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 Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)

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Paige Bulstrode

Paige Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : Bad Wolf Bay / Aude
LETTRES SECRÈTES : 157
AVATAR : Shelley Hennig
ÂGE : 23 ans
PROFESSION : Vendeuse chez Fleury & Bott

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MessageSujet: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyMer 7 Mai - 22:08

Je levais les yeux en l'air. Je ne savais vraiment pas dans quoi je m'engageais. Je m'étais donner pour mission de veiller sur ma grande sœur. Je devais la surveiller, avec la récente « affaire » créé par ma chère sœur, autant dire que la vigilance était obligatoire. Une sorcière de sang-pur de son rang ne pouvait pas se permettre de telles déviances sexuelles et/ou relationnelles avec des impurs. Définitivement j'étais bien la seule fille de la famille à vouloir garder le cap de notre lignée. Bref, en ce moment ma sœur représentait plus une mission qu'autre chose. Je ne voulais pas qu'elle se essaye à nouveau de jouer à la bête à deux dos avec un sorcier impur ou pire un moldu comme notre tante l'avait fait avant ! Bref l'expédition ne faisait que commencer, pour cela j'essayais de me rapprocher d'elle, retrouver une place dans sa vie. Sauf que là, c'était compliqué. Je soupirais alors que je me préparais dans ma salle de bain. Il fallait que je me montre créative. Je devais absolument avoir des idées. Une bonne douche finirait par m'inspirer allez savoir.

Pendant que l'eau chaud glissait sur ma peau, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à ce type. Ce sorcier, celui qui avait été le compagnon d'Ade. Je revoyais son visage alors que je le torturais. J'entendais ce qu'il m'avait dit, a propos de moi, de ma famille et d'Adelaine. Avait-il raison ? N'étais-je pas en train de me fourvoyer ? Se pouvait-il que cette vie digne d'une paria était sa volonté profonde ? Non. C'était impossible je ne pouvais pas laisser faire. Je ne pouvais pas le tolérer. Je ne voulais pas la perdre. Même si j'adorais ma famille, c'était différent avec ma sœur. Ca avait été toujours différent avec elle. Même si avec le temps nous étions éloignées, c'était toujours ma grande sœur. Mon soutien. En sortant, je pris le temps de me regarder dans la glace. Je me souvins du visage que j'avais vu il n'y avait pas longtemps que ça. Le simple fait de me visualiser à nouveau cette image, je frissonnai. Non, je ne devais pas penser à ça. Je ne devais pas me remémorer ça. En regardant un peu plus, je me surpris à avoir la naissance de cernes sous mes yeux. A croire que j'avais moins l'esprit tranquille que ce que je ne pensais. Je soupirais en commençant à me préparer. Un poil de maquillage et c'était réglé. J'optai pour une tenue à l'aise, un jean moulant et une simple tunique verte, accompagnée par ma robe de sorcier bien entendu. Je remis mes cheveux en place, attrapai une besace avant de transplaner en plein milieu de chez ma chère sœur.

Je regardais à droite, puis à gauche. Apparemment il n'y avait personne et vu le silence qui régnait, il n'y avait pas d'homme présent. Je me raclai la gorge avant d'annoncer haut et fort Attention je suis un vooooooooleur. Je vais vous manger toute crue ! J'eus un rire léger, c'était stupide mais ça me faisait franchement rire. Je devais avouer quand lorsque j'étais ici, j'avais tendance à me lâcher un peu plus qu'en présence de la famille. Forcément, je devais pas être aussi parfaite que d'habitude. Mais pas trop quand même. Ma sœur ne tarda pas à arriver. Je lui fis un grand sourire. Bonne matinée ma chère sœur. Termine de te préparer et je t'emmène faire les boutiques. Notre père va bientôt donner une soirée, il nous faut des robes à couper le souffle. Et pour le plaisir bien sûr. Je la regardai de haut en bas, oui clairement elle n'était pas prête. Par réflexe, je tapotai des mains. Allez hophophop. Pas de repos pour les reines du shopping !
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Adelaine Bulstrode

Adelaine Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : MiniBouh
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PROFESSION : Secrétaire au Bureau de désinformation

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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyJeu 8 Mai - 17:01

Retirant mes vêtements, je les jetais en boule dans un coin de ma salle de bain. Je m'occuperais d'eux plus tard, comme de l'énorme quantité de vêtements qui se trouvait dans mon bac à linge en osier. Disons le : faire la lessive n'était vraiment pas ma tasse de thé et j'étais particulièrement douée pour remettre ça au jour d'après et à celui d'encore après. Si bien qu'il m'arrivait régulièrement de ne laver un vêtement que quand je désirais le mettre. Il y avait bien des jours où j'enviais tellement ce « presse in » qu'utilisaient les moldus. Mais j'avais bien plus intéressant à faire que me plaindre de mes tâches ménagères : prendre un bon bain. Je me laissais glisser dans l'eau avec un soupire lasse, posant ma baguette sur le rebord de ma baignoire. J'appuyais ma tête à l'arrière et rester ainsi quelques minutes, laissant mes muscles se détendre complètement. Adieu les courbatures et tensions après un bon bain chaud comme celui-ci. D'une main, je jouais avec les bulles qui recouvraient l'eau. C'était décidé : je profiterais plus souvent des jours où je n'allais pas travailler. Pas de famille, pas de mission, juste moi avec un bon bain et un bon livre. En parlant de cela, je sortis un bras de la baignoire pour attraper un livre, préalablement protéger de l'eau par un malin sortilège, et me plongeais dans sa lecture passionnante. C'était Paige qui m'avait conseillé ce livre la dernière fois que j'étais passée la voir pendant ses heures de travail. Et ma soeur avait visiblement bien trouvé parce que ce livre me plaisait. Elle continuait de me connaître mieux que je ne l'aurais parier malgré... malgré ces dernières années. Penser à cela me gâcha pourtant le plaisir de ce livre. Soupirant un grand coup, je le lançais pour qu'il atterrisse un peu plus loin dans ma salle de bain. Un vrai foutoir ma salle de bain, c'était le cas de le dire. Je me laissais glisser un peu plus dans mon bain, jusqu'à ce que ma tête trempe dedans. Je restais un peu comme cela, la visage juste suffisamment hors de l'eau pour respirer. Puis, je me dis qu'il était bien temps de me laver et de sortir de l'eau avant d'avoir la peau toute fripée. Une fois cela fait, je m'enroulais dans une grande serviette, en utilisant une plus petite pour emprisonné mes cheveux.

