A cet instant je bouillonnai. Mais j'avais toujours eu le contrôle de moi-même, c'était ça être une Bulstrode. Porter ce nom voulait dire qu'on savait se tenir en société, ne jamais déraper. Ainsi je préférais garder ma rancœur en moi plutôt que de la cracher au visage de celle qui m'avait trahie, qui avait trahie notre cause. En fait je sors de chez Madame Guipure, une petite retouche. Et on adore discuter, des vraies pipelettes. Traîtresse. Pétasse. Tu souffres hein ? C'est de sa faute. Non la ferme toi, je n'avais pas besoin de toi. Il fallait que cette voix me laisse, je gérais ma situation. Je finis par croiser les bras sur ma poitrine et je lançai un regard sérieux à mon ancienne amie. Je ne savais pas que la paranoïa était le maître mot des aurors. J'observai Naomie de haut en bas, depuis notre sortie de l'école, nous n'étions pas vraiment pas vu. Aperçus de temps à autres peut-être, mais jamais nous n'avions échangé des paroles. Mais sa présence ici n'annonçait rien de bons. Les aurors fouinaient beaucoup trop et Naomie connaissait l'idéologie de ma famille. Elle allait finit par m'accuser. Bref je sentais que la situation allait dégénérer, je devais faire attention, prendre des pincettes. Autre chose à me dire où tu préfères m'accuser de tous les maux de cette planète Nott ? Je sifflai les paroles, froide, distante. Clairement, il n'y a avait la once d'amitié entre moi et elle. Je sentais la rage en moi, elle hurlait. Le sang pulsait dans la moindre parcelle de mon corps, jusque dans mes tempes. Je finis par serrer mon poing, je devais rester calme. Je devais rester maître de moi. Mais ce n'était pas l'envie de la frapper qui me manquait.
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Naomie Nott

Naomie Nott
COLLATERAL DAMAGE

PSEUDO : trouble. (séphora)
LETTRES SECRÈTES : 68
AVATAR : Crystal Reed
ÂGE : VINGT-QUATRE ANS
PROFESSION : Auror

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MessageSujet: Re: we used to be friends (paige)   we used to be friends (paige) EmptyMar 24 Juin - 21:37

Quand j'avais tourné le dos à la cause que défendait ma famille, j'avais agit par instinct, j'étais partis plus précipitamment que je ne l'aurais voulu. Mais il y avait déjà des années que cette idée me trottait dans la tête. Je n'avais simplement jamais eu le courage de prendre réellement la décision. Puis l'élément déclencheur avait été la décision de mes parents de me faire rejoindre le rang des mangemorts, sans trop le laisser le choix, dans une tentative désespérer de redorer mon nom, de ne plus avoir une traître pour benjamine. Alors j'étais partis. En pleine nuit, j'avais claqué la porte, passé la grille et transplanné sans attendre en voyant la porte d'entrée s'ouvrir à la volée, ma famille déjà à ma recherche. J'avais ainsi tiré un trait définitif sur toute une partie de ma vie, sur ma famille, sur mes amis, et sur la sécurité relative qui avait été la mienne jusqu'alors, protégée par mon nom et par mon père. J'avais également définitivement tourné le dos à Paige, et elle n'avait jamais pu pardonné ma trahison. Et moi je n'avais jamais pu partager la sienne. Paige aurait du comprendre mon choix. Je ne réclamais que la liberté qui me revenait de droit, je voulais faire mes propres choix, je ne voulais pas être une marionnette entre les mains d'autres sorciers qui agissaient pour une cause en laquelle je ne croyais même pas. Je ne voulais pas épouser un homme que je n'avais pas choisis. Ne pouvait-elle pas comprendre ça ? Elle prononça mon nom pour seule salutation, d'une voix froide et tranchante. Je lui rendis son regard froid et me contentais de me tenir devant elle, droite comme un I. Je savais qui était Paige, je connaissais sa famille, je connaissais ses conviction set je savais qu'elle était allé grossir les rangs des mangemorts. Tout comme je savais que c'était le cas pour la plupart des membres de ma famille. Pourtant je n'avais jamais rien dit. Je ne dénoncerais aucun de mes anciens amis pas plus que je ne dénoncerais ma famille. De toute façon, si j’émettais l'idée que qui que se soit puisse être un mangemort en dehors d'une enquête officielle, il faudrait que je justifie, et alors tous le monde penserait avec raison que puisque je connaissais un nom, j'ai connaissais forcément d'autres. Et de toute façon certains d'entre eux étaient des membres d'éminentes familles, je ne pouvais pas simplement les dénoncer comme mangemorts.