J'étais en train de sécher ces derniers, uniquement vêtue de mes sous-vêtements et d'un tee-shirt trop grand pour moi que j'avais du piquer à un ami parce que j'étais à peu près sure de ne pas l'avoir acheter celui ci. Et un tee-shirt aussi grand, et peu chic, ne venait clairement pas de mes parents. Je passais une main dans mes cheveux et elle resta bloquer au milieu des noeuds. Je grimaçais. J'avais de très longs, et soyeux, cheveux mais j'aimais pas pour au tant passer un quart d'heure à les démêler. Heureusement que pour ça aussi il existait un sort ! Je repartis chercher ma baguette dans ma salle de bain quand une voie s'éleva en provenance de mon salon. Un mini éclat de rire s'échappa de mes lèvres alors que j'entendis les stupidités que débitait ma soeur. Oh, je suis morte de peur ! Peu inquiète de la décence, après tout c'était ma petite soeur, je me dirigeais vers le salon et lui plantais deux gros baiser sur ses petites joues colorées d'un rose délicat. Qu'est-ce que tu viens faire ici ? Je te sers un truc à boire ? Tout en disant cela, j'agitais ma baguette et mon service à thé arriva de lui même se poser sur ma table basse. Deux autres sorts et l'eau bouillante n'attendait plus que que je glisse dedans deux sachets de thé noirs, parfumés à l'amande. Mon préféré. Puis je me relevais pour décrocher un regard perplexe à ma soeur. T'es sérieuse là ? Comme si on avait pas assez de robe de cocktailes comme cela... Bon d'accord une fille n'a jamais assez de vêtement.Levant les mains en signe d'innocence, je repartis en direction de ma chambre, attrapant les premiers vêtements venus pour me glisser dedans. C'est à dire un jean moulant et un savant assemblage de débardeur qui ne laissait qu'assez peu de place à l'imagination. Une tenue à donner une attaque cardiaque à mon père. J'attrapais au passage une robe de sorcière à revêtir par dessus une fois que j'aurais quitté mon appartement. De quelques coups de baguette, j'emportais dans le salon avec moi de quoi finir de me préparer. J'accepte d'aller à cette soirée, pour ne pas t'abandonner seule entre les griffes de nos parents, à l'unique condition, écoute moi bien, que... Personne n'essaye de me convaincre de me marier dans l'année qui vient ! Et je me laissais tomber comme un tas dans le fauteuil le plus proche, prenant avec moi une brosse à cheveux. Il y aura qui à cette soirée ? Un truc mondain où je ne connais pas la moitié des invités ou quelque chose en plus petit comité ?

Quelques minutes plus tard, je tapais aux fesses de ma soeur pour la faire sortir de mon appartement, prétextant que je comptais pas non plus passer des heures à faire du shopping et qu'elle avait plutôt intérêt à vite me trouver quelque chose à mettre. Car je ne me faisais pas d'illusions : tant que ça ne lui plairait pas, je n'aurais pas la paix. Et même si j'adorais ma soeur et passer du temps avec elle, avoir un peu la paix était quelque chose que j'enviais encore plus. Chemin de travers je suppose ? Elle me répondit par l'affirmative et sans plus attendre je transplanais, tirant instinctivement sur la manche de ma robe de sorcier. Ma soeur était folle, définitivement folle. Parce que les essayages de robes de soirée impliquait d'enlever la grande robe aux manches bien longues qui nous servait à l'une et à l'autre à dissimuler notre tatouage. Et si je savais que comme moi, elle n'en était pas peu fière, je doutais qu'elle désire réellement finir en fuite ou à Azkaban. Pourquoi ne m'avait-elle pas écouter et n'était rester loin de tout cela ? Je soupirais en la voyant arriver que quelques secondes après moi. Je lui attrapais le bras et allais lui chuchotais à l'oreille pour ne pas être entendue. Je te préviens : il est hors de question que quiconque puisse apercevoir un bras gauche au naturel ? Me suis-je bien fait comprendre ? Je lui fais les gros yeux et ne réagissais pas à son regard de mépris. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait... Pourtant c'est sans râler plus que cela que je la suivais dans le premier magasins de vêtement que nous croisions. Je vis qu'elle devait bien le connaître car elle se dirigea tout de suite vers le rayon où l'on trouvait le genre de tenues que nous portions devant notre famille. Cette robe est très jolie, Paige, mais compte pas sur moi pour porter du rouge... Je l'entendis rire à ma remarque et un peu sourire se forma sur mes lèvres. J'avais beau les appréhender de plus en plus, je continuais d'apprécier les moments en compagnie de ma soeur. Même si mon instinct me disait que cet après-midi allait mal se finir.
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Paige Bulstrode

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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptySam 10 Mai - 21:41

Je souris alors que ma sœur aînée se présentait à moi, je ne fis pas de commentaire sur sa tenue d'un goût assez particulier. J'essayais surtout de ne pas penser que ce tee-shirt trop grand, ne venait pas d'un certain sorcier impur décédé ou pire encore, d'un moldu. L'idée me provoqua un fort dégoût, mais je veillais à ne rien montrer. Je chassais assez rapidement ces pensées divagantes alors que le thé se servait. Parfait, exactement ce qu'il me fallait. Je commençai à siroter le liquide chaud en attendant que ma sœur puisse se vêtir dans une tenue décente pour le monde extérieur. Je souris en mon fort intérieur, pour le moment tout ce passait comme prévu. Cette petite sortie avait l'air d'être plutôt bien acceptée. C'était parfait pour me rapprocher de ma sœur et la garder à l’œil. Je ne pouvais pas me permettre qu'elle commette une autre erreur. Cette fois ça serait beaucoup trop pour que je puisse gérer la situation seule... Prudence était mère de sûreté après tout. Lorsqu'elle revint, je fus ravie d'apprendre qu'elle était d'accord pour venir à cette petite soirée. Excellent. La phase un était complètement validée, un véritable succès. Par chance, malgré l'éloignement qui s'était installé entre ma sœur aînée et moi-même, il restait un brin de solidarité familiale. Les soirées « mondaines » pour faire briller le blason de notre famille avaient toujours été une vraie plaie... et c'était une sentiment qu'Adelaine et moi partagions. C'était ce genre de soirées ou il fallait sourire, rire à des blagues de mauvais goût, se tenir à carreaux. Bref, où il nous fallait être les parfaites filles sages de bonnes familles. Même si c'était devenue une seconde nature pour moi que d'afficher mes allures de sorcière parfaite, de telles soirées étaient vraiment un fardeau. La présence d'Ade avait toujours aidé en quelques sortes, je m'étais toujours dit que je n'étais pas la seule à être dans cette galère. Pour le comportement de notre père ? Je ne te garantis rien. Il est déjà infernal avec moi. Je grimaçai avant de prendre une autre gorgée de thé. Je posais mes yeux sur ma sœur, encore une situation que l'on ne connaissait que trop bien. Et c'est autre soirée mondaine. Le genre ennuyeuse, pompeuse et insupportable. Le rêve quoi ! Je finis par rire légèrement, parfait pour créer le rapprochement.

Quelques minutes plus tard, nous étions parties pour notre séance de shopping. Le chemin de traverse, nous transplanions ensemble presque instantanément. Je trouvais toujours ça bizarre de jamais quitter cet endroit. J'avais finis par connaître le Chemin de Traverse par cœur. J'allais me diriger naturellement vers l'endroit la première boutique quand Ade me murmura une mise en garde par rapport a nos fameux tatouages. J'aurai pu lui lancer une phrase cinglante, une provocation. Comme si j'étais une gamine, c'était vraiment n'importe quoi. Je me contentais de lui lancer un regard qui voulait tout dire. Être autant stressée, c'était vraiment un pur zèle. Comme nous allions être plus discrètes à tirer toutes les cinq secondes sur la manche gauche de ma robe de sorcier. Je finis pas soupirer en levant les yeux au ciel. Je préférais ne pas tenir compte de cette remarque typiquement trop protectrice de la part d'Adelaine. Je reprenais mes activités et me dirigea vers la première boutique de vêtements. Dès l'entrée je saluai le vendeur avec un grand sourire. Eh oui, je connaissais vraiment tout, même les employés. Je me dirigeai immédiatement vers ce qui nous intéressait de quoi être époustouflante, tout étant classe et chic. Oh, mais cette petite robe rouge... Au commentaire de ma sœur, je sortis la robe et la posais sur elle. Je vois pas pourquoi, avec ce décolleté, père ne risque pas du tout de t'assassiner. Tu n'auras qu'à lui dire que c'est pour faire la chasse aux hommes. Je ris légèrement avant de repose la robe sur le présentoir. Je regardai rapidement les différentes robes. De vraies merveilles, si seulement j'avais pu tout acheté. Et sinon toi ça va ? Tu sais, ça me manque presque la maison. Au moins on était ensemble et on discutait de tout de rien. Les nuits blanches à parler avec ma sœur me manquent. Je soupirais en tirant une robe noire, élégante, mais trop basique. Mon regard se porta sur une merveille bleue foncée, je la posais sur Ade et eus un sourire, sans nul doute celle-ci était très élégante, raffinée, sexy, mais pas trop. Parfait. Je me souviens d'une époque ou on donnait des notes aux postérieurs des joueurs de l'équipe de quidditch. Bref, assez de mélancolie. Parle moi de toi, comment va le boulot, les amours, tout ça ? Je levai tout de suite les mains avant qu'elle ne saute à la gorge en m'accusant de parler de mariage. Et je ne parle pas de mariage. Hey, je suis ta sœur, je veux faire un peu partie de ta vie quand même.
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Adelaine Bulstrode

Adelaine Bulstrode
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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyLun 19 Mai - 16:38


Je souris quand Paige me dit qu'elle me promettait rien pour notre père. Je levais les yeux aux ciel. Bien entendu qu'elle ne pouvait rien promettre. Notre père n'était pas le genre contrôlable, enfin à part par notre mère et encore, elle en avait bien du mal. Quant à ma soeur et moi, nous n'avions qu'à subir ses lubies. Oui, me marier devait être une lubie pour mon père. Vous savez le genre que une jeune fille de notre rang devrait déjà avoir des enfants, surtout à mon âge voyons. Comme si je ne pourrais pas simplement en faire plus tard. Ou comme aussi que pour que notre lignée prospère... Avec uniquement deux filles, je ne voyais pas vraiment de quelle lignée il voulait parler. Mais heureusement pour moi, si c'était une soirée mondaine, on avait une chance d'y échapper. Pas trop croiser le paternel. Je ris presque en entendant ma soeur la décrire. Effectivement, c'était bien le genre de soirée dont nous avions l'habitude. On évite Père, on fait semblant d'être séduite par je ne sais trop qui qu'il nous fiche la paix et... au pire, tu passera une nuit des plus agréables ! Je lui adressais un clin d'oeil osé en disant cela. Ce ne serait pas mon cas. J'acceptais de faire sembler de me faire séduire, de jouer le jeu mais pas à ce point. Pas maintenant. Cela faisait trop peu de temps, cela faisait encore trop mal pour que je joue à ça. Me réveiller seule la nuit, sans lui dans mon lit. Ne plus le voir en arrivant au travail, non plus. Mais elle ne me laissa pas vraiment le temps d'y penser.

Un peu plus tard, dans cette allée au fond de ce magasin de vêtement, je regardais une robe, rouge flamboyante, qui avait attiré le regard de ma soeur. Et quand elle m'expliquait pourquoi je devrais pouvoir la porter, je ne pus rire réellement, sentant bien que même avec toute la joie que j'avais à faire les magasins, cette blague me plaisait pas. Je n'ai pas envie d'hériter si vite que ça... Et puis, moi porter du rouge griffondor ma chère ? Jamais de la vie ! Même si c'est pour séduire ! Oh, je n'avais pas beaucoup évoluer depuis mon adolescence à ce sujet là... J'étais pas très vêtement rouges de nature, préférant le noir et le bleu. Mais quitte à porter du rouge, j'aurais voulu quelque chose qui me rappelait moins Gryffondor que cette tenue ci. Quelque chose qui m'irait du coup, beaucoup mieux. Je reconnaissais toute fois que l'idée de mettre une tenue qui déplairait à mon père était plus que tentante. Cela me fit sourire alors que je tirais une nouvelle robe d'un portant pour la lâcher aussi tôt. La coupe était vraiment nulle. Je me bloquais, crispant mes mains sur le tissu qu'elles tenaient, quand ma soeur me demanda si ça va, surtout en entendant ce sur quoi elle partait. Je devais lui mentir ou lui dire la vérité ? C'était ma soeur mais... J'avais du mal à continuer d'avoir avec elle cette proximité dont elle parlait alors que je savais que cela porterait préjudice à notre relation. Je la connaissais et quand j'y pensais, souvent cette phrase de ma tante sur Paige me revenait. Elle me trahirait un jour... Je voulais pas le croire mais je le craignais tellement. Cette blessure là, je m'en relèverais pas. Je soupirais tout en faisant le mannequin quand elle tendait une robe vers moi. Je sais que tu cherches pas à me marier. Et... tu fais partie de ma vie Paige, je t'interdis de penser le contraire. Attrapant la robe qu'elle m'avait tendu comme façon d'approuver son choix, je continuais de regarder celle sur le portant. Parfois, ce temps là aussi me manque. Pas pour la maison, juste parce que tu y étais aussi... Je ne le dis pas fort, mais je savais qu'elle avait entendu. Je poussais un autre soupire tout en lui tendant une robe, pour elle ou pour moi mais cette couleur nuit me plaisait. Et je savais que je sortirais pas d'ici avec une robe sans son approbation. Mon boulot est génial, franchement ! Bon, je suis vaguement en congé depuis que quelqu'un a foutu le feu au ministère. Et toi, ça se passe bien à la boutique ? Je haussais les épaules avec innocence alors qu'elle savait très bien que j'avais été présente le jour où ça s'était passé. Et qu'elle savait tout aussi bien que moi qui était à l'origine de ce magnifique incendie. Choissisant encore parmi les robes, je la tirais vers un autre rayon en lui tenant le bras. Et, petite tête, tu crois vraiment que si j'avais une relation sérieuse avec quelqu'un, tu ne serais pas déjà au courant ? Je lui claquais une main aux fesses en levant les yeux au ciel comme si la question m'indignait. Etait-ce que ma relation avec John n'avait pas été sérieuse ? Ou était-ce que je mentais à ma soeur ? Surement un des deux. Et toi ? Pas de relations sérieuses ? Enfin, si tu tiens vraiment à parler de ce qui est pas sérieux, je ne suis pas contre savoir qui passe dans ton lit ! Je lui lançais et de mes sourires qui n'annonçait rien de bon pour elle. Elle avait voulu jouer à la soeur curieuse ? J'étais aussi très douée à ça.
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Paige Bulstrode