Allons bon Naomie. Tu sais bien que je n'ai jamais été dans les mauvais coups. Depuis le temps, tu devrais le savoir. J'eu un demi sourire un peu méprisant. Bien entendu, tu t'en sors toujours très bien, un vrai caméléon. Dis-je d'un ton neutre. Paige et moi nous nous ressemblions plus que nous ne voulions bien l'admettre. Nous maîtrisions toutes les deux à la perfection l'art des faux semblants. Le paraître était important pour rester en vie dans nos milieux. Je ne savais pas que la paranoïa était le maître mot des aurors. Bon voyons. Paige Bulstrode pensait-elle vraiment pouvoir jouer à ce jeux là avec moi ? La petite soeur de Benedicte Nott ? A ce jeux là, j'aurais toujours plusieurs longueur d'avance sur elle. J'en avais fait mon mode de vie, pour pouvoir rester chez moi, bénéficier encore un peu de la protection de la famille? Et j'aurais pu le faire encore longtemps si je n'avais pas choisis d'assumer ce que je pensais réellement. J'avais apprit en mentir avant de savoir marcher, c'était nécessaire si je voulais respirer un jour de plus. Je choisis d'ignorer soigneusement les sarcasme de mon ancienne amie, ils ne valaient pas la peine qu'on s'attarde dessus. Autre chose à me dire où tu préfères m'accuser de tous les maux de cette planète Nott ? Je lui offris une moue faussement vexée, je savais qu'elle bouillonnait, et c'était particulièrement appréciable. Si j'avais voulu faire du mal à Paige, je n'aurait pas eu trop de mal. Mais c'était bien plus drôle de se contenter de l'asticoter, de voir combien de temps ses nerfs pourraient tenir si je décidais de me coller à elle, jusqu'au faux pas, jusqu'au geste de travers avant de la coincer. Les gens me prenait pour une gentille. Une petite fille qui avait choisis le camps des bons. Mais les gens ne se divisentpas entre braves gens et mangemorts parait-il. Après tout, je restais une Nott. Pas de ça avec moi Paige je t'en prie, jouons carte sur table. Lui dis-je d'un air suffisant. Je devais être parfaitement insupportable avec mes air de parfaites petites Auror. Tout ce qui avait toujours énervé Paige et que nous faisait beaucoup rire quand nous étions gamines. Mais je n'étais soudainement plus d'humeur à jouer. En fait j'étais tout bonnement épuisée, je ne devais pas avoir bonne mine et je ne voulais pas que Paige s'en réjouisse trop, je n'aimais pas l'idée que ma famille entende que nous avions du mal à gérer la situation, que les Aurors étaient sur les dents... Allez ne reste pas là, les rues ne sont pas sûres. Tu sais parfaitement pourquoi on m'envoie patrouiller, et ta famille n'est pas au dessus de tout soupçons. Ne m'oblige pas à aller plus loin. Assénais-je soudainement, d'une voix beaucoup plus froide et tranchante. En fait elle avait bien sûr le droit d'être ici à une heure pareille, mais c'était toujours un peu louche, quelqu'un qui se promenait allègrement en temps de guerre. Et on ouvrait facilement des enquêtes en de pareilles circonstances. Je ne voulais pas avoir un dossier au nom des Bulstrode tout comme je ne voulais pas en voir un au nom des Nott.
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