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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyLun 26 Mai - 18:37


Adelaine ∞ Paige
Nulle amie ne vaut une sœur
Je ris légèrement en entendant le plan pour le moins machiavélique de ma sœur. Je devais avouer que ce genre de soirée pleines de sorciers étaient pratiques, au moins on pouvait être tranquille et échapper à notre père. C'était le plan par excellence, je devais avouer que sur ces combines, on voyait bien que nous étions sœurs. Avec les années et toutes les soirées mondaines que nous avions vécues, on avait fini par avoir quelques trucs et astuces pour échapper à ce genre de tortures. Dans le fond elle avait bien raison avec sa méthode, au moins on aurait peut-être le moyen de passer une bonne nuit avec un charmant jeune homme de bonne famille. C'était une manière sympathique de lier l'utile à l'agréable. Présenté sous cet angle, la soirée pourrait presque sembler agréable. Espérons qu'il n'y ai pas trop de vieux croûtons. Je fis une grimace bien exagérée avant de rire de plus belle. Je finis par reposer mon regard sur les vêtements, après tout nous étions là pour ça non ?

Très discrètement, j'essayais de mener la discussion sur la vie de ma sœur. Je ne devais pas oublier ma mission qu'étais la mienne. Surveiller ma sœur, essayer de voir si elle n'avait pas décidé de rabibocher avec un autre sorcier impur, un sang-de-bourbe.... ou PIRE un moldu comme l'avait fait notre tante. J'avais parfois peur que cette vipère n'ai encore contact avec Adelaine. Cette peste aurait pu appliquer son influence néfaste sur elle et l convertir à sa saleté de vision sur « l'égalité entre être vivants » quelle saleté. Une plaie, une charogne, un vrai cauchemar. Mais de ce que j'avais pu constater les visites n'étaient pas régulières, pas assez pour qu'Ade en soit véritablement influencée. Mais il valait mieux que je prenne garde. C'était connu, prudence était mère de sûreté. Mais passons, il devais m'informer. Je devais jouer aux sœurs à chercher la confidence. Il fallait que je fasse mon rôle sans éveiller les soupçons, bref être une bonne manipulatrice. Mais vu mes bons sentiments envers mon aînée et  mon art pour le mensonge, je savais que c'était la main dans la poche. Même si je devais avouer que dans mes mots il y avait beaucoup de sincérité. Il m'arrivait parfois de regretter ces moments d'innocence, de spontanéité, de rires francs et amicaux. Parfois il m'arrivait de regretter ma famille, mais je n'avais pas vraiment le choix. Je devais dissiper mes doutes, je ne pouvais pas me permettre le moindre relâchement.

Je pris un air surpris quand elle m'annonça pour le Ministère. Le feu ? Ils avaient prévu quoi de faire un bûcher ? Enfin, au moins tu des vacances gratuites ! C'est vrai que pour moi les vacances n'étaient pas régulières. Enfin, c'était bien parce que j'adorais mon métier. Une des rares choses pour laquelle j'avais un dévouement complet et total. Il y avait le boulot, la famille et les mangemorts, bien évidement. Je suis entourée de bouquins, ça résume bien la situation, répondis-je spontanément. C'était la réponse parfaite. Elle savait bien que depuis que j'avais appris à lire, j'avais toujours adoré les livres. J'avais toujours été une fervente lectrice de …. ben d'à peu près tout. Roman, livre de cours, méthodologie, livres  d'histoires. Bref j'étais une sorte de bouquinophile. Bref, je suis au paradis. Fautes, d'être heureuses en amour, les sœurs Bulstrode étaient comblées sur le plan professionnel. Au moins c'était déjà ça. Enfin le plan amoureux était toujours un problème, malgré l'influence de notre mère, notre père avait toujours essayé de nous marier à des inconnus et il essayait encore. Je savais bien que ça allait finir par arriver, nous n'avions pas vraiment le choix après toi. Après tout, il nous fallait bien nous marier à un sorcier de sang-pur pour sauvegarder notre héritage. J'y étais préparée, après tout je savais bien que je n'allais pas trop un sang-pur dont j'allais tomber follement amoureuse. Après tout, je ne savais même pas ce qu'était le principe bien abstrait du sentiment amoureux. Enfin, ces choses pouvaient bien se faire sans amour après tout. Puis, pour le moment je profitais de ma jeunesse. Et en parlant de relation, je ris intérieurement en entendant ma sœur me répondre que j'aurais été au courant si elle avait une relation sérieuse. Je ne savais pas que le mensonge était une qualité qui se transmettait chez les Bulstrode. Le pire fut que je me rendis compte que dans le fond, je ne faisais vraiment pas partie de sa vie. Je serrais les dents, tout ça c'était de sa faute à elle, notre tante. Elle nous avait éloignée, tout avait commencé à cet instant. Il y avait un mur entre ma sœur et moi. Le mur du mensonge, des cachotteries, de la manipulation, je me devais de le briser. Puis tout naturellement, comme bonne menteuse elle essaya de changer de sujet. Oui, ce n'était ps ma sœur qui allait m'apprendre à bien mentir. Après tout j'avais clairement plus d'expériences qu'elle en matière de manipulations sournoises. Je voyais clair dans son jeu. J'avais tué son bien-aimé, il avait agonisé, il avait hurlé et puis il s'était éteint. Tout ceci de ma propre main. Mais le plus doux dans cette histoire, c'est qu'elle ignorait que j'étais l'auteur de ce crime. Elle ignorait aussi à quelle point je lui avais sauvé la vie. Mais voilà, encore un secret que je me devais de garder sagement. Jouer mon rôle, tel était mon rôle. Alors je me permis de sourire avant de répondre calmement. Si j'avais une relation sérieuse, tu serais la première au courant, définitivement. Tu sais à quel point je suis chiante. Et puis père serait déjà en train de déboucher le champagne et de préparer le mariage. Je ris légèrement, dans le fond ce n'était pas faux. En attendant je profite de ce que la nature m'a donné. J'accordais un clin d'oeil à ma sœur. Non je ne comptais pas vraiment parler de mes relations au coin du lit. Entre autre choses parce que j'avais aussi des choses à cacher. Coucher avec un traître à son sang n'avait jamais rien eu de franchement glorieux. Mais par chance, personne n'était au courant, sinon je n'osais pas imaginer les conséquences de mes actes. Heureusement, je savais bien cacher mon jeu.  Puis cette affaire n'avait pas vraiment d'importance.

Au final je ne faisais même plus attention au shopping. Je prenais les robes par pur réflexes me fiant à mon regard et une observation rapide. Je pris Ade par le bras pour que nous allions dans les cabines d'essayage. Mais en mon fort intérieur, c'était l'ébullition. Mon cerveau se tournait et se retournait. Je n'avais de cesse de repenser au mensonge si infâme de ma chère sœur. Je n'arrivais pas à savoir si la relation avait eu quelconque influence. Si j'avais été positive, j'aurais dit que cette relation n'avait pas eu la moindre importance pour elle. Mais les dires du sorcier avaient prouvés le contraire. Si cette relation n'avait été qu'une passade, elle ne lui aurait probablement pas révélé son appartenance aux mangemorts et il ne serait pas resté. Non c'était improbable. Je savais bien qu'elle me mentait sur tous les points. Preuve que j'avais agis beaucoup trop tard, mais malheureusement, je ne pouvais pas être sur tous les fronts. Je devais me montrer vigilante. J'entrais dans une cabine juste à coté de celle de ma sœur. 'espère qu'il n'y a pas eu trop de casses avec cette attaque dont tu me parlais. Il serait regrettable que tu perdes encore des collègues de travail. Je passais ma robe noire. Je passais mes doigts sur le tissu, il glissait sous mes doigts avec grande délicatesse. La fluidité sur tissus tombait sur mes hanches, suivant mes formes sans pour autant me mouler de manière vulgaire. La robe se terminait jusqu'à mes pieds, il n'y avait pas de  décoleté, même un pas un minuscule. Le tissus rasait mon cou, un peu désagréable mais au moins le tout était classe et élégant. Je remis en place ma robe de sorcier sur mes épaules avant de sortir. Je passais ma tête par le rideau pour voir ma sœur. T'es regardable ? Ben pourquoi tu fais cette tête-là ?
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Adelaine Bulstrode

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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyMer 28 Mai - 21:30


Elle eut l'air surpris quand j'évoquais le ministère ce qui m'arracha un petit sourire. Ainsi elle n'en avait pas encore entendu parler... Oh cela ne faisait que quelques jours après tout et je savais que son travail lui prenait pas mal de temps après tout. Mais je ne pus retenir un éclat de rire quand elle me demanda si nous avions prévu de faire un bûcher. Je voyais très bien notre ministre prononçait un discours pendant que quelqu'un hurlait d'agonie sur un feu hardant en contre plan. Et si je visualisais très bien la scène, je devais avouer être rassuré de savoir que cela n'était pas près d'arriver. Imaginez un peu l'odeur après ce genre d'évènements... Oh non... Ils ont juste eu la bonne idée de laisser les Lestrange entrer au ministère. Assurée que personne ne pouvait nous voir, je fis un clin d'oeil à ma soeur. Je savais qu'elle comprendrait. Je savais qu'elle les connaissais assez pour que la fin de cette histoire la surprenne à peine. Une chose à savoir : devenir mangemort c'était apprendre à ne plus sourciller aux tendances étranges de certains de nos camarades. Et j'étais, comme elle, parfaitement entrainé à ce jeu. Je pouvais voir les plus grosses horreur que la terre n'ait jamais vécu sans battre seulement des paupières. Je supportais pas le sang, je détestais la vue du sang et par dessus tout qu'il me touche. Pourtant, je m'étais plus d'une fois retrouvée avec des giclée de sang touchant mon visage sans que je fasse autre chose que contracter très fortement les muscles de ma main, quitte à m'entailler la peau avec mes ongles. Ne pas bouger, ne pas tressaillir et surtout ne pas hurler. Ne jamais hurler... J'avais reconnaissons le acquis un certain contrôle de moi pour ce genre de situation. Qui finissaient par moi se ruant sous la douche pour se frotter chaque parcelle de peau avec énergie. Je pus sentir un frisson me parcourir rien que d'y penser. Ouh que je n'aimais pas cela. Mais je m'étais dit de ne pas penser à tous ce genre de sujet qui faisaient dresser les petits poils de ma nuque. Positivons Adelaine, positivons... Vacances... Travail à la maison plutôt mais au moins, je peux faire la grasse mat. Je lui tirais la langue mais la laissais enchainer sur son travail à elle. Il devait être plus intéressant que le mien. Après tout, elle avait toujours aimer les livres. Avant même de savoir lire, elle aimait les regarder, les toucher, les comparer. Et après elle avait appris à lire et là, on l'avait perdu. Des heures et des heures dans les bouquins. Elle pourrait faire bibliothécaire à Poudlard tant elle y avait passé du temps. Je souris en l'entendant dire qu'elle était au paradis. S'il ne te faut que des livres pour être si heureuse, on devrait proposer à Père de te marier à la bibliothèque familiale ! Bon pour les héritiers ça serait problématique mais au moins l'une de nous aura un mariage heureux ! Je lui mis une petite tape sur l'épaule en la contournant, répondant alors à sa question sur ma vie amoureuse. Mais quand je le faisais, je m'interrogeais. Etais-je amoureuse de John avant qu'il ne parte ? Je n'aurais probablement jamais la réponse. Comme je saurais jamais comment ça se serait fini, jusqu'où j'aurais pu aller. Je ne saurais jamais tout cela. Mais je savais qu'il m'aimait comme j'étais, avec mes défaut et mon tatouage. Je le savais et je me sentais coupable. Je me sentais si mal pour lui. Si coupable... de ne pas avoir était en capacité de lui donner ce qu'il aurait mériter. Je ne saurais jamais si je l'avais réellement aimer ou pas mais je savais déjà que je l'avais moins aimé que lui m'avait aimé. J'aurais pu en parler avec Paige mais quelque chose me retenait. J'étais pas très fière faut croire.

Pourquoi les histoires devaient-elles toujours être si compliquées ? Je lui souhaitais qu'une chose : trouver un homme qu'elle serait sure d'aimer et qu'il l'aimerait en retour. Ne pas avoir ces éternels questions dans la tête. Et ne pas le perdre, du moins pas comme je l'avais perdu avec mes regrets. Mais, elle disait être seule... Pire, il t'aurait déjà conduit à l'hôtel ! J'aurais pu ne pas comprendre la phrase suivante... aurais pu ! Surtout que son clin d'oeil était plus qu'explicatif. Je lui mettais une tape aux fesses. Ouuuh la petite coquine ! Alors, il est comment ? Ou... ils sont ? Je savais que je n'aurais pas de réponse mais j'avais toujours trop aimer taquiner ma soeur. J'allais ajouter quelque chose quand elle me traina par le bras en direction des cabines d'essayages. Je soupirais et rentrais dans la première que je voyais, un tas de vêtements dans les bras. Je les posais dans un coin, retirais ma cape et mes vêtements jusqu'à me retrouver en culotte et soutien-gorge, en dentelle bien entendu. D'un sort sur mon bras, je dissimulais la marque des ténèbres, après l'avoir caresser du bouts des doigts. Je me mordis la lèvre et passais une première robe. Ce fut à ce moment là que j'entendis, ou plutôt que je compris, ce que ma soeur avait dit. Ce fut comme me prendre un coup de poing dans l'estomac. Et moi qui ne voulait pas penser à John. Je serais bien rester là, plantée mais je l'entendis ressortir de sa cabine. J'essuyais vite fait une larme qui avait coulé sur ma joue et tournais le dos à l'entrée de la cabine pour finir de me dandiner dans le vêtement. Tu veux bien fermer ma robe ? J'arrive pas à la remonter jusqu'en haut... Mais je sus bien qu'elle ne prendrait pas au jeu. Car je n'y prenais pas moi même. Comment avait-elle su ? Comment ? Puis ce fut plus fort que moi, la phrase sortit de ma bouche avant même que je ne la pense, avant que je ne puisse la retenir. Tu connaissais John. Une affirmation, rien d'autre. Je ne sais pas d'où ni comment, mais tu le connaissais ? Comment saurais-tu autrement qu'il était mon collègue et que je le connaissais. Un petit sourire à ma soeur. J'étais bête mais pas à ce point là. Pas du tout à ce point là... Transformant mon sourire en un légèrement sadique je la regardais de haut en bas. Jolie robe, très séduisante et totalement décente... Tu comptes faire plaisir à Père à ce point là ? Je me regardais dans la glace, mes mains glissant sur le devant de ma robe. Elle était bleu marine, d'une coupe assez simple qui laissait voir mon cou et la naissance de mes épaules, s'arrêtant juste sous mes genoux. Je reconnais que la mienne fait bien sage également. Puis je me tournais soucieuse vers elle. J'avais une question qui me brulait le bout de la langue, une question pour envoyer John loin de cette conversation même si j'aurais voulu en savoir plus. Comment crois-tu que Père réagirait si on lui présentait quelqu'un ? Je vis son air surpris et surtout l'espèce de réflexion qui se formait derrière. J'ai personne à leur présenter ! Je vois bien que tu y penses. Mais je me demandais juste. Il a tellement l'air de vouloir nous marier mais veut-il simplement nous voir marier ou seulement nous voir marier avec quelqu'un qu'il aura choisi ? Je levais les épaules sous entendant bien que je n'avais aucune idée de la réponse. Ce n'était pas la première fois que j'y pensais. C'était loin d'être la dernière.  
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Paige Bulstrode

Paige Bulstrode
DEATH EATERS

PSEUDO : Bad Wolf Bay / Aude
LETTRES SECRÈTES : 157
AVATAR : Shelley Hennig
ÂGE : 23 ans
PROFESSION : Vendeuse chez Fleury & Bott

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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyVen 6 Juin - 23:16


Adelaine ∞ Paige
Nulle amie ne vaut une sœur
Des rires francs, je devais avouer que ça m'avait manqué. Une journée presque totalement sincère, une chose qui n'était pas arrivée depuis un bon petit moment. Enfin presque bien sûr, si j'étais venu la voir de manière désintéressée, on aurait pu dire le contraire. Mais voilà, je n'étais pas ici seulement pour les tenues et cette affaire de soirée mondaine. C'était une manière de de sonder le terrain. Oui, je surveillais ma sœur et e n'avais pas honte. Après sa bourde avec le sang mêlé, je devais vérifier qu'une telle erreur ne se reproduirait pas. Le meurtre de son précédent compagnon servait d'avertissement. Au moins cela lui rappelait qu'elle faisait partie des sorciers de sangs purs et où était sa place. On ne pouvait pas sortir avec n'importe qui. Adelaine était une sorcière de sang pure, une Bulstrode qui plus était – ce qui nous permettait de faire encore moins d'erreur qu'un Black ou un Lestrange – et surtout, c'était une mangemorte. Les mangemorts ne pardonnaient pas aussi facilement que ça et le meurtre était souvent l’issue de situations fâcheuses. Elle aurait été sacrifié si la nouvelle s'était répandue. Une autre crasse pour la famille et une sœur perdue, j'y perdais plus au final. Je m'étais sali les main avec le sang de cet impur. Mais je ne regrettais pas. Après tout ce n'était pas la première fois que je venais à commettre un meurtre. Mais cette fois c'était différent, je tuais pour ma sœur, pour la sauver de notre père.

Je suis déjà mariée à la bibliothèque, mais faut pas le dire c'est un secret, lui murmurai-je avant d'accompagner ma parole avec un gente de silence. Je souris et finis par lui accorder un clin d’œil. Mais rapidement la conversation dévia sur mes relations. Outch, belle esquive. Si seulement j'étais capable de ressentir de sentiments envers une personne du sexe opposé. Faire des trucs tendancieux, avoir des « amants », des petites distractions, ça ce n'était pas un problème. J'aimais papillonner. Mais aimer, c'était une autre histoire. Je n'étais jamais tombé amoureuse, j'avais eu de l'affection vaguement, mais rien de plus. Mais les sentiments n'étaient que fioritures. Je ne donnerai pas de noms. Tu serais capable de me piquer de très bons éléments. Je levai ma main en signe avertissement, j'aurai été crédible, si seulement je n'avais pas eu ce sourire amusé fixé sur mon visage. Bref, tout allait pour le mieux, l'ambiance était plutôt bonne enfant. Agréable, ce qui était parfait pour amener une bombe. Je savais bien que j'allais poser un truc qui allait exploser, pire que feudeymon. Je faisais un allusion à son ancien « petit-ami ». Je voulais la mettre devant le fait accompli, sans vraiment le faire de face. Ce n'était pas évident.  Sur le coup sa réaction fut le silence. Je finis par sortir de la cabine prétextant de vouloir voir le résultat de sa première robe. J'obéis et remonta sa fermeture éclair. Et sa réponse arriva. Une affirmation... Elle avait comprit de quoi je parlait c'était déjà. Je la regardai, sans que mon visage de transmette la moindre réaction. La question suivit assez rapidement. Les doutes. Tant de réponses possibles. C'était sûr que je le connaissais plutôt bien, je lui avais donné la mort. Je m'étais délecté de sa souffrance. J'avais arraché ses derniers soupirs, et cela avait été un vrai régal. Mais je devais répondre prudemment. Ça tombait bien, marcher sur des œufs et calculer, c'était quelque chose que je savais plutôt bien faire. Il est venu chez Fleury & Bott une fois. Je suis venu lui donner des conseils sur quelques ouvrages. Il a reconnu mon nom de famille, il m'a invité boire thé et nous avons discuter de choses diverses et variées. Des choses d'une banalité affligeante, mais c'était un homme bonne compagnie. Très bien, je n'avais pas dit qu'il avait parlé de la relation avec elle. Je laissais plané le doute. Comment pouvait-elle savoir que j'avais été au courant pour cette relation ? Elle ne le pouvait pas. Elle était incapable de savoir si j'étais j'avais l'information sur cette relation, pas sans avoir se mouille et l'avouer d'elle-même. Prise au piège, elle est fait comme un rat. Essaye de te sortir de ça, traîtresse. Non pas ça, il ne fallait pas qu'elle intervienne, pas maintenant. Elle devait rester calme cette petite voix. J'avais la situation en main, je la maîtrisais, tu ne devais pas tout faire rater petite voix. J'attendais qu'elle se trahisse, elle finirait par le faire à un moment où un autre. Nous l'attendions avec tellement d'impatience.... enfin JE l'attendais avec impatience.

Un sourire se traça mes lèvres quand elle me dit que ma robe était décente... et oui, c'était le but cherché. Mais c'était vrai que dans le fond, cette robe – aussi belle soit-elle – me rajoutait quelques années. Au moins, on pouvait dire que je n'étais pas trop sexy. Mais en regardant Adelaine, je me rendais compte qu'elle ne valait pas mieux que moi. Je devais que c'était même plus flagrant chez elle. Je lui dis assez naturellement. Tu ressembles à maman comme ça. C'était assez vrai, elle avait plus hérité de notre mère que moi d'ailleurs. Il m'arrivait de l'envier parfois, mère était une très belle femme. Moi j'avais plus pris des traits de mon père et surtout de son caractère. Je finis par rire et rajouter. Dis moi quand on est-ce qu'on devenu des filles sages au juste ? Je poussais un long soupir. Si seulement, j'eus une pensée pour Gideon, si seulement il savait à quel point il avait de la chance. La chance d'être né dans une famille sans contraintes. Lui, il ne devait pas se prendre la tête avec les mariages arrangés, fricoter avec seulement des sangs purs... La belle vie qu'il avait ! Nous, nous devions nous prendre la tpete, avoir un balai dans le derrière continuellement, pas d'erreurs permises. Il nous fallait être parfaites. Dans le fond nous avions pris des années plus rapidement que les adolescentes normales. Nous étions devenues adultes trop tôt avec ces tonnes de responsabilités. Un vrai drame ! Je haïssais les épaules quand elle parla des fameux mariages. S'il pouvait, il choisirai tout. Pour lui les sentiments sont un simple bonus mariage arrangé. Je grimaçai. Je savais bien que c'était mon avenir, après tout j'étais me parler d'amour c'était comme parler de regarder à un aveugle. Mariage, les gamins, des trucs franchement pas réjouissant. Mais avait-on seulement le choix... Je savais bien qu'à force père allait me forcer un mariage. Malgré l'influence de notre mère... déjà qu'Adelaine n'avait pas de prétendant, il ne voulait pas que cela dure si longtemps pour moi. On allait bien finir par me mettre la baguette sous la gorge. Il aimerait nous voir avec des hommes importants et avec des noms comme Black, Lestrange, Nott. D'un ennui mortel quoi. Je regardais mon reflet dans le miroir. Oui, dans cette robe sage, je faisais très rangée, femme mariée. J'eus une grimace. Cette image ne plaisait pas forcément. J'y étais préparée, mais cela pouvait arriver le plus tard possible, c'était plus sympathique. Mais la plupart des filles de mon ages étaient mariées et avaient pour certaines, plusieurs enfants. Seconde grimace en imaginant ma silouhette déformée par un ventre rond et les conséquences que cela aurait. Comment pouvait-on aimer faire des enfants. Bon oké, la phase sexuelle était cool, mais pas la phase 9 mois de galère. ET je ne parlais même pas du handicap de l'élever. J'osais espérer qu'il aurait comme moi les gènes de la lecture. Enfin bref, la merde. Je me demande ce que ça fait parfois. Tu sais d'être amoureux. Père et mère ont de la chance dans le fond. Je regardais ma sœur et tapai des mains d'un coup pour nous réveiller. Assez de dramatisme sœurette. Haut les cœurs ! Allons nous chercher une diablement sexy pour compenser toutes ces années que nous avons prises d'un coup ! Ou des sous-vêtements sexy ! Comme ça quand ces messieurs nous déshabilleront, nous serons de vraies diablesses sous ces robes de grandes dames. Qu'en penses tu ? Moi je me sens l’âme d'une chasseuse !
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Adelaine Bulstrode

Adelaine Bulstrode
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MessageSujet: Re: Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥)   Nulle amie ne vaut une soeur (pv ade ma pétasse ♥) EmptyMer 18 Juin - 22:33


Elle connaissait John... Elle connaissait John. J'appréciais pas la nouvelle au fond. Une sorte d'élan de jalousie que je ne m'étais jamais connue avant. Une sorte d'élan de crainte que ma soeur sache et qu'elle me juge. Une sorte d'élan de peur que ma tante ait vu juste. Mon dieu, comment avait-elle pu connaître John ? Ce n'était pas par mon intermédiaire, je me serais souvenu de lui avoir présenter même si ce n'était qu'un midi où elle serait venue déjeuner avec moi comme cela pouvait lui arriver de faire. Pas une fois où elle serait venue me voir un ministère, je m'en souviendrais. J'étais sure que je m'en serais souvenue. Pas une fois où il était à mon appartement, je m'étais toujours arrangée pour qu'ils ne puissent se croiser. Et si ma soeur était venue en mon absence mais pas la sienne... un des deux me l'aurait bien signaler non ? Comment pouvait-elle le connaître alors ? Par tout autre moyen, comme je l'avais moi rencontré lui : par hasard. Oui par pur hasard. Et elle avait su où il travail, découvrant qu'on était collègue. Après tout, elle en savait assez sur mon travail pour deviner au travail de quelqu'un d'autre si j'avais des raisons de le connaître ou pas. Puis y avait eu son nom dans le journal... Si ça se trouve, c'était juste qu'elle avait vu son nom et son travail dans les pages des morts... Oui ça devait être ça. Ca devait être... Fleury&Bott. Un petit sourire attendrit se posa sur mon visage. Stupidement, je crus à son histoire. Après tout, je savais que John aimer lire, moins que moi et bien moins que Paige mais il aimait lire. Et je savais que ma soeur était une vendeuse très passionnée dans ses affaires. Il aurait très bien pu lui proposer de prendre un thé que pour la remercier. Ce qui m'étonnait c'est qu'il ne m'ait rien dit... à part peut être parce que je refusais qu'il connaisse ma famille et qu'il avait peur de ma réaction quand je l'apprendrais. Tout à fait logique pour quelqu'un qui me connaissait : je pouvais réagir assez stupidement ou violemment dans pas mal de situations. Mais une question restait... Que lui avait-il réellement dit de notre relation ? S'il avait reconnu son nom de famille c'était qu'il avait avouer me connaître. Alors, qu'avait-il avouer à ma soeur ? Elle savait se montrer féroce quand elle désirait savoir quelque chose. J'étais très bien placée pour le savoir. De très bonne compagnie. J'avais dit ça en empruntant à nos parents cet accent de la haute qu'ils pouvaient avoir mais qui était moins marqué, au naturel, chez ma soeur et moi même. Elle t'a plu à quelle point sa compagnie ? Ouuuuh ! Je secouais mon doigt devenant son nez en exagérant. S'il lui avait dit, elle me reprendrait. Et si non, je serais juste une jeune femme se moquant de sa soeur. Je croyais que mademoiselle ne regardait que chez les sang-purs ! Et je ris, en me forçant légèrement mais assez pour qu'elle comprenne que je faisais une blague, n'y croyant pas réellement. Je savais qu'il n'aurait toucher ma soeur, je savais qu'il ne me trompait point. Faisant semblant de me reprendre, je lui souris. Mais je reconnais que sa compagnie est agréable. On prenait le café ensemble à nos pauses. Une discrète façon de dire que je le connaissais plus que simplement parce qu'il travaillait au même étage que moi. Une façon de me défendre contre une attaque imaginaire de ma soeur.

Il me dit que je ressemblais à notre mère et je ne pus m'empêcher de tirer une grimace en me regardant dans le miroir. Mère était belle, je le savais. Mère était quelqu'un de bien, je le savais aussi. Probablement quelqu'un de meilleur que je n'aurais jamais pu l'être. Mais Mère était Mère. Et on me comparait à elle au tant pour l'apparence physique, dont j'avais en partie hériter et nos ressemblance dans ce domaine devenaient de plus en plus importante alors que je vieillissais. Que pour le caractère. Hors je ne désirais pas être comme Mère. Soumise à un homme sauf quand il s'agissait du bonheur de ses filles. Ayant renoncer à avoir son avis propre sur pas mal de sujet, ayant renoncer à son propre bonheur pour un mariage dont elle n'avait voulu à l'époque. Même si elle assurait aimer Père... depuis. Je suis vielle avant l'âge génial ! Sarcasme. Je n'étais pas ma mère. J'étais bien plus révoltée. Bien plus apte à faire des choix étranges même si je venais à les regretter. J'ai toujours été sage MOI ! C'était toi le petit monstre quand on était enfant. Je lui souris. Car c'était vraie. J'étais pas sage mais j'avais fait moins de remous qu'elle à l'époque. Trouvons moins sage tout de même. Je regardais la robe du dessus de la pile que m'avait filé ma soeur avant que je ne rentre dans la cabine avant de lui poser une question. Une question dont au fond je connaissais la réponse. Elle avait raison, notre père ne voulait pour nous qu'un mariage arrangé à sa manière. Notre bonheur il s'en foutait. Notre avis, il s'en moquait encore plus. Je soupirais. Je ne demande même pas un mariage avec des sentiments. Ils viendront avec le temps s'il le faut. Je demande juste un mariage que j'approuve... que je choisis dans un certain sens. Et même ça, même ça il réussira à me le prendre. Ca ma dégoute. Je ris pourtant quand elle me parla d'ennui mortel. C'était vrai que ça correspondait pas mal aux rêves de père. Je les connaissais assez. Je savais ce qu'il avait en tête pour moi. Je savais quel prétendant il voulait me coller dans les basques. Les Black sont un peu jeune pour nous ! Surtout quand on prend en compte que l'aîné à foutu le camp. Les Black seulement. Il restait Rabastan de pas marier chez les Lestrange même si cela ne semblait pas être venu à l'idée de Père. Surement parce qu'il savait que ça ne fonctionnerait pas. Et il restait les Nott, la grande fratrie des Nott... Je soupirais encore.

Je relevais la tête surprise à la question de ma soeur. Elle se posait réellement cette question ? N'avait-elle jamais été un peu amoureuse dans le fond ? Jamais ? J'étais étonnée... et profondément déçue pour elle. Tu es jamais tombée amoureuse ? Jamais comme pas une seule fois dans ta vie ? Etais-je réellement tombée amoureuse un jour ? Je n'en savais trop rien à vrai dire. J'avais eu mes histoires comme tout le monde. Mes coups de coeurs... Mais l'amour ? Je n'en savais rien. Pourtant je savais que je savais que ce que cela faisait, car j'avais cru l'être, m'étais persuadée l'être. Je veux dire, tu as déjà été en couple non ? Tu as déjà eu un énorme coup de coeur pour un garçon ? Et je te parle du garçon, pas de son cul. Ca a bien du t'arriver une fois au moins ! Je réalisais qu'elle allait me demander des comptes... J'aurais qu'à dire que j'avais eu un amoureux à Poudlard avant qu'elle n'y arrive, ce qui était plus ou moins vrai en plus. J'avais eu un copain, un amoureux c'est autre chose... Puis, j'avais eu John. Je ne savais pas si je l'avais aimer mais clairement, il m'avait fait me sentir d'une manière qui correspondait bien à la description du terme « amour » qu'on m'avait servie pendant des années. Il m'avait fait me sentir belle, femme et forte. Il m'avait aimer peu importe qui j'étais réellement au fond, avec mes bons et mes mauvais côtés. Il m'avait rendue heureuse. Tu sais, Mère ne voulait pas épouser Père. C'était un mariage arrangé également. Mais avec le temps, avec nous également, elle a appris à l'aimer. C'est probablement ce que l'avenir te réserve, me réserve... Enfin j'espère ! Vaut mieux ça que demander le divorce ! Mère m'avait raconter cela il y a peu de temps. Pour me persuader de me marier, je le savais. Mais cette histoire avait quelque chose de rassurant.

Je la vis taper dans ses mains et je posais de force un sourire sur mon visage. J'ai essayé que deux des noooombreuses robes qui tu m'a proposé, laisse moi un peu de temps avant de repartir sillonner les rayons de ce pauvre magasin voyons. Sans aucune pudeur devant ma soeur, je baissais la fermeture éclaire et retirais la robe. J'en attrapais une autre, sans même la regarder et la passer tout en bavardant. On a peut être pris des années, mais je suis à peu près sure que ma peau m'a pas vieillit. Et que mes seins n'ont pas commencé à tomber non plus. Par contre toi... Je lui pinçais les fesses en riant. Y a un peu de laisser aller madame ! C'est bien les livres mais un peu de sport voyons. Je me regardais dans le miroir avant de lui demander son avis d'un regard. J'ai, je crois, assez de sous-vêtements comme ça. Après je ne saurais plus où les ranger ! Et je vais pas pouvoir changer d'appart juste pour avoir des rangements plus grands pour mes petites culottes tu vois... Puis, ne t'inquiète pas : j'en ai des... appétissants ? Je peux même t'en prête au besoin ! Bien que je sois fortement déçue que tu n'ai pas ce qu'il faut. Je savais bien qu'elle avait tout ce qu'il fallait. J'avais déjà vu son armoire. Et si elle fréquentait quelqu'un de façon intime bien que visiblement pas sentimentale, elle devait avoir réellement ce qu'il fallait. Mais ça me permettait d'éviter sa remarque sur les prises que je pourrais faire, que je ne voulais faire.  
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